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Le cerveau catégorise les choses que nous voyons

Le cerveau catégorise les choses que nous voyons
Le cerveau a toujours été une machinerie complexe. Depuis que l'Homme s'intéresse à son corps, il est au centre de bien des interrogations. Encore aujourd'hui subsistent un grand nombre de questions. La mémoire, par exemple, a encore moult secrets à révéler. C’est à Berkeley, Université de Californie, que des chercheurs ont décidé de concentrer leurs recherches sur la gestion de la mémoire des objets et des actions par le cerveau. Les IRMs ont ainsi permis d’analyser les flux sanguins, les chercheurs ont ensuite pu faire les corrélations avec ce qui était présenté au même moment au cobaye. Historiquement, les scientifiques s’accordaient à penser que le cortex visuel était la région dévouée à ce genre de mémoire, mais il semblerait bien aujourd’hui que ce ne soit pas moins de 20% de notre cerveau qui se retrouve en charge de notre mémoire visuelle. Les chercheurs de Berkeley ont mis la carte à disposition ici. [theverge] Related:  Le cerveau

Cycle de Calvin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Calvin. Le cycle de Calvin (aussi connu comme le cycle de Calvin-Benson) est une série de réactions biochimiques prenant place dans le stroma des chloroplastes des organismes photosynthétiques. Il a été découvert par Melvin Calvin et Andy Benson à l’université de Californie à Berkeley. Durant la photosynthèse, l’énergie de la lumière a été convertie en énergie chimique conservée dans l’ATP et le NADPH. Le cycle de Calvin, indépendant de la lumière, utilise l’énergie de ces transporteurs à courte vie pour transformer le dioxyde de carbone en composés organiques qui peuvent être utilisés par l’organisme. La somme totale des réactions du cycle de Calvin est : 6 CO2 + 24 NADPH + 18 ATP → C6H12O6 + 6 H2O + 24 NADP+ + 18 ADP + 18 Pi Réactions dans le cycle de Calvin[modifier | modifier le code] Cycle de Calvin, vue des trois étapes : fixation du dioxyde de carbone, réduction et régénération du ribulose.

Entraine ton cerveau! L’effet de l’activité physique Le lien entre l’activité physique et la prévention de maladies et de troubles comme le diabète, les maladies cardiaques et l’obésité est bien connu. Par ailleurs, les plus récentes recherches mettent en lumière les effets de l’activité physique sur le développement du cerveau de l’enfant. Ces découvertes permettent d’établir d’importants liens entre l’activité physique et l’apprentissage. Dans cet article publié par la Canadian Education Association (CEA), des chercheurs affiliés au Children’s Hospital of Eastern Ontario Research Institute, rapportent les résultats de récentes recherches qui montrent les bienfaits de l’activité physique sur le cerveau. Selon Voss et all., ces bienfaits se situeraient à trois niveaux : L’activité physique entrainerait la formation de nouveaux vaisseaux sanguins (qui sont d’importants « réservoirs » de nutriments et d’oxygène) et de neurones (qui transmettent les influx nerveux) dans le cerveau. Quels types d’activité privilégier? [Consultez l’article]

Apprentissage : le cerveau est comme une forêt! Que se passe-t-il dans la tête d’une personne qui apprend? Comment une meilleure connaissance du fonctionnement du cerveau peut-elle aider un enseignant à améliorer sa pratique? Cet article rédigé par Steve Masson, professeur à l’UQAM, porte sur les récentes avancées de la science quant à la façon dont l’apprentissage modifie la structure du cerveau d’une personne. Le spécialiste de la neuroéducation explique en quoi ces découvertes sont pertinentes pour les pédagogues. Sur le plan cérébral, qu’est-ce qu’apprendre? Apprendre, c’est établir de nouvelles connexions entre les neurones du cerveau. Au départ, il est difficile pour l’apprenant de se déplacer d’un point à un autre dans la forêt. Quand on apprend, ce qui se passe dans le cerveau est semblable à ce qui se produit lorsque l’apprenant marche dans une forêt vierge. C’est pour cela que l’entrainement mène à l’accomplissement plus rapide et plus efficace d’une tâche : les connexions neuronales se fortifient. L’apprentissage actif E.

Synthetic double-helix faithfully stores Shakespeare's sonnets Nathan Benn / Alamy Humanity's legacy, including Shakespeare's sonnets, may be best preserved in DNA databases. A team of scientists has produced a truly concise anthology of verse by encoding all 154 of Shakespeare’s sonnets in DNA. The researchers say that their technique could easily be scaled up to store all of the data in the world. Along with the sonnets, the team encoded a 26-second audio clip from Martin Luther King’s famous “I have a dream" speech, a copy of James Watson and Francis Crick’s classic paper on the structure of DNA, a photo of the researchers' institute and a file that describes how the data were converted. The project, led by Nick Goldman of the European Bioinformatics Institute (EBI) at Hinxton, UK, marks another step towards using nucleic acids as a practical way of storing information — one that is more compact and durable than current media such as hard disks or magnetic tape. DNA packs information into much less space than other media.

LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! D'un point de vue clinique et physiologique, plusieurs observations nous incitent à penser que la mémoire à long terme engloberait différents types de mémoire. Par exemple, certaines amnésies affectent certains types de souvenirs et pas d'autres. De même, on a découvert que différentes structures cérébrales étaient spécialisées dans le traitement de différents types de souvenirs. L'une de ces distinctions qui apparaissent comme des plus fondamentales est celle que l'on fait entre les mémoires explicites (ou déclaratives) et celles qui sont implicites (ou non-déclaratives), selon que l'on peut ou non en exprimer verbalement le contenu. Traditionnellement, les études se sont concentrées sur la mémoire explicite où nous pouvons nous rappeler consciemment les faits et les choses. On demande par exemple à quelqu'un de mémoriser un matériel donné (liste de mots, images, etc.) qu'il doit ensuite se remémorer verbalement. La mémoire explicite est quant à elle souvent subdivisée en

Mon cerveau, ce héros... et ses mythes De "l'effet Mozart' à la croyance que l'on n'utilise que 10% de son cerveau, les neuro mythes sont partout et particulièrement dans l'enseignement. Philosophe de formation mais chargée de mission à La main à la pâte et membre associée à l'Institut Nicod, Elena Pasquinelli nous invite à découvrir les neuro mythes et à les comprendre pour mieux les combattre. Un combat devenu nécessaire parce qu'ils justifient de façon banale le maintien de préjugés et qu'ils empêchent du coup l'Ecole de tirer parti des avancées scientifiques. "Ce voyage au royaume des mythes ne sera pas un voyage de tout repos et il présente des risques", écrit E Pasquinelli. Son ouvrage n'est en rien une remise en question des neurosciences. Elena Pasquinelli : " oublier que les enseignants ont un cerveau c'est risqué, non ?" Dans cet entretien, E Pasquinelli analyse plusieurs neuromythes qui ont cours dans l'éducation. Elle ne veut pas dire grand chose sauf du point de vue métaphorique. Je ne crois pas.

Sperm Trajectories, Evolving Humans and a Tomato Tapestry: The Best Scientific Figures of 2012 | Wired Science Figures contained in scientific reports are a neglected area of the design world. Typically intended for display to academic audiences in the cramped confines of a journal, they tend to be utilitarian and esoteric -- yet while looking through hundreds of articles in the course of 2012, certain figures transcended the technical and rose to the level of communication art. They combined visual clarity, information density and insight into some fact of fundamental interest. From tomato taste to accelerating human evolution to a goose that flies over the Himalayas, here are our favorite scientific figures of the year. Le cerveau ne peut pas faire deux choses à la fois Pour ceux qui sont nouveaux ici: la science prend du temps, je publie quand je peux, le mieux est de me suivre sur Twitter, Facebook ou Google Plus. Pour tester votre attention la vidéo « the invisible gorilla » et d’autres sont ici: « Whodunnit », la vidéo anglaise qui prove que vous ne verrez jamais un cycliste sur votre route: Un grand merci à Stanislas Dehaene, qui n’a pas besoin de présentations et dont les contributions en ligne sont nombreuses (émissions, cours du collège de France, conférences, etc. il suffit de taper son nom). Je vous rappelle son dernier livre, dont il est un peu question ici: « Le code de la conscience » chez Odile Jacob, 2014. Et pour ceux qui voudraient visiter la Silicon Valley française: ne vous inquiétez pas, nul besoin de faux taxis, un métro est prévu d’ici 201… (à vérifier). Signaler ce contenu comme inapproprié

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