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Fleur Pellerin : “Oui, nous voulons des #fablab partout en France”

Fleur Pellerin : “Oui, nous voulons des #fablab partout en France”
La ministre déléguée aux PME, à l’Innovation et à l’Économie numérique a confirmé hier d'un tweet que le gouvernement avait l'intention de développer en France le réseau des fab labs. La discussion en 140 caractères qui a suivi a permis de voir les différents acteurs qui se positionnent sur le très trendy créneau des fab labs. Hier soir, la ministre déléguée aux PME, à l’Innovation et à l’Économie numérique Fleur Pellerin a répondu à notre question posée en guise de titre au compte-rendu d’une récente table ronde sur les fab labs : “Lui, président, implantera-t-il des fab labs ?” Cette table ronde fermée, organisée par Aymeril Hoang, conseiller innovation et économie numérique, avaient réuni jeudi dernier une quarantaine de participants issus du ministère, de l’industrie, comme PSA ou SEB, et du microcosme des startups du numérique. Abus de langage Il y a d’abord le monde du design. Sauf que là encore, le fab lab sera réservé aux adhérents du lieu. Visite au programme

La start-up bretonne Le Fabshop va distribuer Makerbot en France - Mécanique Le pionnier de l’impression 3D pour tous a tourné le dos au mode open source. Il met en place un réseau de distribution et a choisi Le Fabshop pour assurer la diffusion de ses produits en France. Le fabricant d’imprimantes 3D économiques Makerbot lance son nouveau modèle, la Replicator 2, avec un nouveau mode de distribution. Depuis sa création en 2009, Makerbot proposait ses imprimantes en kit en open source. Grâce aux plans fournis, les utilisateurs pouvaient améliorer la machine et en faire profiter la communauté. Le succès de ces imprimantes 3D à prix cassés et l’arrivée de prestigieux investisseurs au sein de la société créée par un ancien hacker ont récemment provoqué l’abandon du mode open source. Le Fabshop assure la vente de la Replicator 2 et va également mettre en place une offre de services, avec la réalisation à la demande de maquettes, pour le grand public comme pour les professionnels.

A Montpellier, les “dingos” d’informatique ont rendez-vous dans l’arrière-salle La fabrication d’une imprimante 3D, un exercice pour des amateurs très avertis. (Ch. P.) Les adhérents de Labsud ne sont pas tous geeks, mais ils apprécient de réfléchir ensemble, partager leurs savoirs. Geek, vous avez dit geek ? "En étudiant mon imprimante 3D, j’ai compris que je pouvais la construire moi-même" Leurs passions : l’informatique et les sciences numériques, en open data, comprenez des informations partagées et gratuites. La nuit, ils se rassemblent pour construire et inventer. Une association de 65 adhérents Labsud est donc une association atypique mais pas seule en son genre. "Les règles des Fablabs sont simples. Jean-Philippe en est persuadé : "Il y a une véritable attente. De la pollution de l'air à la guitare électrique

Chômeuse, Rafaela apprend et bricole hi tech dans un fablab | Rue89 Eco Rafaela parle de son arrivée au Fac-Lab de Gennevillliers Rafaela ne tient pas en place. Un café ? Un tour du propriétaire ? La veille, à la découpeuse laser, elle a fini une boîte en bois où mettre son courrier. La boîte à lettres de Rafaela (Rafaela Ballerini) A l’entendre, elle a tout fait, partout. Bijoutière de formation, elle se sert de déchets électroniques, de bouts de métal et d’une solide maîtrise de la soudure pour fabriquer ses pièces. Mais la bijouterie est un monde impitoyable : après une période d’apprentissage de quatre ans, et la fin des avantages qui en découlent pour l’employeur, elle se retrouve au chômage. Rafaella Ballerini (Crédit photo : Jacob Cigainero) Elle multiplie les expériences, bosse dans une maison de retraite, comme lingère ou réceptionniste dans un hôtel, et s’initie même au tatouage (de la manière la plus sérieuse qui soit, ajoute-t-elle, solennelle). Un regret, ne pas avoir fait d’études plus longues, elle dont le rêve d’enfant était d’être égyptologue.

Fabrique-moi un mouton LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Frédéric Joignot On les appelle les "makers" ("ceux qui fabriquent"). Ce mouvement international de passionnés de high-tech et d'impression 3D prétend réinventer le capitalisme et révolutionner la production des biens de consommation. Il veut en finir avec la standardisation des objets courants, défier l'obsolescence programmée, arrêter les délocalisations, réindustrialiser les villes sans les polluer, relancer l'artisanat. Rien que ça. Chris Anderson dirige à présent une petite usine de drones et de robots volants à San Diego, Californie. Avec ces machines, n'importe quel artiste, designer, architecte ou particulier de talent peut modéliser en 3D un objet ou un prototype auquel l'industrie n'a pas pensé, puis le fabriquer, sur son imprimante 3D ou en passant par une entreprise équipée pour, en plastique, en plâtre, en résine, en aggloméré ou en métal. Comment fonctionne l'impression tridimensionnelle ?

Le mouvement des Makers entre dans une nouvelle ère 29 jan 2013 Le monde de la bidouille se structure et se développe. Avec cela apparaissent différents modèles qui sont autant de possibilités d’évolution. La seconde édition de Jardin numérique, début février à Rennes, témoignera de ces changements, à travers des conférences et… des ateliers bidouille. Nous sommes « à la fin de l’ère des pionniers et au début de l’expansion ». Différents modèles, différentes cultures Cette « véritable explosion » d’après les termes de M. Pour arriver au même foisonnement que pour le web, tout dépendra cependant de « la proximité ou non de relais humains et techniques ». Une prise en compte du politique ? Côté entrepreneurs, « de nouveaux pans économiques vont émerger » selon Hugues Aubin, et avec eux « de nouveaux métiers ». Qu’il s’agisse du volet grand public ou du monde de l’entreprise, le prochain défi sera en tout cas celui de l’appropriation des concepts des « Makers », pour aboutir à une profusion d’initiatives. Jardin numérique Billets similaires :

"On ira dans un fablab comme chez un commerçant" LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Propos recueillis par Frédéric Joignot Le "labmanageur" Jean-Michel Molenaar, 30 ans, a monté deux fablabs ("laboratoires de fabrication") aux Pays-Bas. Il a participé au lancement du fablab de Grenoble, avec l'aide du Centre de culture scientifique technique et industrielle de la ville. Comment créer un fablab ? Sur le site du Massachusetts Institute of Technology (MIT), à Cambridge, on trouve une charte qui précise la mission des ateliers ainsi que la liste des machines indispensables. Combien coûte un fablab ? Il faut 60 000 euros, ce qui explique qu'ils s'adossent souvent à des mairies, des associations ou des institutions.

Entretien avec le hackerspace Osilab (laboratoire lillois militant) Vous trouverez dans la seconde partie de la dépêche un entretien avec le hackerspace Osilab (laboratoire lillois militant) : son histoire, ses activités et réalisations, ses particularités, ses projets, ses publics, etc. Quelle est l'histoire de l'Osilab ? Qui l'a créé ? L'Osilab est issu du milieu libriste et hacker lillois. Fin 2010, Charles a l'opportunité d'avoir un lieu à prêter. Toujours, à la fin du chantier les permanences reprennent (elles seront appelées Bar Bidouille au cours de 2012) et les scripts de gestion et de surveillance sont réécrits, améliorés. Le groupe démarre sous forme de collectif jusqu'à la fin du troisième trimestre 2012. On fonctionne avec un mélange d'autogestion et de doocratie. Il y a deux particularités au lieu et à l'association. L'Osilab a été victime d'un vol et d'un incendie criminel. Nous n'avons plus beaucoup d'informations de la police depuis plus d'un mois. Quels sont les projets actuels et futurs d'Osilab ? De quels projets êtes-vous fiers ?

Le Fab Lab Gi-Nova s'équipe d'une imprimante 3D à faisceau électron - Innovation / Mécanique / Métallurgie - Isère E-lettre Bref | Publié le 08-04-2013 Elle s’appelle EBM pour Electron Beam Melting : la quatrième machine dédiée à l’impression 3D par faisceau d’électron installée en France sera inaugurée cet après-midi à Grenoble, sur la plate-forme d’innovation et de valorisation industrielle Gi-Nova (AIP Primeca Dauphiné-Savoie). Hébergé avenue Félix-Viallet sur le site de Grenoble-INP (administrateur général : Brigitte Plateau), l’équipement du groupe suédois Arcam - seul fabricant au monde de machines 3D à faisceau électron - va servir en priorité deux projets de recherche grenoblois, l’un porté par le laboratoire SIMaP (labex Ceman) avec l’académicien et spécialiste des matériaux Yves Bréchet ; le second par G-SCOP, autre laboratoire grenoblois de génie industriel spécialisé dans les sciences pour la conception, l’optimisation et la production. L'investissement est porté à 600 000 €. La fin de la technologie soustractive ? Outil au service des entreprises A propos de Gi-Nova

Vers un design libre Christophe André est designer militant. Au cours de ses études en école d’ingénieur, on lui demande un jour de concevoir un objet ayant une durée de vie limitée. Cette confrontation à l’obsolescence programmée, au cœur du système de production, axera par la suite sa recherche artistique. Je me suis interrogé sur la conception des objets telle qu’elle prévaut dans notre société consumériste, et sur ce que j’aimerais qu’elle soit dans l’idéal. J’ai appris à forger. Pour lever cette abstraction, j’ai décidé de fabriquer les objets dont j’ai besoin plutôt que de les acheter. Production autonome, production hétéronome : un équilibre à atteindre Ce genre d’expérience est beaucoup plus riche qu’on peut le croire, dans le sens où le fait de créer au lieu d’acheter permet d’acquérir des compétences dans divers domaines. Il n’y a pas d’opposition entre les modes de production hétéronome et autonome mais une complémentarité. La technique : un prolongement du politique Du consommateur au prosommateur

