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Ces monnaies locales qui voulaient se faire plus grosses que l'euro

Ces monnaies locales qui voulaient se faire plus grosses que l'euro
Le "sol violette" à Toulouse, la "pêche" à Montreuil, la "bogue" à Aubenas, la "muse" à Angers, l'"occitan" à Pézenas, l'"abeille" à Villeneuve-sur-Lot, la "sardine" à Concarneau, la "cassole" à Castelnaudary,... 17 monnaies locales circulent actuellement en France, et presque autant sur le point de voir le jour. Un phénomène qui prend une ampleur telle que des Rencontres nationales des monnaies locales étaient même organisées ce week-end à Montreuil. Depuis une vingtaine d'années, qu'ils soient immatériels (sous forme d'échange de services, par exemple) ou de plus en plus sous forme de véritables coupures en papier, toujours indexés sur l'euro, ces modes de paiement alternatifs séduisent les municipalités qui veulent relancer l'économie locale, en y ajoutant même parfois une dose de volonté éthique ou environnementale. Une fidélité récompensée Contexte de crise Cette démarche n'est pas l'apanage des petites villes.

Le Village | un nouveau lieu de vie pour les sans-abri Somalie : aide humanitaire - JA2 20H - 05/12/1992 - 03min15s 52 rue d'Orgemont © OpenStreetMap and contributors, under an open license

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