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Vertigineux "big data"

Vertigineux "big data"
Chaque seconde, la masse de données créées sur Internet par les smartphones, ordinateurs et tablettes explose. Appelé "big data" par les experts du Web, cet amas colossal est un marché prodigieux. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Sarah Belouezzane et Cécile Ducourtieux Photos, vidéos, sons, chiffres, textes... Tous les jours, ce sont 118 milliards de mails qui sont envoyés à travers le monde, 2,45 milliards de contenus différents qui sont postés sur Facebook. Les humains ne sont pas les seuls responsables de ce déluge d'informations. "Cela fait quelque temps déjà que le nombre de données produites et stockées est important, note Patrice Poiraud, directeur business et analyse chez IBM. Ces données, de plus en plus d'entreprises cherchent à les exploiter. Du coup, des éditeurs de logiciels informatiques ont mis au point des techniques empruntées au calcul scientifique pour "mouliner toutes ces données" de manière exhaustive.

Les données, puissance du futur LE MONDE | • Mis à jour le | Par Stéphane Grumbach, Stéphane Frénot Nous vivons une période de rupture, celle de la numérisation de tout : l'homme, la société, les organisations, le savoir, les interactions, le corps biologique de chacun, etc. Tout devient donnée numérique, et par là même a vocation à une existence dans le monde virtuel en émergence. L'écart entre le monde des données et le monde réel, bien anticipé par Jorge Luis Borges dans sa nouvelle visionnaire De la rigueur de la science, évoluera pour devenir de plus en plus subtil. Il y a un avant et il y a un après-numérisation. Il nous est aussi difficile d'imaginer les évolutions de la société de l'information qu'il l'était de prévoir au milieu du XIXe siècle les possibilités permises par l'électricité. Les données constituent les briques de base de la société de l'information. Les centres de données consommeront bientôt autant d'électricité qu'un pays comme la France. Cela n'a pas été simple.

La récession favorise la digitalisation Le "double dip", le rebond de la récession qui menace, pourrait fort bien entrainer une accélération de la digitalisation de nos modes de production et de vie. Cela vaut pour les entreprises (et les travailleurs) comme pour les consommateurs. Les entreprises d'abord: nombre d'entre elles en profitent pour accentuer leur recours aux technologies digitales (TD) en quête de gains de productivité. C'est le genre d'approche encouragée par Dean Garfield de l'Information Technology Industry Council des Etats-Unis. Il s'appuie sur l'histoire: "Deux des récessions les plus importantes des 30 dernières années – 1981-82 et 1990-91 – ont été directement attenué par la naissance du PC et de l'internet". Le secteur se porte bien: les capital risqueurs financent les start-ups. La seconde approche - celle des utilisateurs et des consommateurs - est notre recours croissant aux TIC. En fait la récession s'accompagnera inévitablement d'une avancée de certains pays émergents ayant investi dans les TIC.

Big Data’s Big Problem: Little Talent - Tech Europe It seems that the markets are as much in love with “Big Data”—the ability to acquire, process and sort vast quantities of data in real time—as the technology industry. The first Big Data initial public offering hit the market last week to roaring approval. Splunk Inc., which helps businesses organize and make sense of all the information they gather, soared 109% on its first day of trading. Big Data, big price. And this week, in cities in the U.S. and the U.K., Big Data Week events are being held to proselytize the unbelievers. Big Data refers to the idea that an enterprise can mine all the data it collects right across its operations to unlock golden nuggets of business intelligence. However, according to a report published last year by McKinsey, there is a problem. According to Pat Gelsinger, president and chief operating officer of EMC Corp., the giant U.S. data company, this isn’t an unprecedented problem. One of the earliest tests for biggish data was applying it to the battlefield.

untitled Big Data : un marché de 24 milliards de dollars en 2016 Ce n’est pas en 2013 qu’on cessera d’entendre parler du Big Data, même si la concrétisation en termes de projets n’est sans doute pas à l’heure actuelle à la hauteur du marketing entourant ce concept. Mais la taille de ce marché a de quoi aiguiser les appétits. D’après IDC, qui se livre à une évaluation, le Big Data, soit les services et technologies associés, est promis à une forte croissance annuelle de l’ordre de 31,7%. De quoi faire gonfler le gâteau jusqu’à 23,8 milliards de dollars en 2016. +53,4% pour le segment stockage Naturellement, nouveau concept ne signifie pas la création d’un marché totalement nouveau. IDC précise ainsi que ce marché du Big Data englobe certes de nouveaux segments, mais aussi de nombreuses activités déjà établies, notamment dans les secteurs du stockage et de la BI. La croissance annuelle attendue par le cabinet entre 2012 et 2016 se répartit ainsi de la manière suivante : +53,4% pour le stockage et +21,1% pour les services.

Les nouveaux métiers de l’économie numérique : Big Data, big jobs ? Compte-rendu « Prospective Aujourd’hui, la donnée est au cœur des activités des organisations, quel que soit leur secteur. Mais l’un des aspects les plus « révolutionnaires » des Big Data réside dans la capacité d’expérimentation qu’elles offrent aux entreprises, pour mieux comprendre et envisager l’avenir sur la base d’éléments factuels. Le Data Scientist doit en conséquence devenir un chef d’orchestre jonglant entre les besoins et stratégies métiers de l’entreprise, et la capacité à analyser et interpréter les informations. Il existe cependant un déséquilibre entre la maturité des offres technologiques et la disponibilité des savoir-faire. Les experts métiers capables d’analyser une problématique au moyen d’une véritable démarche scientifique, et ce, avant même d’envisager quels outils utiliser, sont encore rares. Les entreprises cherchent des profils de culture scientifique capables d’appréhender des problématiques métiers dans le cadre d’une démarche d’expérimentation. Compte-rendu

Whole World Water Peut-on être contre les big data ? L'article présente les thèses d'Alan Mitchell, le directeur de la stratégie du cabinet Ctrl+shift. Selon lui, "les Big Data auraient presque un côté contre-révolutionnaire : le chant du cygne d’une informatique productiviste, centralisatrice, centrée sur les grandes organisations." L'effort consenti - notamment en R&D - pour développer cette informatique et ses applications aurait été mieux employé à développer le pouvoir de création des individus, et à les aider à produire eux-mêmes les arbitrages qui leurs sont proposés par cette informatique massive. Daniel Kaplan lui-même reconnaît, à la fin de l'article, que le propos est peut-être un peu fort et qu'il est peu adapté, par exemple, aux les sciences dures. Je m'arrête sur cet article parce qu'on me pose de plus en plus de questions sur ce phénomène big data dont j'ai parlé très tôt. Mais de là à contester l'existence même, l'intérêt et la puissance du phénomène big data, il y a un pas que l'on ne peut franchir.

Jenkins et les 7 regles de la narration transmedia – Partie 3 | Transitumedia.com Henry Jenkins a déjà eu plusieurs articles à son nom sur mon blog. Je remets le couvert aujourd’hui avec une partie 3 où est dévoilé un concept supplémentaire de cette figure du transmedia : le worldbuilding. Who is Mr Jenkins? Contextualisons un peu pour les noobz qui viendraient à lire ma prose. La démarche d’Henry Jenkins a permis de nombreuses émergences de solutions et technologies innovantes dans les produits créatifs diffusés par les mass médias du monde entier. Jenkins et le « Worldbuilding » ou la création d’un univers Venons en au concept de Worldbuilding… Ce que Jenkins appelle l’extension transmedia n’est jamais centrale mais prolonge un univers en construction ou déjà définit le story world. La deuxième utilité du Worldbuilding est de permettre d’exploiter des supports dans le cadre de l’univers crée mais en dépassant les limites du monde médiatique classique souvent digital. Tous ces derniers servent souvent de points d’encrages au développement narratif d’un univers.

10 best practices you should be doing now – Procurement – CSCMP's Supply Chain Quarterly Procurement Want to be a "best in class" organization? Then follow the lead of highly successful companies and adopt these 10 practices in your own operation. In today's economic environment, doing what you've always done—even if you do it very well—is no longer acceptable. What makes a supply chain organization best in class? I do not pretend to have a precise roadmap for achieving the desired level of supply chain maturity and excellence in your particular organization. Some of these practices may be simple, straightforward, and familiar. 1. We often see supply chain organizations struggling for recognition because their objectives and strategies differ from their companies' stated objectives and strategies. The council can also help to remove barriers to success that exist within the organization. Finally, the council provides an effective forum for cross-functional communication. 2. Whatever structure you adopt, correctly staffing the supply chain organization is vital to success.

Le "Big Data" : un cadeau empoisonné pour les Data Miners ? Techniquement, la possibilité existe : il s’agit par exemple de transformer ces contenus en texte-libre, à partir d’une reconnaissance initiale, puis d’utiliser le text-mining*. Quand on dit « Big Data » on pense plus généralement à la pléthore d’informations existant dans les réseaux sociaux, et que beaucoup de professionnels du marketing aimeraient bien pouvoir mieux exploiter pour leur campagnes, mais quid de la qualité de ces données dites « non-structurées » et de leur utilité pour l’entreprise ? Depuis la naissance de l’informatique, un principe né en 1963 à New York est en effet toujours resté particulièrement vrai de nos jours. Il stipule « Garbage in, Garbage out ». Un input de données aberrantes sera traité par un ordinateur, mais il n’en ressortira qu’un résultat absurde ou une absence de résultat. L’Analytique face au « Big Data » Cette contrainte de base a souvent été oubliée, avec des conséquences qui ont pu être grave pour les entreprises.

Open data : le concours Etalab récompense avant tout les projets verticaux 01net le 30/05/12 à 15h08 Les six lauréats du concours Dataconnexions organisé par la mission Etalab viennent d'être révélés. Résultat : le vertical a plus la cote que le transversal. Le jury a jeté son dévolu sur les projets open data ciblant avant tout des secteurs spécifiques. Un comparateur de prix pour la médecine de ville Fourmi Santé propose ainsi de comparer les offres de soin de la médecine de ville. L’immobilier, l’autre gagnant du concours Laurent Bignier, cofondateur de La Place de... par frenchweb Nous avions déjà évoqué la société Home'n'Go, et son service de recherche de logement pour les particuliers. Visualiser la performance économique des pays Dernier projet vertical récompensé : Citizens Up. Des informations aussi variées que le PIB, le taux de chômage ou le nombre de fonctionnaires peuvent non seulement être consultées sur plusieurs années, mais également être comparées entre pays.

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