L'impression en 3D bientôt dans votre salon Le procédé devrait rapidement se démocratiser avec l'arrivée sur le marché d'imprimantes 3D très performantes à moins de 2000 dollars (1600 euros environ) d'ici à 2016, selon le cabinet Gartner. L'impression 3D a le vent en poupe. Elle est même présentée par certains comme la prochaine révolution industrielle. Grâce à cette technologie, il est possible de réaliser des objets en très petite série, voire à l'unité. Déjà utilisée dans le domaine de l'industrie pour faire des prototypes depuis plus de dix ans, l'impression 3D se diffuse plus largement pour gagner les PME et même le grand public. Le principe de l'impression 3D peut être comparé à celui de l'impression jet d'encre. L'impression 3D «va permettre de relocaliser» «L'impression 3D va rapidement être disponible dans des kiosques ou des boutiques, créant de nouvelles opportunités pour les détaillants et d'autres business», prédit Pete Basiliere, analyste chez Gartner. » Une arme à feu faite maison avec une imprimante 3D

Fab lab en bibliothèque : Exemples et mode d’emploi Qu’est-ce qu’un fab lab ? Comment mettre en place ce nouveau type de lieu partagé ? Un espace public numérique peut-il aujourd’hui faire évoluer une partie de ces activités en fab lab ? Fab lab : passer de l’âge de l’accompagnement à l’âge du faire numérique L’experte revient sur les différentes périodes technologiques vécues par les bibliothèques (et les lieux d’accès et d’accompagnement à l’informatique et à l’Internet) : l’âge de l’accès et de la formation et désormais l’âge de la participation (ou l’âge du faire numérique). Ce changement de paradigme induit une définition ouverte des lieux partagés que sont les fablabs pensés aussi bien dans les services proposés que dans la capacité de création, de partage et d’éducation à la culture numérique des citoyens : Fab lab : mode d’emploi Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : International Tags: bibliothèque, créativité, EPN, fablab, Innovation, lieux partages

Le Fablab, un laboratoire numérique qui cherche un public populaire - Journal Numérique - Articles locaux Par la rédaction pour La Voix du Nord, Publié le 28/03/2013 - Mis à jour le 28/03/2013 à 02:17 La caverne d'Ali Baba version XXIe siècle, à quoi peut-elle ressembler ? Avec le Fablab, il devient possible de l'imaginer. Imprimante 3D, fraiseuse numérique, découpe vinyle... Des machines au service de l'art numérique que ses utilisateurs du Fablab de Roubaix veulent voir entre toutes les mains. roubaix@lavoixdunord.fr PHOTO « LA VOIX » Le Fablab, un laboratoire où l'art côtoie l'utile et la création taquine le numérique, a un objectif principal : démocratiser les machines telles que découpe-laser, fraiseuse numérique, découpe vinyle et imprimante 3D, trop peu connues du grand public. « Il faut sortir les machines, les amener vers l'extérieur et non les garder ici, au sein des locaux à la QSP », insiste Thierry Mbaye. Pour faire connaître le Fablab, quoi de plus simple que de penser à organiser des ateliers dans les centres sociaux ou les établissements scolaires ? www.meuhlab.org/contact

3 jours autour de la Fabrication Numérique - Tu Imagines ? Construis ! 4. Jeu « Crée ton FabLab  | «MEDIT moi un FabLab Le 30 janvier 2013, nous nous rendons à la Forge des Possibles pour une après-midi de test de notre jeu avec des personnes qui ne sont pas familières de notre projet. C’est donc une totale découverte, qui nous permettra de mieux cibler ce qu’il nous faut encore améliorer avec de pouvoir finaliser le "Crée ton FabLab !". schéma du plateau de jeu utilisé lors de la session Au début du jeu, on nous annonce que celui-ci semble plutôt réaliste et correspond à la réalité des FabLabs (beaucoup de composants électroniques et de quincaillerie par exemple). Les joueurs se révèlent très vite enthousiasmés par les projets : bons points pour nous et surtout grand soulagement ! modèles de cartes, jetons et indicateur temps utilisé lors de la session La première partie se fini en 17 unités-semaine, c’est donc une partie gagnée en un peu plus de trois quart d’heure, ce qui correspond à ce que nous avions jusqu’alors envisagé. modèles de cartes Projet & Hasard utilisées au cours de la session

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