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Les modèles d’affaires du web 2.0

Les modèles d’affaires du web 2.0
Les sites web 2.0 offrent toujours un accès gratuit à leurs services. Leur économie repose donc sur la capacité à valoriser les activités et les échanges qui se développent sur le site de manière à générer des revenus autour de ce service gratuit. Jean-Samuel Beuscart, Christophe Dacheux et Kevin Mellet, chercheurs au laboratoire Sense d’Orange Labs ont cherché à identifier les différentes modalités de monétisation de la présence et de l’activité des utilisateurs. L’occasion, à travers la modularité de ces différentes combinaisons, de mieux identifier et comprendre les modèles d’affaire du web 2.0. On peut identifier quatre modalités distinctes de monétisation de la présence et de l’activité des utilisateurs. 1. Le principe du Freemium (contraction des mots Free et Premium) est fréquent : l’utilisation des services de base est gratuite, l’accès aux services premium étant, lui, payant. Ces quatre formes de monétisation assurent aux sites web 2.0 des revenus directs. 2.

La possible économie du Web 2.0 Pourquoi faudrait-il donc un Web 2.0 ? Manie des versions, ou réel changement ? Un petit upgrade sur la question. Comment transformer de la philosophie en innovation ? Bientôt ce ne sera plus une nouveauté, mais en attendant, le filon Web 2.0 est loin d’être tari. Faire de l’argent avec le travail des autres ? Il est facile d’identifier les acteurs emblématiques du Web 2.0 : Wikipédia, Yahoo Answers, Deli.cio.us, YouTube, MySpace, etc. Deux raisons expliquent cette frilosité ; d’abord, cette nouvelle mouture du Web se contente de développer une philosophie privilégiant le principe d’ouverture et facilitant la contribution de tous, mais il n’y a pas de brevet à faire valoir. Wikipedia est la parfaite illustration de ceci : bien qu’il possède maintenant une renommée qui fait de l’ombre à la séculaire Encyclopédia Britannica, Wikipedia est impossible à commercialiser, simplement pour des raisons de propriété intellectuelle. Encore une bulle ? * Activité qui n’a pas de sens sans Internet.

Où en est la consommation média sur mobile et tablettes ? : 27% de la consommation média réalisée sur mobile Les français utilisateurs d'Internet mobile consomment plus de 7 heures de médias par jour. Après avoir détrôné la TV, le PC ne représente finalement que le second poste de consommation média avec 113 minutes par jour : c'est en effet le mobile qui arrive en tête puisqu'il représente 27% de la consommation média quotidienne des français, avec 116 minutes. A noter que 51% des français pratiquent le multi-tasking devant leur poste de télévision. La France se situe ainsi dans la moyenne de consommation quotidienne de médias sur mobile avec ses 116 minutes, contre 117 dans le monde.

Dictionnaire de l'informatique et d'internet - DicoFR - Mozilla Les 50 chiffres à connaître sur les médias sociaux en 2012 L’heure est aux traditionnels bilans de fin d’année ! Même si elle n’est pas encore tout à fait terminée, on peut dire que 2012 aura été une année plutôt riche en ce qui concerne les média sociaux : le milliardième membre sur Facebook, la montée en puissance de Pinterest, les levées de fonds toujours plus énormes… Les chiffres traduisent l’engouement pour les médias sociaux, dont l’usage ne faiblit pas. Mais que faut-il retenir de cette année 2012 ? Nous avons compilé ici 50 chiffres marquants, qui résument bien ce qu’il s’est passé sur les médias sociaux au cours des 12 derniers mois. Facebook Twitter Youtube 4 milliards de vidéos sont vues chaque jour935 millions : le nombre de vues de la vidéo Gangnam style aujourd’hui… Le milliard approche.Youtube a fêté ses 7 ans en mai 201272 heures de vidéos sont uploadées chaque minute sur Youtube700 vidéos Youtube sont partagées sur Twitter toutes les minutesEn moyenne, un visiteur de Youtube y passe 15 minutes par jour Google Plus Pinterest

L'audiovisuel à l'ère du web : éclatement des marchés et nouvell Qui sommes-nous ? Située à Bry-sur-Marne (94), INA sup est l’école publique des métiers de l’audiovisuel et des médias numériques. Comme les écoles supérieures d’architecture, d’art, ou encore La FEMIS, INA Sup est une école du ministère de la Culture. Elle propose des formations aux différents métiers de l’audiovisuel allant du niveau bac au niveau bac + 5. Une école de l’audiovisuel et des médias numériques Depuis 1975, l’INA forme les professionnels de l’audiovisuel. Une école inclusive INA sup déploie une offre de formation ouverte à tous et pour laquelle la motivation des jeunes est un critère prioritaire de recrutement. Des diplômes reconnus dans le secteur de l’audiovisuel et des médias numériques Les diplômes auxquels prépare INA sup bénéficient de reconnaissances officielles à divers titres. Toutes les formations INA sup sont également largement reconnues dans le milieu professionnel, ce qui permet aux diplômés d’INA sup de se placer facilement sur le marché du travail.

Quand le mobile anticipe les besoins de son utilisateur Intuitive User Interfaces propose une interface sur laquelle s'affichent les applications correspondant aux attentes du propriétaire du mobile. Pour ce faire, le système comprend et enregistre les habitudes de la personne. "Les utilisateurs disent souvent que leurs téléphones portables sont trop compliqués à manipuler", explique Eran Aharonson, fondateur et PDG de Intuitive User Interfaces.

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