background preloader

Trouble de stress post-traumatique

Trouble de stress post-traumatique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le trouble de stress post-traumatique ou TSPT[N 1] (en anglais PTSD, pour Posttraumatic stress disorder) désigne un type de trouble anxieux sévère qui se manifeste à la suite d'une expérience vécue comme traumatisante avec une confrontation à des idées de mort[1],[2],[3]. Le TSPT est moins fréquent que la réponse aiguë au stress[4]. Le TSPT peut être dû à la répétition de situations anxiogènes ou dégradantes plutôt qu'à un événement unique[réf. nécessaire]. Diagnostic[modifier | modifier le code] Classification[modifier | modifier le code] Le trouble de stress post-traumatique est catégorisé en tant que trouble anxieux dans le DSM IV. Symptômes persistants[modifier | modifier le code] Le patient souffrant d'un TSPT se plaint d'un sentiment de désespoir ou d'horreur associés à une triade de symptômes persistants : intrusion : l'individu revit l’événement traumatisant. Évitements et retrait[modifier | modifier le code] (en) Jerry Yellin, Dr. Related:  Manipulation mentale

Novlangue Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le principe est simple : plus on diminue le nombre de mots d'une langue et plus on fusionne les mots entre eux, plus on diminue le nombre de concepts avec lesquels les gens peuvent réfléchir en éliminant les finesses du langage, plus on rend les gens incapables de réfléchir, et plus ils raisonnent à l'affect. La mauvaise maîtrise de la langue rend ainsi les gens stupides et manipulables par les instruments de propagande massifs tels que la télévision. C'est donc une simplification lexicale et syntaxique de la langue destinée à rendre impossible l'expression des idées potentiellement subversives et à éviter toute formulation de critique de l’État, l'objectif ultime étant d'aller jusqu'à empêcher l'« idée » même de cette critique[1]. Le mot novlangue est depuis passé dans l'usage au féminin par analogie avec langue, lorsqu'il désigne péjorativement un langage destiné à déformer une réalité, hors du contexte du roman.

www.disaster-resilience.net L'Art d'avoir toujours raison La bibliothèque libre. Traduction Wikisource - Texte entier: HTML PDF Note : le manuscrit original ne comportait pas le titre et fut probablement écrit vers 1830. Introduction Stratagèmes La résilience: un concept pour la gestion des catastrophes et crises Politique de sécurité:analyses du CSSN° 60 • septembre 2009 CSSETH Zurich LA RÉSILIENCE: UN CONCEPT POUR LAGESTION DES CATASTROPHES ET CRISESLe concept de résilience a gagné de l’importance après des événements comme l’ouraganKatrina ou les attentats terroristes de New York, Madrid et Londres. Cette évolution est due àla réalisatio ’ garantie de sécurité intégrale n’est pas possible étant donné la diversité,n qu unela complexité et l’imprévisibilité des risques modernes. Le but de la résilience est d’accroîtrela capacité générale de résistance et de régénération des systèmes techniques et sociaux.On tient de plus en plus compte du concept dans les domaines de la protection contre lescatastrophes et de la gestion des crises. complexité et l’imprévisibilité des risquesmodernes, impossible de s’armer contretoutes les crises potentielles et de ga-rantir une sécurité intégrale. Politique de sécurité:analyses du CSS liente. © 2009 Center for Security Studies (CSS), ETH Zurich

Petit traité de manipulation à l'usage des honnêtes gens Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Petit traité de manipulation à l'usage des honnêtes gens est un essai de psychologie sociale de Robert-Vincent Joule et Jean-Léon Beauvois paru en 1987[1],[2] et réédité en 2002 puis en 2014 aux Presses universitaires de Grenoble[1],[3]. Vendu à deux cent cinquante mille exemplaires au 15 janvier 2008[2], et à trois cent mille exemplaires au 15 août 2012[1],[3], cet ouvrage est un best-seller dans sa discipline, qu'il a contribué à faire connaître auprès du grand public[4]. