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Killing Us Softly 4 - Trailer [Featuring Jean Kilbourne]

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Sélection commentée de ressources sur la notion de genre - Collectif de Recherche Transdisciplinaire Esprit Critique & Sciences La notion de genre* fait son apparition dans les programmes de Première dès la rentrée 2011. On pourra trouver de très nombreux documents de qualité sur Internet, mais un peu éparpillés. Alors, pour faciliter un peu la tâche aux enseignants de lycée qui souhaiteraient en savoir plus, mais aussi à tous ceux et celles qui aimeraient pouvoir se faire un avis sur ce qu’ils entendent à ce sujet depuis quelques temps, voici une sélection de ressources simples d’accès. J’ai fait un petit mélange de références théoriques et de documents plus concrets, pouvant donner des pistes de réflexion ou des idées de travaux pratiques. * Ces derniers temps, les médias se sont emparés de cette notion et en ont souvent donné des définitions au mieux imprécises, au pire fantaisistes. Typographie - Dans tout le texte, Femmes et Hommes désigneront les groupes sociaux, tandis que femmes et hommes désigneront les personnes à l’identité sexuelle marquée. Les documents sont répartis de la manière suivante. 10. 1. 2.

Parodies, blogs, chansons : dix vengeances antisexistes | Rue89 Culture 74% des Français déclarent réprouver les stéréotypes sexistes, mais plus de deux sur trois sont incapables de les identifier. « Les stéréotypes sont aujourd’hui banalisés et même intériorisés [...], il faut tomber dans la caricature pour que cela interpelle spécifiquement », rappelait en mars l’étude menée par Mediaprism et le Laboratoire de l’égalité. Chaque jour apportant son lot de contrariétés féministes, d’articles, notes de blogs dénonçant ces stéréotypes, tempêtant, sans que cela ne change grand-chose, j’ai pris à la lettre les recommandations de Mediaprism et je suis allée chercher les dix meilleures productions de ces dernières années qui inversent les rôles. « Defined Lines » La parodie antisexiste de « Blurred Lines » « Blurred Lines », le clip de Robin Thicke, n’en finit pas de faire parler de lui. Le clip de Robin Thicke « Blurred Lines » « Defined Lines », parodie de « Blurred Lines » Pin-up au masculin Des hommes dans des poses acrobatiques « La série “Men-ups !” Le Pariteur

Femen's topless warriors start boot camp for global feminism | World news | The Observer In a chaotic and crumbling former public washhouse in a rundown district of northern Paris, Inna Shevchenko was explaining how a large leather punchbag hanging from the rafters might be used by the foot soldiers of a new generation of feminists. As she prepared to welcome recruits to the Ukrainian-based feminist group Femen's first "international training camp", it was clear that the instruction would not be all ideological. The talk was of "war", "soldiers", "terrorism" and "enemies". Was it not curious, one French journalist asked, that Inna and her warriors had adopted the language of combat, traditionally a male domain, to describe their mission? Was it not also inconsistent, another asked, that the new feminists were using nakedness to rail against female exploitation? "Ah, but we have a different idea; we are talking about peaceful war, peaceful terrorism," Inna said. "We don't hide our bodies, we don't hide our faces, we confront our enemies face to face.

La pub, plus sexiste que jamais ? | VivelaPub La représentation de la femme dans la publicité reste une affaire sensible. Pour preuve, la récente interdiction des pubs de la compagnie aérienne irlandaise Ryanair – il est vrai, coutumière de la polémique. Des prix chauds comme l’équipage, pub Ryanair, 2011 Ryanair s’est attirée cette fois les foudres de certaines de ses employées, qui s’estimaient traitées comme des objets sexuels par leur propre entreprise. L’affaire fut portée en décembre 2011 devant l’Advertising Standarts Autority (autorité de surveillance de la publicité anglaise), qui a décidé de bannir la campagne il y a quelques jours. Certes, le message était à prendre au second degré, mais l’humour ne passe toujours pas en publicité quand il s’agit de représenter... la femme-objet. Années 50 et 60 : la ménagère Moulinex libère la femme, pub Moulinex, 1956 Et lorsque la femme sortait de sa cuisine, c’était souvent pour se ridiculiser. Années 90 : la femme-objet Une chose est sûre : le sexe attire l’attention. Sélection. Babette

Jean-François Bouvet, Le camion et la poupée. L’homme et la femme ont-ils un cerveau différent ? 1Avec un titre accrocheur, l’auteur, biologiste de formation mais volontiers essayiste sur les questions scientifiques, aborde la question fort médiatique du « sexe du cerveau » (comme le titre par exemple le numéro de novembre 2012 de la revue Books) ; autrement dit, face aux différences entre les hommes et les femmes, peut-on établir que cela vient de leur cerveau, ou, en termes plus académiques, peut-on en la matière faire la part de l’inné et de l’acquis ? Question dont on perçoit sans mal les incidences politiques… depuis Aristote, qui se demandait si les places différentes qu’occupent hommes et femmes dans la société pouvaient se justifier en référence à un ordre naturel. 1 C. Vidal et D. 3Pour qui a déjà lu quelques ouvrages sur ces questions (depuis ceux nombreux de la biologiste C. 2 Voir l’ouvrage très complet de J.

