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Fleur Pellerin : “Oui, nous voulons des #fablab partout en France” La ministre déléguée aux PME, à l’Innovation et à l’Économie numérique a confirmé hier d'un tweet que le gouvernement avait l'intention de développer en France le réseau des fab labs. La discussion en 140 caractères qui a suivi a permis de voir les différents acteurs qui se positionnent sur le très trendy créneau des fab labs. Hier soir, la ministre déléguée aux PME, à l’Innovation et à l’Économie numérique Fleur Pellerin a répondu à notre question posée en guise de titre au compte-rendu d’une récente table ronde sur les fab labs : “Lui, président, implantera-t-il des fab labs ?” Cette table ronde fermée, organisée par Aymeril Hoang, conseiller innovation et économie numérique, avaient réuni jeudi dernier une quarantaine de participants issus du ministère, de l’industrie, comme PSA ou SEB, et du microcosme des startups du numérique. Abus de langage Il y a d’abord le monde du design. Sauf que là encore, le fab lab sera réservé aux adhérents du lieu. Visite au programme

The Fab Charter What is a fab lab? Fab labs are a global network of local labs, enabling invention by providing access to tools for digital fabrication What's in a fab lab? Fab labs share an evolving inventory of core capabilities to make (almost) anything, allowing people and projects to be shared What does the fab lab network provide? Operational, educational, technical, financial, and logistical assistance beyond what's available within one lab Who can use a fab lab? Fab labs are available as a community resource, offering open access for individuals as well as scheduled access for programs What are your responsibilities? safety: not hurting people or machinesoperations: assisting with cleaning, maintaining, and improving the labknowledge: contributing to documentation and instruction Who owns fab lab inventions? Designs and processes developed in fab labs can be protected and sold however an inventor chooses, but should remain available for individuals to use and learn from How can businesses use a fab lab?

Fablab France Enfin, Paris a son grand fab lab, il s'appelle Usine IO C'est un fab lab, mais pas que... En plein milieu du 13e arrondissement, dans le futur temple de la technologie parisienne, à quelques centimètres à pied du méga incubateur de la Halle Freyssinet de Xavier Niel, va s'ouvrir Usine IO. 1.500m2 dédiés à la conception, au prototypage produit et à l'industrialisation. Une première à Paris qui n'avait toujours pas de fab lab à la hauteur de ses ambitions en innovation. Sur ces 1.500 m2, on trouvera 400m2 d'atelier bois et métal bourré de découpeuses et graveuses laser, d'imprimantes 3D ou de matériel d'usinage léger, entre 200 m2 et 400 m2 pour une zone de conception, et 500 m2 d'espace de coworking pour une soixantaine de personnes. Un paradis pour les bidouilleurs, les start-ups, les PME et les grands industriels. Plus qu'un fab lab à l'américaine «Nous avons constaté, explique Benjamin Carlu, un énorme besoin dans la création industrielle. Un concept totalement original en Europe En plein cœur de Paris

La start-up bretonne Le Fabshop va distribuer Makerbot en France - Mécanique Le pionnier de l’impression 3D pour tous a tourné le dos au mode open source. Il met en place un réseau de distribution et a choisi Le Fabshop pour assurer la diffusion de ses produits en France. Le fabricant d’imprimantes 3D économiques Makerbot lance son nouveau modèle, la Replicator 2, avec un nouveau mode de distribution. Depuis sa création en 2009, Makerbot proposait ses imprimantes en kit en open source. Grâce aux plans fournis, les utilisateurs pouvaient améliorer la machine et en faire profiter la communauté. Le succès de ces imprimantes 3D à prix cassés et l’arrivée de prestigieux investisseurs au sein de la société créée par un ancien hacker ont récemment provoqué l’abandon du mode open source. Le Fabshop assure la vente de la Replicator 2 et va également mettre en place une offre de services, avec la réalisation à la demande de maquettes, pour le grand public comme pour les professionnels.

« Il y a une bulle autour de l’impression 3D et du mot "lab" » Aurélien Fache, membre de Makery, anime un atelier grand public © Makery Entre le canal bobo et les cités de Colonel Fabien à Paris, il faut pousser la porte des Ekluz, une « fabrique culturelle et numérique » pour atterrir chez Makery. Dans un modeste 15 m2, les quatre membres permanents de la rédaction nous reçoivent au milieu de vieux Macintosh et d'un « compteur de place vélib » fabriqué avec circuit imprimé open-source. On lit sur le site que « Makery est lui même est un projet en DIY ».

