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Make It Up, un festival pour déjouer l’obsolescence programmée

Make It Up, un festival pour déjouer l’obsolescence programmée
Dans le même esprit que l'Open Bidouille Camp qui s'est déroulé à la fin de septembre à Paris, n'hésitez pas à faire un tour à Make It Up ce week-end, au marché Malassis, aux puces de Saint-Ouen. Cet événement a pour ambition d'interpeller sur la question de l'obsolescence programmée de nos objets quotidiens et d'imaginer ceux que nous utiliserons demain. Ou comment faire du neuf avec du vieux... et un bon sens plus poussé qu'ici ? Un dispositif en deux temps Mathilde Berchon, spécialiste du mouvement des "makers" (ces "bricoleurs du XXIe siècle") s'occupe de la communication du festival. Leur envie ? Aussi l'événement a-t-il débuté le week-end dernier avec la réunion de six équipes pluridisciplinaires (designeurs, développeurs, ingénieurs mécaniques, électroniciens, scénographes, marketeurs) qui avaient pour objectif de créer des prototypes d'objets communicants et durables à partir de matériel de récupération. Découverte des objets obsolètes Résultat des courses de créativité ?

bidouille Pâques : t’as d’beaux oeufs tu sais Ah mes p’tits lapins, le printemps se fait attendre et les oeufs risquent de s’cailler dans l’herbe, dimanche. Pourquoi ne pas en profiter pour rester au chaud et s’amuser à faire un peu de cuisine et de déco de circonstance … Continuer la lecture Publié dans Le truc du moment Marqué avec alimentation, bidouille, chocolat, cuisine, décoration, DIY, fait-main, fête, maison, nourriture, oeufs, pâques Sept idées cadeaux à zéro euro Nous le savons tous: l’essentiel ne s’achète pas. Publié dans Le truc du moment Marqué avec bidouille, bricolage, cadeaux, cuisine, DIY, don, échange, gratuit, noël, récup, troc Make It Up, un festival pour déjouer l’obsolescence programmée Dans le même esprit que l’Open Bidouille Camp qui s’est déroulé à la fin de septembre à Paris, n’hésitez pas à faire un tour à Make It Up ce week-end, au marché Malassis, aux puces de Saint-Ouen. L’Open Bidouille Camp a fait sa fête à la bricole

Pétition - Les dessous de la HighTech Les Amis de la Terre ont besoin de vous ! Après l’adoption du projet de loi consommation en première lecture, aucune sanction ne peut être prise à l’encontre d’un producteur qui limite la durée de vie de ses produits, ou encore aucune disposition légale n’oblige les producteurs à fabriquer des pièces détachées. Pourtant, l’allongement de la durée de vie des produits et la promotion de la réparation présentent à la fois un intérêt économique et écologique : moins de déchets à collecter et à traiter, et plus d’emplois dans le secteur de la réparation et de l’économie sociale et solidaire. Pour y parvenir, des mesures s’imposent, et notamment : Faciliter le recours à la réparation en informant mieux le consommateur des possibilités de réparations et en soutenant le secteur de la réparation. Ce projet de loi sera débattu à nouveau au Sénat les 27 et 28 janvier. Lire la Bande dessinée réalisée par Capucine

La ville durable tiendra-t-elle toutes ses promesses ? «Smart Cities, un marché qui décolle?» La réponse à la question posée par le site Greenunivers.com lors de la conférence organisée ce mardi ne semble pas faire débat. D'ailleurs, les chiffres cités par le consultant du cabinet Grant Thornton, Marc Claverie, sont limpides: les investissements dans la ville intelligente devraient progresser de 14,2% par an d'ici à 2016 pour atteindre 1000 milliards de dollars, répartis entre la production et la distribution d'eau et d'énergie, les transports, le bâtiment et la gouvernance des villes. La sécurité est le secteur qui pèsera le plus lourd, avec près d'un tiers des investissements en 2016, et les «utilities» celui qui progressera le plus fortement, à un rythme annuel de 29%. Issy-Grid, vitrine française de l'éco-quartier Des représentants de Siemens (qui a inauguré il y a quelques semaines en plein c? Une smart city, pourquoi et pour qui ?

Transformer des panneaux publicitaires en jardins suspendus USA / / Amérique du nord Lorsque l’artiste Stephen Glassman, natif de Los Angeles, remarque la résistance des panneaux d’affichage face au tremblement de terre de 1994 à Northridge, son idée « Urban Air » (l’air en ville) prend vie : transformer des panneaux publicitaires en oasis ! Une photo de Stephen Glassman montrant comment il vise à transformer les panneaux d’affichage en jardins suspendus de bambou afin de créer des espaces ouverts dans le ciel de Los Angeles. (Stephen Glassman) Naissance d’un projet Garages bloqués, routes effondrées. Mais l’artiste Stephen Glassman a remarqué qu’un type de structure avait résisté: les panneaux publicitaires. Ce souvenir a accompagné la mémoire de l’artiste jusqu’à ré-imaginer le quotidien de ces piliers d’acier ! Son dernier projet, « Urban Air », vise ainsi à transformer ces panneaux publicitaires en jardins de bambous suspendus pour créer un « espace ouvert » dans le ciel de la ville. Tout cela a un coût. Mobiliser les fonds Toucher les conducteurs

Les sols, grands oubliés de l'environnement Les sols subissent la pression des activités anthropiques : d'une part, la production croissante de denrées alimentaires, et d'autre part les pollutions, l'exploitation de ressources, l'urbanisation, les changements climatiques, la déforestation, ... Par conséquent, les sols fertiles sont de plus en plus rares. La perte annuelle globale de sol par érosion éolienne ou hydraulique est de 24 milliards de tonnes, soit plus de 3 tonnes par être humain, alors que le processus naturel de fabrication du sol nécessite 100 à 500 ans pour seulement 1 kilogramme, ce qui en fait une ressource non renouvelable (83% des sols africains exploités sont dégradés). En Allemagne, à cause du remembrement et de l'érosion, 80 ha disparaissent chaque jour, alors que l'objectif politique est de ne pas dépasser 30 ha. La première Global Soil Week s'est tenue à Berlin du 18 au 22 novembre 2012 sous le slogan "Des sols pour la Vie" (Soils for Life). L'arrêt de la dégradation des sols Let's Talk About Soils ! Notes

Place Publique - Média citoyen, relais d’engagements associatifs et outil de démocratie participative D.Sabo, le 6/01/2013 Le débat national sur la transition énergétique qui s’engage en ce début d’année est l’occasion d’agrandir son champ de vision sur les potentialités des énergies durables. Le futur offre un panel de ressources et de techniques d’énergies encore méconnues et néanmoins prometteuses. Qui dit énergies durables dit le plus souvent éoliennes, photovoltaïque, hydraulique ou biomasse. Mais le panier de ces énergies est plus grand qu’on ne croit et plein de surprise. Voici dix solutions encore peu exploitées, qui d’ici 10, 20 ou 50 ans viendront compléter notre mix énergétique. 1. D’aucuns l’affirment : la révolution de l’énergie se trouve dans les plantes. Sept équipes de recherche et un partenaire industriel travaillent sur le projet, dont Jean-Paul Cadoret, chef du laboratoire de physiologie et biotechnologie des algues de l’Ifremer. 2. 3. L’énergie osmotique repose sur un phénomène physique : l’osmose. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.

Energie : dix solutions méconnues qui peuvent changer le futur Qui dit énergies durables dit le plus souvent éoliennes, photovoltaïque, hydraulique ou biomasse. Mais le panier de ces énergies est plus grand qu’on ne croit et plein de surprise. L’avenir énergétique de la planète est en effet bien plus riche qu’il n’y paraît. Voici dix solutions encore peu exploitées, qui d’ici 10, 20 ou 50 ans viendront compléter notre mix énergétique. A condition que les recherches aboutissent, que les moyens financiers suivent et que l’éthique écologique soit associée au développement de certaines d’entre elles. 1. D’aucuns l’affirment : la révolution de l’énergie se trouve dans les plantes. Sept équipes de recherche et un partenaire industriel travaillent sur le projet, dont Jean-Paul Cadoret, chef du laboratoire de physiologie et biotechnologie des algues de l’Ifremer. 2. 3. L’énergie osmotique repose sur un phénomène physique : l’osmose. 4. 5. 6. Tout le monde connaît aujourd’hui les défauts des biocarburants : leur impact environnemental. 7. 8. 9. 10. Source

Consommation: "Servez-vous, tout est gratuit" La démarche Incredible Edible, "Les Incroyables Comestibles" en français, est née en 2008, en Angleterre, et fait aujourd'hui des émules en France. Les citoyens proposent des fruits et légumes en libre-service dans l'espace public et font le choix de produire et de consommer localement, dans un esprit d'entraide. Chacun plante des légumes dans des bacs de fortune et les dépose devant sa porte, afin de permettre à tout le monde de se servir. C'est le cas du village de Colroy la Roche, en Alsace, d'où est parti le mouvement Incredible Edible pour la France. Dans la même lignée, Mireille Gigante est animatrice du Magasin pour Rien, à Mulhouse. Enfin, arrivant tout droit de Buenos Aires, les gratiferias sont des marchés gratuits avec un seul mot d'ordre "Servez-vous, tout est gratuit".

