background preloader

IDropProject - Accueil

IDropProject - Accueil

A propos Si l'open source entre dans les entreprises, ce n'est pas juste l'affaire de programmeurs incontrôlables. C'est véritablement que les bénéfices sont énormes. Les administrateurs et exploitants le savent: rien n'est plus fiable et performant qu'un serveur Linux pour faire tourner un serveur d'application java, par exemple, ou encore une base de données. D'ailleurs, il serait ridicule d'affirmer « nous sommes une grande entreprise, avec un immense système d'information, critique pour la marche des affaires, l'open source n'est pas fait pour nous ». Dans une étude de Forrester réalisée en 2008, puis en 2010, une des tendances qui se dégage est que les raisons citées pour adopter davantage d'open source dans les entreprises ont évolué, le moindre coût étant moins souvent cité parmi les premières motivations, tandis que l'indépendance et la liberté de choix, la robustesse, l'ouverture, .. sont plus souvent mentionnés.

Quelques mots sur le travail collaboratif Le terme "collaboratif" est assez répandu sur le web, nombreux étant les projets et travaux menés en commun par des groupes de personnes organisés selon des méthodes dérogeant un peu des méthodes de travail "traditionnelles". On pensera par exemple à GNU /Linux, Wikipédia (et tous les Wiki d'ailleurs), ou encore Framasoft... Dans les entreprises, et pour la plupart d'entre nous, ce n'est pas vraiment une façon habituelle de travailler. Et pourtant, il peut y avoir de nombreux avantages au travail collaboratif, à condition de s'y prendre de la bonne façon, et d'éviter certains écueils. J'ai trouvé à ce sujet des tonnes de ressources extrêmement complètes sur le web, mais qui nécessitent de vraiment se plonger dans le sujet. Voici donc quelques idées synthétiques issues de ces lectures et de ma propre expérience, en renvoyant vers les sources si tu veux en savoir plus. Les caractéristiques du travail collaboratif Allez, une petite définition pour faire le mec qui a creusé le sujet :

Stéphane Côté ORME 2014 : Quelle plus-value pédagogique pour l’École numérique ? Les Rencontres de l’Orme mardi 27 et mercredi 28 mais 2014 ont rassemblé un grand nombre d’intervenants et acteurs éducatifs, pédagogiques, culturels, institutionnels et industriels autour d’une grande thématique : « Ecole numérique : une école augmentée ? » Pour lancer le sujet, expliquer cette thématique qui peut apparaître sibylline au premier abord et proposer quelques pistes de réflexion, Jacques Papadopoulos, directeur du CANOPÉ–CRDP d’Aix-Marseille a réuni autour de lui plusieurs chercheurs, pédagogues ou acteurs du Ministère de l’Education Nationale, autour d’une table ronde inaugurale des plus intéressantes. École numérique : une école augmentée ? Avec cette question première, des dizaines d’autres questions sont sous-jacentes. Quelles préconisations pour lever les obstacles au développement du numérique à l’École ? - des freins pédagogiques : ils ont été identifiés dans le fait que les usages dans les classes n’étaient pas présents. Alexandra Mazzilli

Le numérique à l'école. France-culture C’est couru d’avance. De la loi de refondation de l’école en discussion depuis hier soir à l’Assemblée nationale, on risque fort de ne retenir que l’écume : à savoir le débat sur les rythmes scolaires.Il y a pourtant tant d’autres choses à dire sur ce texte, prévu pour être adopté par le Parlement, au plus tard début juillet. Le numérique par exemple. Vincent Peillon en a fait un des piliers de sa refondation, plaidant pour une « stratégie numérique globale », afin, -c’est le ministre qui parle- de « faire entrer l’école dans le XXIe siècle ». En quoi consiste cette stratégie ? Bernard Stiegler, Pierre Moeglin et Marianne Baby J-C F © Radio France L’objectif est ambitieux : il s’agit de rendre l’institution plus efficace en réduisant les inégalités, via notamment la mise en place d’un service public de l’enseignement numérique. Toutes ces intentions semblent frappées au coin du bon sens. « Quel sens donner au numérique à l’école ? Et le contrepoint de Julie Gacon: Suivez-nous aussi sur :

Related: