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Les 4 risques juridiques qui menacent les entreprises

Crédits photo : Shutterstock.com L’association des Directeurs des risques (Amrae) et Fidal viennent de publier un ouvrage sur les risques juridiques dans l’entreprise*. Gérard Lancner, conseiller spécial du président de l’Amrae (Association pour le management des risques et des assurances de l’entreprise), et Didier Ferrier, professeur émérite de l’Université de Montpellier, « of counsel » Fidal et coordinateur de l’ouvrage, détaillent les premiers risques juridiques auxquels les entreprises sont confrontées. 1. Instabilité du droit Didier Ferrier, professeur émérite de l'Université de Montpellier, « of counsel » du cabinet Fidal. « En ce moment, le risque le plus redoutable tient à la modification de la norme », résume Didier Ferrier. 2. L’entreprise est au cœur d’un monde qui se pénalise de plus en plus : « la responsabilité des dirigeants est devenue une affaire très complexe, sur un plan pénal comme civil, estime Gérard Lancner. 3. 4.

Risques pour les entreprises : le « top 10 » 2013 Crédits photo : Shutterstock.com Les risques jugés les plus importants en 2013 par les entreprises relèvent tous de la crise, avec aux premiers rangs la pression sur les prix, les coûts et la rentabilité. Les risques les plus importants pour les entreprises cette année ? La pression sur les prix, suivis par les réductions de coût et la pression sur la rentabilité, puis les risques de marché, selon les conclusions de la dernière enquête menée par Ernst & Young (*) sur les principaux risques courus par les entreprises : autant dire que l’ambiance est à la crise… « Alors que les perspectives de croissance économiques sont encore incertaines, les entreprises ont cessé d’attendre la reprise, et se concentrent sur l’optimisation de leur activité, en réduisant leurs coûts et accroissant leur efficacité », résume Ernst & Young. Le « Top 10 » des risques pour les entreprises dans le monde en 2013 (rang attendu à l’horizon 2015) 1 – La pression sur les prix (1) 3 – Les risques de marchés (3)

La crise, un risque pour toute entreprise Le réflexe bien commun et humain de penser « ça n’arrive qu’aux autres » fonctionne aussi dans les entreprises. Pourtant aucune, absolument aucune entreprise ne peut s’estimer à l’abri d’une crise. PME ou multinationale, entreprise publique ou privée, connue ou méconnue du grand public, toute société, quel que soit son secteur, peut avoir à faire face, demain ou dans 10 ans, à une crise grave. Certaines entreprises paraissent davantage exposées que d’autres. Pour elles, la probabilité de faire la une des journaux paraît plus grande. Les secteurs de l’agroalimentaire, des transports, de l’automobile, de l’énergie, la chimie et pharmacie, de la santé sont naturellement en première ligne, puisqu’ils concernent directement la sécurité et le bien-être du grand public. Mais une entreprise a priori moins exposée peut se retrouver, du jour au lendemain, sous les projecteurs des médias. Les exemples sont innombrables. Toute structure est exposée à une crise qui peut se déclencher brutalement.

Les différents risques de l'entreprise à couvrir - Economie Protéger son entreprise face aux risques Une entreprise doit faire face à différents types de risques : sinistre, faillite, maladie, décès, vol... Il est donc important de bien la protéger. Pour cela, de nombreux types d'assurances sont proposés aux patrons. À eux de se décider en fonction de leurs besoins et de la législation qui gère leur domaine d'activité ! Comment évaluer les risques d'une entreprise ? Avant de souscrire une assurance pour son entreprise, il faut préalablement identifier les risques et évaluer leurs conséquences. Les risques de l'entreprise : les personnes Chaque entreprise peut souscrire des garanties concernant son personnel, en complément des dispositions légales. Les risques de l'entreprise : les biens Un inventaire des biens de l'entreprise permettra de mieux évaluer les besoins éventuels en termes d'assurance. Les risques de l'entreprise : les activités

Sécuriser l'emploi Le 11 janvier 2013 restera comme la date de conclusion d’un accord sur la sécurisation de l’emploi, un grand accord, un bel accord, le premier aussi vaste depuis la fin des années 1960. Cet accord national interprofessionnel est le fruit de 4 mois de négociation. Il traduit dans les faits le cap fixé par le Président de la République lors de la grande conférence sociale de juillet 2012 : « mobiliser les forces vives de notre pays vers des solutions nouvelles » pour l’emploi. Cet accord incarne aussi le succès d’une méthode, le dialogue social comme moyen de fonder des compromis positifs. Nous avions mis quatre sujets sur la table des négociateurs : la lutte contre la précarité du travail, l’anticipation des mutations économiques, la recherche de solutions collectives pour sauvegarder l’emploi, la nécessaire refonte des procédures de licenciements collectifs. Ceux qui espéraient un « big bang » de flexibilité en sont pour leurs frais. Qu’y a-t-il dans la loi ? Consulter :

Illustration: la loi sur la sécurisation de Entreprises : les risques de défaillances s'élèvent L'agence de notation Standard & Poor's estime que 41 groupes européens pourraient connaître des défauts de paiement cette année. Les entreprises européennes les plus fragiles vont affronter une année difficile. Selon Standard & Poor's, qui a passé au crible 676 sociétés de 30 pays européens notées BB+ ou en dessous, c'est-à-dire entrant dans la catégorie spéculative, 41 risquent de connaître des défaillances de paiement si la zone euro enregistre une croissance annuelle de 0,4% après une récession modérée en début d'année. Le nombre d'entreprises en cessation de paiement pourrait être plus élevé si la zone euro connaissait une récession plus forte. Fragilité des entreprises présentes dans les pays endettés L'agence de notation constate que d'autres sociétés ont réussi à traverser avec succès les difficultés de ces dernières années. Les entreprises les plus menacées dans les prochains mois sont celles qui vont avoir besoin de financements. Les marchés des pays émergents

Cadres : objectif remotivation : Les risques pour l'entreprise Le risque juridique "Le code du travail, renforcé par la jurisprudence, impose aux entreprises une obligation de résultat en matière de gestion des risques psychosociaux", relate Bénédicte Haubold. Le droit du travail prévoit en effet que l'employeur doit "prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité physique et mentale des travailleurs". Actions de prévention et formations sont comprises dans le dispositif à mettre en place. "Les dysfonctionnements peuvent représenter des coûts cachés hallucinants" Le risque en terme d'image Sans compter avec les torts en termes d'attractivité que peut causer une mauvaise image sociale. Le risque de perte de productivité Le risque le plus courant, celui qui mine l'entreprise de l'intérieur, c'est une perte d'efficacité.

François Couturier : Capital-risque et stratégie de développement de l'entreprise

Didier. L'article date de fin décembre 2012 mais peut être une piste pour la définition des risques aux quels sont confrontés les entreprises en ce qui concerne le droit. by veille2013 Apr 12

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