Pourquoi les clichés sexistes font (hélas) encore recette dans la pub… – TheBrandNewsBlog l Le blog des marques et du branding Les publicitaires et les marques seraient-ils victimes d’une épidémie aigüe de machisme ? Dans un article dont je conseille vivement la lecture*, publié récemment, les experts en communication Elisabeth Segard, Florian Silnicki et Sébastien Chenu s’indignaient de la recrudescence des partis-pris sexistes dans un nombre croissant de créations, que ce soit online ou offline. Dans ce domaine, si la publicité plus que moyenne de Perrier (voir ci-dessus et ci-dessous) semble encore plus pathétique du fait de l’énergie déployée par la marque à nier toute erreur, ce "couac" fait suite à une série de campagnes plus graveleuses les unes que les autres, produites dans le seul but de faire le buzz, d’après ces 3 experts… Au risque de compromettre l’image et la réputation à moyen terme des marques concernées. Une surenchère sexiste… et le cynisme publicitaire en guise de stratégie ? La faute au sexisme "invisible" ? Le vrai problème serait-il ailleurs ? Pour aller plus loin : About these ads Like this:

Les Femen, BELLES “femme(s) à poil”, c’est quoi le problème ? Vous avez été nombreux-ses à réagir à mon précédent billet concernant le happening dénudé des Femen en soulignant la conformité physique des femmes défilant ainsi à demi-nues dans les rues à des critères esthétiques empruntés à l’esthétique publicitaire. Merci notamment à Léonie qui précise : « Sur la première photographie, toutes pourraient poser pour une publicité de sous-vêtements : pas une seule qu’un bon hétéro-phallo de base jugerait “trop grosse”, “trop vieille”, “trop maigre” ; que des aisselles bien épilées. Et ça, ça me gêne. Isabelle va dans le même sens : « Il me semble que ces manifestations, qui soutiennent un discours féministe, continue de soutenir une image de la femme “compétitive”, séductrice. Je ne peux que me réjouir de lire ces commentaires, pour différentes raisons. D’abord, leur message peut être mal compris par d’éventuel-le-s spectateur-trice-s. Du coup, pour compléter ma réflexion, il m’a fallu chercher ailleurs. Lisons la suite : Imprimer ce billet

Les femmes ne veulent plus être des clichés Quelle histoire nous racontent les créateurs de mode? Une histoire de violence et de mort si on en croit la styliste bruxelloise Rocio Pasalodos. Et elle ne nous parle même pas des traces d’éthoxylates ou de nonylphénol que contiennent la plupart des vêtements des grandes marques selon le récent rapport Dirty Laundry de l’association écologiste Greenpeace. Non, elle parle de la conception de la femme que véhiculent ces marques et ses créateurs. Elle parle des normes inatteignables qu’une poignée de décideurs imposent à une majorité de consommateurs. Elle parle des nouveaux outils de retouche d'images, tels Photoshop, qui sculptent sur le papier glacé des magazines glamours des corps idéalisés, virtualisés que ne rejoint aucune réalité physique. Rocio Pasalodos porte une vision quasi magique de la femme. Je positionne [la femme] comme un totem, une divinité, et mon savoir sert sa particularité, quelle qu’elle soit…" Une évolution prédatrice Une image infantilisante Tailles de patronage

« Femme(s) à poil » : c’est quoi le problème ? Ce matin, en cours, j’ai réfléchi avec les étudiant-e-s sur la nouvelle forme de happening féministe qui est mise en œuvre par les Femen. Et j’ai notamment montré cette image, en l’occurrence (si elle a été correctement légendée sur le site internet où je l’ai trouvée) celle des « féministes du collectif Femen (qui) ont manifesté seins nus le 20 novembre dans le quartier de Château-Rouge, à Paris (18e)». On les a beaucoup vues ces derniers temps, ces féministes aux seins nus. On a beaucoup glosé que cette exposition consentie de leurs corps. Et il m’est donc apparu intéressant de réfléchir sur ce dont ce type de manifestation pouvait être le signe. Question donc : pourquoi et pour quoi les féministes d’aujourd’hui (enfin, certaines du moins) se dénudent-elles publiquement ? Commençons par la question du POURQUOI. L’analyse de Francis Métivier est d’autant plus intéressante, je trouve, que les Femen ne justifient pas en ces termes leur action. Bonne question, n’est-ce pas ?

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