Tourisme & Handicap
Quand le cerveau fait de la résistance
En ces temps de morosité collective relevant davantage de la chose publique que de la médecine, il faut distinguer la déprime de l'état dépressif majeur, authentique maladie mentale, qui concerne chaque année plus de 3 millions d'individus en France et conduit à l'hospitalisation et au suicide. Ce désordre sévère est à rapprocher du syndrome de stress post-traumatique dans lequel le sujet a été confronté à un événement violent. Ces deux pathologies comparables se traduisent par une tristesse profonde allant bien au-delà du désespoir ordinaire. La charge douloureuse afflige le patient. Le désir et le plaisir ont abandonné son âme. Son avenir est sans issue. Dans la dernière décennie, les recherches neurobiologiques ont permis de reconnaître les facteurs intervenant dans la pathologie dépressive. Celle-ci apparaît donc comme la plaque tournante de la plasticité neuronale dans le domaine de l'affect.
FNORS
La fédération nationale des observatoires régionaux de santé (FNORS) La Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé (Fnors) est née en 1988 de la volonté des ORS eux-mêmes de disposer d'une structure qui les représente collectivement et assure la coordination des travaux qu'ils mènent en commun. Cela répondait également au souhait de nombreux partenaires nationaux des ORS de disposer d'un interlocuteur unique les représentant dans leur ensemble et leurs diversités. Association de loi 1901 La Fnors est une association régie par la loi de 1901 dont les membres sont les ORS. Financement Son financement est assuré par les cotisations des ORS. Un siège, espace de rencontres Depuis 1995, année où la Fnors s’est installée à Paris dans des locaux qui lui sont propres, beaucoup de chemin a été parcouru. Les ORS reconnus par un texte de loi En 2009, les ORS ont été inscrits dans la loi portant réforme de l’hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires (HPST).
Shared vs. specific brain activation changes in dyslexia after training of phonology, attention, or reading - Online First
Whereas the neurobiological basis of developmental dyslexia has received substantial attention, only little is known about the processes in the brain during remediation. This holds in particular in light of recent findings on cognitive subtypes of dyslexia which suggest interactions between individual profiles, training methods, and also the task in the scanner. Therefore, we trained three groups of German dyslexic primary school children in the domains of phonology, attention, or visual word recognition. We compared neurofunctional changes after 4 weeks of training in these groups to those in untrained normal readers in a reading task and in a task of visual attention. The overall reading improvement in the dyslexic children was comparable over groups. It was accompanied by substantial increase of the activation level in the visual word form area (VWFA) during a reading task inside the scanner.
FIRAH - International Foundation of Applied Disability Research
ANOREXIE et HYPERACTIVITÉ: Un lien systématique confirmé au niveau du cerveau
ANOREXIE et HYPERACTIVITÉ: Un lien systématique confirmé au niveau du cerveau Actualité publiée le 11-01-2013 Inserm et Translational Psychiatry Plusieurs instituts de recherche en France dont l’Inserm, l’Institut de Génomique Fonctionnelle, l’Université d’Aix-Marseille et l’Institut des Neurosciences Cellulaires et Intégratives, en collaboration avec des chercheurs du MIT (Massachusetts Institute of Technology –Cambridge), montrent avec cette nouvelle étude, l’association de l’anorexie et de l’hyperactivité, avec l’implication d’une anomalie moléculaire commune, la surexpression d’un type particulier de récepteur cellulaire à la sérotonine. Les conclusions, publiées dans l’édition du 11 décembre de la revue Translational Psychiatry font de ce récepteur une nouvelle cible thérapeutique prometteuse pour lutter contre ces troubles. Dans les maladies mentales, le cerveau n’ajuste pas systématiquement l'activité motrice à l'alimentation. Réagissez à cette actu sur Santé Blog Neuro
Unité U953 de l'INSERM : : REGISTRE DES MALFORMATIONS
Responsable : Babak KHOSHNOOD Contexte Le registre des malformations congénitales de Paris est une structure épidémiologique qui réalise depuis 1981 l'enregistrement continu des cas de malformations et d'anomalies chromosomiques dans la population parisienne. Le registre suit la méthodologie commune définie dans le cadre du réseau EUROCAT (www.eurocat-network.eu), avec en particulier une définition commune des malformations et des anomalies à inclure et à exclure. Le Registre est reconnu par le Comité National des Registres comme « Registre associé à l'INSERM et à l'INVS. Objectifs - Assurer la surveillance épidémiologique des anomalies congénitales dans la population parisienne, avec un objectif d'alerte face à d'éventuels agents tératogènes de l'environnement (ex : médicament, accident industriel), et ceci à l'échelon local, national et international. - Evaluer en population l'impact des actions de santé : Composition du Registre Pour plus d'informations : brochure27ans.pdf
Exercising the Mind to Treat Attention Deficits
Alex Nabaum Which will it be — the berries or the chocolate dessert? Homework or the Xbox? Finish that memo, or roam Facebook? Such quotidian decisions test a mental ability called cognitive control, the capacity to maintain focus on an important choice while ignoring other impulses. The studies come amid growing disenchantment with the first-line treatment for these conditions: drugs. In 2007, researchers at the University of California, Los Angeles, published a study finding that the incidence of A.D.H.D. among teenagers in Finland, along with difficulties in cognitive functioning and related emotional disorders like depression, were virtually identical to rates among teenagers in the United States. “It raises questions about using medication as a first line of treatment,” said Susan Smalley, a behavior geneticist at U.C.L.A. and the lead author. “There are no long-term, lasting benefits from taking A.D.H.D. medications,” said James M. But impulsivity peaks around age 16, Dr. Dr.