La finance solidaire La « finance solidaire » ambitionne de se différencier de la finance « spéculative » développée dans le système capitaliste tel qu’on le connait aujourd’hui. Elle aspire à transformer la réalité sociale, puisqu’elle touche à un aspect particulièrement controversé du système capitaliste : le poids croissant acquis par les opérations financières, ou « financiarisation de l’économie ». La finance solidaire représente une des expressions de l’économie solidaire, terme qui fait référence aux organisations de producteurs, consommateurs, épargnants « qui tournent autour de l’idée de solidarité par opposition à celle d’individualisme compétitif qui caractérise le comportement économique dominant dans les sociétés capitalistes [1] ». Les sujets actifs dans le domaine de la finance solidaire se trouvent confrontés à la tâche difficile de refuser certains aspects du capitalisme tout en postulant des principes qui lui sont propres. Marchés capitalistes et marchés civiques

Quand hackers et agriculteurs s'allient pour l'autonomie énergétique - Technologies rurales Ils désenclavent des territoires, frappés d’exclusion numérique. Ils développent des réseaux Internet autonomes en zone de montagne, installent des panneaux solaires organiques, ou permettent à des webradios locales d’émerger. Et peuvent même transformer des abreuvoirs abandonnés en jacuzzis écolos. Les « hackerspaces », espaces conviviaux de création d’outils technologiques, essaiment en milieu rural. Pouvez-vous définir ce que sont les hackerspaces ? Philippe Langlois : Un hackerspace est un lieu physique autonome qui rassemble des gens autour de projets qui ont trait à la technologie. Les hackerspaces sont nés en Allemagne dans les années 1990 mais se sont véritablement développés en 2005. Quels sont les projets qui en émergent ? Il y a des projets portés sur l’autonomie énergétique, la cartographie participative, l’art numérique, mais aussi le recyclage local de plastique ou encore la dépollution. Comment les hackerspaces sont-ils arrivés en milieu rural ? Photo : source

Une tuile-nichoir pour oiseaux? A voir! Design – Tuile: Il arrive assez fréquemment que des oiseaux se coincent entre le toit et les sous-pentes de nos maisons. En effet, les oiseaux comme nous aiment être à l’abri pour donner la vie. Pour palier à ce problème et pour offrir un lieu à l’abri pour nos oiseaux, Klass Kuiken (Nl) …. propose une tuile agencée d’un nichoir. C’est beau, c’est bien, c’est pratique aussi quand il faut remplacer une tuile… pour ne pas voir les différences de couleurs. Et pourquoi pas sur des ardoises? PS important : Mon ami googlien Jean de Kasteel me souffle dans l’oreillette qu’il faut faire attention à l’orientation du toit…: « un toit en pente vers l’ouest aura plus de pluie, vers le nord du vent froid et pas de chaleur du soleil. » Voici le lien vers le créateur >>> Clic Clic Clic WordPress: J'aime chargement… Connexe Rachid H? Dans "Actu Art" Une maison totalement étanche? Idée pour Idées : Aujourd'hui et à cause des inondations, beaucoup de personnes se retrouvent sans logis, sans meubles, sans rien...

À quoi ressemblera le monde en 2060 La crise actuelle que connaît l’Europe, couplée à la croissance exceptionnelle depuis plus d’une décennie des pays émergents, donne du grain à moudre aux « déclinistes » de tous poils. Une récente étude de l’OCDE tente de dresser un portrait économique du monde en 2060. Premier constat : effectivement, les positions relatives vont bien changer. Actuellement, les États-Unis produisent 23 % de la richesse mondiale et la zone euro 17 %, alors que dans cinquante ans leur part respective ne sera plus « que » de 16 et 9 %. À l’inverse, la Chine verra la sienne passer de 17 à 28 %, ce qui fera d’elle la première puissance économique mondiale, et l’Inde de 7 à 18 %, dépassant ainsi les États-Unis. Ce n’est d’ailleurs que dans un peu plus de dix ans qu’elles dépasseront la richesse des pays du G7. Pour autant, si l’on raisonne en termes de niveau de vie, c’est-à-dire de PIB par habitant, le constat doit être nuancé : le classement des pays selon ce critère devrait rester à peu près inchangé.

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