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31 mai 1968 : mai se termine en juin

31 mai 1968 : mai se termine en juin

Mai 68, vidéo Mai 68, vidéo Economie et société Vie sociale - Archives vidéos Economie et société Vie sociale Esprit(s) de mai 68 En mai et juin 1968, l’intersyndicale de la Bibliothèque Nationale prend part aux mouvements contestataires qui agitent le pays et se réunit chaque jour rue de Richelieu pour réfléchir à l’avenir de la BN. Dans le même temps, une centaine d’agents volontaires font preuve d’ingéniosité et s’activent pour collecter tracts, affiches, banderoles qui forment aujourd’hui un témoignage unique du mouvement de mai 68. Voici des extraits du récit qu’en fait Marie-Renée Morin alors responsable du Service de l’Histoire de France. Comme tous les organismes publics ou privés, la Bibliothèque Nationale ne resta pas indifférente aux événements de mai 68. Une séance mémorable de l'intersyndicale se tint le 20 mai dans la salle de travail envahie par le personnel, les grandes tables des lecteurs se transformèrent en tribunes et servirent de tremplin aux orateurs en mal de dominer le brouhaha. toutes sortes de volontaires les dernières négociations L'époque la plus difficile fut celle de la fin.

Le 13 mai 1958 et ses conséquences à Paris et Alger - Jalons pour l'histoire du temps présent Les événements du 13 mai 1958 mettent fin à la conception parlementaire de la République. Ce jour là, à Alger, un comité de vigilance fondé par d'anciens combattants, des groupes de patriotes et des partis politiques, appelle à manifester contre le FLN. Au même moment, à Paris, le président de la République René Coty désigne au poste de président du Conseil le MRP Pierre Pflimlin, qui est investi avec une majorité confortable de 174 voix pour, 120 contre et 137 abstentions. Un comité de Salut public est alors formé, où se retrouvent le gaulliste Léon Delbecque et le général Massu, qui fait nommer à la tête d'un Comité de Salut public de l'Algérie française le général Raoul Salan, commandant en chef de l'armée d'Algérie. Pour le gouvernement et les parlementaires, de Gaulle est solidaire de la rébellion algérienne qu'il encourage.

» Le 13 Mai 1958 : la journée qui fit tomber la IVème République - Réussir en Histoire et Géographie Le mois de Mai 2008 aura été celui des anniversaires. Après les 40 ans de Mai 68, déjà évoqué dans des articles précédents, voici les 50 ans de la Vème République Voici un lien vers les vidéos de l’INA : Alors qu’en 1958 la Tunisie et le Maroc étaient déjà indépendants, la situation en Algérie s’était gravement détériorée: le Front de libération nationale (FLN) avait lancé une insurrection en novembre 1954, entraînant une escalade militaire. D’après le site de l’université laval au Québec. 13 mai 1958 naissance de la Cinquième République, vidéo 13 mai 1958 naissance de la Cinquième République, vidéo Histoire et conflits Epoques - Archives vidéos Histoire et conflits Epoques

13 mai 1958 - Alger se révolte Le 13 mai 1958, les Algérois d'origine européenne en appellent au général de Gaulle pour maintenir la souveraineté de la France sur l'Algérie. L'insurrection va avoir raison de la IVe République... et inutilement prolonger la guerre d'Algérie en mettant fin aux espoirs nés quelques mois plus tôt. Sabotage d'une solution politique Au début de l'année 1958, Pierre Pflimlin, député MRP (chrétien-démocrate) de Strasbourg, est pressenti pour la présidence du Conseil. Mais il est soupçonné de vouloir négocier un cessez-le-feu avec les rebelles du FLN qui luttent pour l'indépendance de l'Algérie. Les gaullistes qui militent corps et âme pour le retour du général de Gaulle au pouvoir encouragent les Pieds-noirs à la sédition. Le 13 mai 1958 est le jour de l'investiture de Pierre Pflimlin. Le général Jacques Massu en prend la présidence. De Gaulle, le retour Le 19 mai, il donne une conférence de presse pour dire qu'il refuse de recevoir le pouvoir des factieux d'Alger.

