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Et si on enseignait vraiment le numérique ? Il faut relancer la Déclaration d'indépendance du cyberespace proclamée en... 1996 Le Monde | | Par Olivier Ertzscheid, maître de conférences à l'université de Nantes. Ils sont nés en 1996. 16 ans plus tard, pour ces natifs du numérique, il ne reste plus rien de cette déclaration d'indépendance. Apple, Facebook et Google décident seuls et en fonction de leurs seuls critères ce qui est publiable et ce qui ne l'est pas, invoquant le plus souvent le motif de "nudité" ou de "pornographie", et l'appliquant, par exemple, à la fermeture du compte d'un internbaute ayant osé choisir "l'origine du monde" de Courbet comme photo de profil. Combien de collégiens, de lycéens et d'étudiants, combien de ceux qui sont nés en 1996 sont-ils au courant de cette Histoire, de ces pratiques, de cette évolution ? Former à Facebook, à Google, à Twitter est certes encore utile mais lorsque ces outils disparaîtront ou seront remplacés par d'autres, à quoi cela aura-t-il servi ?

Ados : zéro de lecture ? Les études récentes sont formelles : bien souvent, arrivé à l'adolescence, un jeune abandonne le livre. Déplacement des centres d'intérêt ? Internet et autres écrans ? Explication d'un phénomène qui n'est pas sans paradoxe. LE MONDE DES LIVRES | • Mis à jour le | Par Catherine Simon Francine et Léa sont des prodiges. Toutes les études sociologiques le disent : arrivés à l'adolescence, les jeunes "décrochent", les livres leur tombent des mains. Menée auprès de 4 000 jeunes, interrogés tous les deux ans, de 2002 à 2008 (à 11 ans, 13 ans, 15 ans, puis 17 ans), cette enquête pionnière a fait l'objet d'un commentaire éclairant des sociologues Christine Détrez et Sylvie Octobre, publié dans Lectures et lecteurs à l'heure d'Internet (sous la direction de Christophe Evans, Cercle de la librairie, 2011). Ce phénomène de désaffection est-il nouveau ? Il n'empêche : on vend beaucoup de livres pour les enfants ou les ados ! La faute aux "décrocheurs" ?

Eric Scherer prône un journalisme réinventé et augmenté Après la fin de la télévision prédite par Jean-Louis Missika et la fin des journaux annoncée par Bernard Poulet, voici logiquement venue la fin des journalistes. Dans un essai percutant et extralucide, A-t-on encore besoin des journalistes ? Manifeste pour un journalisme augmenté, Eric Scherer pose un diagnostic éclairant sur la profession journalistique, confrontée à la plus grande révolution de son histoire. Pour lui, la crise à laquelle les journalistes sont confrontés depuis moins de dix ans est "un changement d’époque aussi monumental que l’arrivée du télégraphe au XIXe siècle", une sorte de séisme poussé par trois forces : la numérisation, la mobilité et la personnalisation de l’information. Démocratisation de l’écriture publique Depuis moins de dix ans, la révolution de l’information en marche, c’est d’abord la démocratisation de l’écriture publique : le journaliste n’est plus le seul historien du présent, chacun est devenu un média. "L’abondance remplace la rareté."

L’identité numérique pour les néophytes L’identité numérique pour les nuls… Sous ce titre quelque provocateur, Laurent Dulout (étudiant en Master 2 Documentation et systèmes d’information à l’IUFM de Pau) dresse une présentation didactique sur ce que recouvre aujourd’hui cette notion très discutée et ainsi définie par l’auteur : « l’identité numérique, c’est l’ensemble des traces que laisse un utilisateur sur Internet. » En 38 diapositives, il est ainsi passé au crible le paradigme des traces laissées sur Internet par les internautes et les mobinautes avec un leitmotiv d’attitude : utiliser l’Internet de façon responsable. Ainsi, il est question via les outils et les plates-formes en ligne : d’affirmer sa personnalité, de « se » créer une identité professionnelle (en étant présent sur des réseaux sociaux professionnels). L’identité numérique est-elle maîtrisable ? L’identité numérique « se fait sur ce que l’on dit, mais surtout ce que l’on dit de nous ». Ressources : séquences pédagogiques et liens de référence Licence :

La sérendipité, enjeu majeur des services numériques de contenus Après la curation, un autre mot étrange fait florès sur Internet : la sérendipité. Il désigne le fait de trouver par hasard quelque chose d’intéressant, sans que cette chose ait été l’objet de la recherche au départ. Forgé par Horacio Walpole dès 1754 pour caractériser les trouvailles scientifiques faites par hasard, le concept de serendipity a été francisé en sérendipité. On peut aussi le rapprocher du qualificatif « fortuit ». Ce mot curieux vient du nom donné au Sri Lanka par les Perses, Serendip. Mais quel lien avec Internet me direz-vous ? Si l’usage du mot “sérendipité” était limité jusqu’à peu, il décrit parfaitement ce qu’apporte Internet en tant qu’outil d’apprentissage et de passe temps. - la facilité de création et d’exposition de contenus sous toutes formes a fait exploser l’offre d’information et de culture, tandis que leur nature numérique les rend facilement exploitables sous forme de base de données. Internet + sérendipité = contenus pertinents

