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Une campagne contre le viol qui ne blâme pas les victimes

Une campagne contre le viol qui ne blâme pas les victimes
Une campagne canadienne contre le viol utilise des termes simples pour tenter de raisonner et de responsabiliser les potentiels agresseurs. Les campagnes d’affichage contre le viol qui ne blâment que les agresseurs et ne tentent pas inconsciemment de faire culpabiliser les victimes sont malheureusement bien rares. Il y a près d’un an, par exemple, une campagne américaine conseillait aux femmes d’éviter de perdre le contrôle d’elles-mêmes en buvant par exemple à outrance. Mais les services de police d’Edmonton, au Canada, ont décidé de procéder d’une toute autre façon et viennent de sortir la suite d’une campagne contre le viol entamée il y a deux ans et dont Marie.Charlotte vous parlait dans un article sur la culture du viol. « Ce n’est pas du sexe si elle n’en a pas envie. « Ce n’est pas du sexe si elle est saoule. « Ce n’est pas du sexe si elle s’est évanouie. Et parce que les victimes ne sont pas obligatoirement des femmes… « Ce n’est pas du sexe s’il change d’avis.

Not Ever Manifeste contre le viol : plus de 700 signataires Depuis sa publication dans "le Nouvel Observateur" du 22 novembre, le "manifeste des 313" compte toujours plus de signatures. Plus de 700 femmes y ont désormais souscrit, en écrivant à violmanifeste@nouvelobs.com. Comme Clémentine Autain, à l'origine de cet "acte politique", toutes déclarent avoir été violées et se mobilisent pour qu'enfin "la parole se libère, car le silence, la honte et la culpabilité font le jeu des violeurs". Pour qu'émerge la réalité sociologique de ce crime qu'est le viol. Avocates, médecins, policières, secrétaires, agricultrices... Il ne s'agit pas d'une succession de cas isolés mais bien d'un fait social massif, comme l'atteste l'afflux de réponses au manifeste. Quarante ans après le "manifeste des 343" en faveur du droit à l'avortement, ces femmes s'engagent aujourd'hui "dans une initiative collective fondamentale", selon Caroline De Haas, conseillère auprès de la ministre des Droits des femmes. Téléchargez "le Nouvel Observateur" du 22 novembre : - sur PC / Mac

A tale of two rape prevention campaigns Here is the poster for Rape Crisis Scotland's new campaign, "Stop Rape!" As the organisation's website says: "Rape Crisis Scotland has adapted an apt and popular revision of the traditional approach to rape prevention in a new poster and postcard campaign. You can click here to read the list of "top 10 tips to end rape", which include "Don't put drugs in women's drinks" and "Don't forget: it's not sex with someone who's asleep or unconscious - it's RAPE!" Here is a poster produced by South Wales Police, spotted in Swansea today by the eagle-eyed and subsequently enraged @welshfeminist. It seems that every winter brings a fresh crop of anti-rape campaigns from the police or local authorities. In 2009 we had the Association of Chief Police Officers telling women to "Let your hair down, not your guard". I'm sure you can think of similar campaigns. Actually, a lot of people don't, because it's what we're used to. "Don't be a victim" is such a negative slogan. When will the police take notice?

Finally, Date Rape Ads That Put The Onus On The Raper Changing the conversation about sexual assault in the “rape capital of America” Posted by Tom Megginson | 20-04-2013 21:52 | Category: Violence This campaign launched last year, but I just stumbled upon it today when Slutwalk Toronto shared one of the ads from Everyday Feminism‘s Facebook page. Make Your Move Missoula is “a group of community organizations dedicated to ending sexual violence” in Montana, USA. The positive message of standing up against rape culture is reminiscent of a trend we’ve been tracking by the American Association of University Women, The Association of Chief Police Officers in Scotland, and Sexual Assault Voices of Edmonton. Almost a year ago, Jezebel reported that the city of Missoula the was known as the “rape capital of America” due to an alarming number of sexual assaults at the University of Montana. The creative may be a little gimmicky, but the conversation is an important one.

Manifeste Violences et Soins : pour que les victimes de violencesreçoivent des soins appropriés et que leurs droits soient respectés En France, en 2014, l'absence de dépistage des violences, de protection des victimes et de soins spécialisés sont à l'origine d'un coût humain énorme et d'un coût très important en dépenses de santé et en aides sociales qui auraient pu être évités. Or Il est possible de combattre la violence, non par un tout-sécuritaire qui ne cible que certaines violences, mais par une prévention ciblée, une protection sans failles et une prise en charge spécialisée des victimes. Toute victime doit être protégée et soignée, ses droits doivent être respectés. C'est un scandale sanitaire, social et humain : où comment toute une société abandonne les victimes de violence, sans protection ni soin, et fabrique sans fin des souffrances, des maladies, de l'exclusion, de l'inégalité, de l'injustice et de nouvelles violences. UN MANIFESTE ET UNE PÉTITION SUR VIOLENCES ET SOINS www.memoiretraumatique.org Les victimes de violence subissent des injustices en cascade :

No means no Une belle affiche, il faut aussi le dire ! Parfois, on me reproche d’être trop critique…alors je me dis c’est vrai, quand c’est bien, il faut le dire aussi ! C’est tellement difficile de dénoncer l’oppression sans la reproduire…et lors de l’atelier fait aux dernières rencontres des féministes en mouvement sur les femmes sans tête, ou la représentation des femmes en image, nous nous étions dit : il faut trouver les bons exemples ! N’hésitez pas à m’en envoyer si vous en trouvez d’autres… Aujourd’hui, voici donc une belle affiche, découverte dimanche à la Mirabal, par le Collectif féministe contre le viol, est un bel exemple de comment le visuel et le message peuvent servir efficacement notre cause. Voilà pourquoi je pense que cette affiche est bien : elle s’adresse à la victime de viol sans la culpabiliser. Victime de viol Vous n’y êtes pour rien Le coupable c’est lui Il n’avait pas le droit C’est la loi C’est simple, clair, précis, cela n’invisibilise pas le coupable, le violeur criminel, cela rappelle la loi. A lire également :

Mercy : Short Film Short Summary The story of Mercy focuses on Chris, a young woman who takes matters into her own hands when her girlfriend is kidnapped. The film will discuss themes of rape culture, justice, violence and the empowerment of victims. In addition to telling a powerful story with a female protagonist, we want to add a voice to the existing, on going discussion of these issues. The Mercy team is a group of young filmmakers, headed by writer/director Aeryn Michelle. What We Need & What You Get We have estimated that we'll need about $7,000 to see this project through. - About $2000 of this money will go towards filming permits and general insurance alone. - Another $700 will go towards feeding the cast and crew lunch and dinner during our 9-day shoot. - $800 will go towards costumes, props, set design, and makeup. - $3000 will go towards the rental of and insurance for sound, lighting, and other production equipment The Impact Of course, there is only so much that we can do, as artists.

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