6 février 1934 - Manifestation sanglante à Paris Le 6 février 1934, le radical Édouard Daladier présente à la Chambre des députés son nouveau gouvernement. C'est le prétexte à une violente manifestation antiparlementaire qui va faire trembler la République et susciter en définitive l'union des socialistes et des communistes, jusque-là refusée par ces derniers. André Larané Quatre-vingts ans plus tard... Nous relevons des similitudes entre le 6 février 1934 et le «Jour de colère» du 26 janvier 2014, à Paris aussi : hostilité à un gouvernement de centre-gauche impuissant à juguler la crise économique et affaibli par des affaires de corruption, manifestants majoritairement issus de la droite traditionnelle, mais avec une frange violente venue des extrêmes... Fracture politique Édouard Daladier a été pressenti le 30 janvier par le président de la République Albert Lebrun pour présider le Conseil des ministres. L'opinion publique soupçonne - à tort - les ministres et les députés d'avoir trempé dans ses combines. Tragique manifestation

La manifestation antiparlementaire du 6 février 1934 à Paris - Jalons pour l'histoire du temps présent La manifestation antiparlementaire du 6 février 1934 constitue l'une des crises politiques majeures de la IIIe République. Depuis les débuts de la crise économique en France, les différents gouvernements de la IIIe République (la droite libérale de 1930 à 1932 ; les radicaux depuis 1932) doivent faire face à la montée d'une importante contestation politique. Les mouvements antiparlementaires, notamment les ligues d'extrême-droite, connaissent en effet un essor spectaculaire. Les gouvernements en place sont accusés d'immobilisme contre les difficultés économiques et le chômage, le système parlementaire est de plus en plus présenté comme un système inefficace, incapable par ses lenteurs d'apporter une réponse adaptée à la crise. Au début de l'année 1934, se saisissant de l'affaire Stavisky, l'Action française lance une grande campagne contre le gouvernement des "voleurs et des assassins". Les conséquences politiques du 6 février 1934 sont très importantes.

Chronologie de l’affaire Dreyfus : faits et débats parlementaires – Assemblée nationale Coll. part. 1859 : naissance d'Alfred Dreyfus à Mulhouse 1870 : occupation de l'Alsace-Lorraine 1894 : arrestation et condamnation d'Alfred Dreyfus 1895 : dégradation du capitaine Dreyfus à l'École militaire à Paris et déportation à l'île du Diable 1898 : publication dans l'Aurore de « J’accuse !... 1899 : procès de Rennes 1903 : relance de la révision par Jean Jaurès 1906 : réhabilitation d'Alfred Dreyfus 1914-1918 : première guerre mondiale ; mobilisation d'Alfred Dreyfus 1935 : mort d'Alfred Dreyfus à Paris 6 octobre 1894 : La Section de statistique (service de renseignements de l'armée soupçonne le capitaine Alfred Dreyfus d'être l'auteur d'un bordereau manuscrit non signé adressé à l'attaché militaire de l'ambassade d'Allemagne en France Maximilian von Schwartzkoppen et relatif à l'envoi de documents secrets. Maximilian von Schwartzkoppen 15 octobre 1894 : Le capitaine Dreyfus est arrêté sur ordre du général Mercier . Auguste Mercier Photographie Marius Neyroud © Ordre des avocats de Paris

Assemblée nationale : La République et le suffrage universel Le 4 septembre, la foule envahit la salle des séances du Corps législatif. La République est proclamée. Assemblée nationale Voir aussi : Le 3 septembre 1870, Paris apprend le désastre de Sedan. A minuit, le Corps législatif se réunit. Comme en 1793, comme en 1848, les grilles sont forcées et la salle des séances envahie. Léon Gambetta Gambetta : Contre le plébiscite, discours au Corps législatif (5 avril 1870) Gambetta proclame la République devant le palais du Corps législatif, 4 septembre 1870Assemblée nationale[Texte manuscrit de la proclamation à l'Hôtel de Ville] Les élections de janvier 1872 - un bureau électoral dans une commune des environs de Paris Carte d'électeur d'Honoré Daumier pour le scrutin du 7 janvier 1872Bibliothèque de l'Assemblée nationaleLa République, s'identifie à l'unité de la nation. — L'amendement Wallon Le fameux vote de la République « à une voix de majorité » est raconté comme suit par l'historien Daniel Halévy : Daniel Halévy. 1.

ZOLA DREYFUS, vidéo ZOLA DREYFUS, vidéo Economie et société Justice et faits divers - Archives vidéos Economie et société Justice et faits divers Consignes de travail Quelques dates clés de l'histoire de la presse française - La presse française en 2008 : un secteur en mutation - Dossiers 1631Création par Théophraste Renaudot du premier périodique français, la Gazette, hebdomadaire. 1777Parution du premier quotidien français, le Journal de Paris. 19 mai 1789La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen proclame en son article 11 : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre des abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». 17 décembre 1800Arrêté du Premier consul restreignant la liberté de la presse. La censure est rétablie. 1815-1914Période considérée comme l’âge d’or de la presse, dont les tirages augmentent considérablement, du fait des progrès techniques (impression, transports, moyens de communication), de la libéralisation des institutions et de l’élévation du niveau d’instruction. 1835Création de la première agence de presse au monde, l’agence française Havas.

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