Peut-il y avoir encore de nouvelles pédagogies avec le numérique La question peut sembler incongrue pour plusieurs raisons : la première serait qu’à l’évidence on n’enseigne pas de la même façon avec le numérique; la deuxième serait qu’il n’y aurait plus rien à inventer en pédagogie; la troisième serait que la pédagogie c’est de l’humain et que la technique n’y peut rien; la quatrième est qu’avec des objets numériques dans la classe, c’est l’élève qui « tue » la pédagogie des enseignants. Par un titre bruyant, « Enseignement supérieur cinq pédagogies pour demain » le service en ligne Educpros porte la question sur le devant de la scène alors qu’au même moment l’Ifé sort un « Dossier d’actualité Veille et Analyses » intitulé « Des projets pour mieux apprendre ? ». Et nous passerons sous silence les nombreuses innovations qui avec ou sans le numérique, semblent reposer cette éternelle question de l’invention pédagogique. De manière plus ou moins chronologique on peut analyser les choses ainsi : A suivre et à débattre

Médias : 4 tendances à avoir en tête pour 2013 Plus de mobilité, plus d'empathie, plus de qualité, plus de vidéo, voici les quatre clés à avoir en tête pour 2013. I. Mobile first : plus de la moitié du trafic vient du mobile, et ce n'est pas fini. Le parc de smartphones va passer son tipping point cette année, je pense qu'on peut parier sur 70-80% du trafic sur mobile d'ici 2014. Cela ne veut pas dire qu'il faut basculer vers le mobile, mais considérer le mobile comme le pivot de l'audience aujourd'hui. Il manque encore beaucoup d'outils pour rendre sa circulation et sa monétisation plus fluide. Je privilégirais donc des technologies web "responsive" (qui s'adaptent à l'écran) et web embarquées dans les applications. II. Nous devons aller vers plus d'empathie, plus de lien et d'échanges dans les médias, ce qui passe d'abord par une amélioration de la qualité dans les contenus. Je prévois donc un renversement de la donne. - La mise en route d'une vraie relation entre le média et ses lecteurs/utilisateurs. III. IV. 1. 2. 3. 4. 5.

Parole de l’autorité, autorité de la parole Les controverses scientifiques ne doivent rien aux controverses éducatives de la vie ordinaire ! On pourrait être tenté de rapprocher les deux façons de faire controverse dans des milieux qui n’ont rien à voir en s’appuyant sur ce qui fait lien : l’autorité. Plusieurs éléments tendent à nous donner raison, en particulier autour du développement des usages du numérique. D’un coté le débat « scientifique » autour du rapport l’enfant et les écrans nous rappelle que la controverse est essentielle à la réflexion. Dans la science, dans la classe, à la maison, qui a l’autorité de la parole ? Aborder dans une institution, globale ou locale, la question de l’autorité, c’est aussi questionner la légitimité même de l’institution, son existence ou son mode de fonctionnement. Dans le cas de la controverse scientifique, les choses sont différentes, car les pairs d’affrontent à coup d’arguments considérés comme scientifique auxquels il convient d’ajouter la légitimité statutaire des auteurs.

Storytelling Transmedia & Blockbusters : Quand le Cinéma redéfinit ... Actes du séminaire CND " Cartographie de l'information : quelle valeur ajoutée ? " Première thématique : Cartographie de l’information : Etat de l’art Olivia Zarcate, Vice-présidente de l’Association Metacarto, Paris. La cartographie de l'information origine et diversité d'une pratique.pdf (173.4 Mo) Stephan Martin, Membre du groupe IE du Groupement Français de l’Industrie de l’Information (GFII), Paris. Cartographie de l'information : pourquoi et Comment.pdf (1.74 Mo) Franck Ghitalla, Enseignant-chercheur à l’Université de Technologie de Compiègne en Sciences de l’Information. Les nouveaux enjeux de la cartographie de l'information.ppt (21.9 Mo) Evelyne Broudoux, Maitre de conférence en sciences de l'information et de la communication au Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM), Paris. Les espaces graphiques sémantiques de l'information calculée.pptx (3.48 Mo) Deuxième thématique : La cartographie de l’information dans le cycle de la veille Mounir Rochdi, Fondateur Veille.ma, Fondateur réseau Think Tankers, Directeur Général Cybion, Paris. Mounir Rochdi M.

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