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Verlag20 - Home Nachrichten der FINANCIAL TIMES DEUTSCHLAND über Wirtschaft, Politik, Finanzen und Börsen - Macro Trends/business cycle August 15, 2005 For decades, critics of technological progress have been painting a scenario of strong productivity gains leading to a marked surplus of labour. However, Germany - as other industrial countries - will also have to brace itself for a noticeable demographically induced decline in the supply of labour in the foreseeable future. The upshot is that bottlenecks are also to be expected on the supply side of the labour market. Labour force potential (i.e. the supply of labour) is a major determinant of the production potential of an economy, along with capital input and productivity growth. In a recent "Kurzbericht", the Institute for Employment Research (IAB) concludes that the labour force potential in Germany will shrink by over 9 m, or 20% by 2050. Demographic effect will squarely hit the labour market East Germany faces shortage of young labour Immigration and birth rate promise little as adjustment components An increase in the retirement age brings only partial relief Links:

Saffron Brand Consultants Conjoncture : L'Allemagne et la Chine, concurrentes et complices Au fur et à mesure que ses voisins européens se désindustrialisent, Berlin se tourne vers Pékin. La France n'est plus son premier fournisseur. «Une carte n'est pas le territoire», selon la formule célèbre d'Alfred Korzybski, l'inventeur de la sémantique générale (1879-1950). Prenons le TGV Est Paris-Francfort. Regardons maintenant la carte, autrement dit les statistiques économiques. Rien de tel outre-Rhin. Or il y a fort à craindre que cette divergence s'exacerbe plutôt qu'elle ne s'édulcore au fur et à mesure que l'Allemagne intensifie ses relations avec la Chine. Et dans l'autre sens, la Chine est devenue depuis l'an dernier le deuxième fournisseur de l'Allemagne (derrière les Pays-Bas), devançant la France. Le «partenariat stratégique» avec la Chine, selon son expression, risque-t-il de se faire aux dépens de ses voisins de la zone euro? » L'Allemagne affiche une croissance asiatique » Retour de la croissance : l'Allemagne double la France » Exportations : l'Allemagne a effacé la crise

Allemagne : changer de modèle ou sombrer | Les Cercles Aux Etats-Unis et en Grande Bretagne, la crise bancaire et financière a été traitée, pour une part, par la création monétaire (quantitative easing). Les difficultés des pays émergents l’ont été dans le cadre d’un assouplissement des exigences du FMI. La crise grecque requiert le même type de traitement. Les réticences de l’Allemagne incitent à une réflexion renouvelée sur le modèle utilisé outre-Rhin. Au cours des dernières décennies, le pays a assis son succès dans le cadre qui s’est développé à partir de l’ère Reagan-Thatcher dans lequel les concepts dominants sont : économie de l’offre, partage de la valeur ajoutée à l’avantage de l’actionnaire, cost cutting, modération salariale, mondialisation. Pour des raisons propres à l’Allemagne, tout d’abord. L’Allemagne n’est certes pas la seule dans ce cas. Pour relever les défis des années et décennies à venir et être un leader efficace au sein de la zone euro, l’Allemagne va devoir faire évoluer son modèle.

Herzog-Kommission Das als Herzog-Kommission bekannt gewordene Gremium hat 2003 unter Leitung von Altbundespräsident Roman Herzog ein Dokument mit Vorschlägen zur Reform der deutschen Sozialversicherungen erarbeitet, das zur Grundlage eines CDU-Programms wurde. Teilnehmer[Bearbeiten] und weitere. Politische Bedeutung[Bearbeiten] Weblinks[Bearbeiten] Der Bericht der Herzog-Kommission als PDF (269 kB) Le "modèle allemand" n'existe pas! L'annonce, la semaine passée, de la plus forte croissance allemande depuis la réunification a donné lieu, dans l'Hexagone, à ces habituels exercices d'autoflagellations que nous, Français, affectionnons tant, en particulier lorsqu'il s'agit de nous comparer à nos voisins germaniques. Sommes-nous si inefficaces, si improductifs, si paresseux comparés à ces derniers qu'il nous faille subir l'humiliation d'afficher un taux de croissance deux fois plus faible qu'eux ! Suit alors l'inévitable discours sur l'irréductible décadence de ce vilain pays dans lequel la providence a eu le malheur de nous faire naître. Le fondement d'une telle « logique » repose sur une sanctification du taux de croissance en soi. Mieux même, cette croissance de 3,6 % apparaît d'un point de vue historique comme assez modérée. De quoi parlent en fait ceux qui vantent tant les mérites de l'Allemagne ? On a vu la pauvre réalité de cet « aussi bien », mais un tel discours nie trois fois la réalité.

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