Welcome | FabLabs Le paradigme économique des Tiers Lieux Les Tiers Lieux se développent essentiellement au cœur des villes et recouvrent des réalités multiples comme des coworking spaces, des Living Labs ou des Fab Labs. D’un point de vue théorique, les Tiers Lieux constituent des supports privilégiés de production et de valorisation d’innovations grâce à leur capacité à articuler les trois dimensions essentielles de l’innovation (spatiale, sociétale et productive), des dimensions a priori non directement marchandes ou monétaires. En cela, les Tiers Lieux préfigurent l’émergence d’un nouveau paradigme économique et remettent en cause une conception du marché associée à l’idée d’une sphère « hors sol » et autonome où s’établiraient uniquement des comportements calculateurs, impersonnels et égoïstes. Pour illustrer notre hypothèse, nous nous appuyons sur un ensemble de Tiers Lieux que nous étudions actuellement en France et en Espagne dont le Medialab Prado à Madrid et FabCity, un projet du Fab Lab de Barcelone. Le Media Lab Prado, Madrid

Chômeuse, Rafaela apprend et bricole hi tech dans un fablab | Rue89 Eco Rafaela parle de son arrivée au Fac-Lab de Gennevillliers Rafaela ne tient pas en place. Un café ? Un tour du propriétaire ? La veille, à la découpeuse laser, elle a fini une boîte en bois où mettre son courrier. La boîte à lettres de Rafaela (Rafaela Ballerini) A l’entendre, elle a tout fait, partout. Bijoutière de formation, elle se sert de déchets électroniques, de bouts de métal et d’une solide maîtrise de la soudure pour fabriquer ses pièces. Mais la bijouterie est un monde impitoyable : après une période d’apprentissage de quatre ans, et la fin des avantages qui en découlent pour l’employeur, elle se retrouve au chômage. Rafaella Ballerini (Crédit photo : Jacob Cigainero) Elle multiplie les expériences, bosse dans une maison de retraite, comme lingère ou réceptionniste dans un hôtel, et s’initie même au tatouage (de la manière la plus sérieuse qui soit, ajoute-t-elle, solennelle). Un regret, ne pas avoir fait d’études plus longues, elle dont le rêve d’enfant était d’être égyptologue.

Quels instruments pour les amateurs dans le contexte des « fablabs » ? Quels instruments pour les amateurs dans le contexte des fablabs ?, Lundi 20 juin 2011 - 17h00-20h00 Cette conférence coordonnée par l’Institut de Recherche et d’Innovation du Centre Pompidou s'inscrit dans le cadre du projet FabLab2 ( Elle portera sur la figure de l’amateur dans les Fablabs et s’interrogera sur la manière dont on peut l’accompagner (conceptuellement, institutionnellement, technologiquement), ainsi que sur la portée sociétale de ce mouvement de réappropriation des technologies. Armen Khatchatourov : Introduction Coup de projecteur sur les projets - 30 minutes Vincent Guimas : MagLab Mobile Antoine Mazières : Fabelier Session 1 : Quels instruments pour amateur ? François Brument (ENSCI) : Le rôle du designer dans un FabLab et sa capacité à développer des outils permettant au plus grand nombre de co-concevoir des objets. Session 2 : Enjeux sociaux des FabLabs - 1 heure Conférence organisée par Armen Khatchatourov (IRI).

Fablab Festival Toulouse 2015, Conférences et ateliers makers, Imprimante 3D, robotique Le mouvement des Makers entre dans une nouvelle ère 29 jan 2013 Le monde de la bidouille se structure et se développe. Avec cela apparaissent différents modèles qui sont autant de possibilités d’évolution. La seconde édition de Jardin numérique, début février à Rennes, témoignera de ces changements, à travers des conférences et… des ateliers bidouille. Nous sommes « à la fin de l’ère des pionniers et au début de l’expansion ». Différents modèles, différentes cultures Cette « véritable explosion » d’après les termes de M. Pour arriver au même foisonnement que pour le web, tout dépendra cependant de « la proximité ou non de relais humains et techniques ». Une prise en compte du politique ? Côté entrepreneurs, « de nouveaux pans économiques vont émerger » selon Hugues Aubin, et avec eux « de nouveaux métiers ». Qu’il s’agisse du volet grand public ou du monde de l’entreprise, le prochain défi sera en tout cas celui de l’appropriation des concepts des « Makers », pour aboutir à une profusion d’initiatives. Jardin numérique Billets similaires :

L’obsolescence déprogrammée : Prendre le parti des choses pour prendre le parti des hommes, Fablabs, makers et repair cafés par Marie Goyon crédit photographique : Fabrique d'Objets Libres, Laboratoire de l’obsolescence déprogrammée (LOD) Il est établi que les objets ont une vie sociale, affective et sensible dont on peut même retracer le parcours biographique (Appadurai, Kopytoff). Ils ont parfois une « seconde vie » par l’intermédiaire de dispositifs divers, prenant la forme de détournement (artistique comme par exemple le travail précurseur de Marcel Duchamp), de recyclage, de métissage ou de façon plus directe de deuxième vie d’usage (le marché de l’occasion et de la « seconde main »). Dans le cadre de cette recherche j’interroge plus précisément la dimension politique de la seconde vie des objets, à travers la réparation et le bricolage. Entrons-nous dans une ère placée sous le signe du néo-artisanat et du « bricolage » ? Références Appaduraï et Kopytoff : APPADURAI Arjun (dir.), 1988, The Social Life of Things, Commodities in Cultural Perspective, Cambridge University Press. Imprimer ce billet Posté dans : Recherches

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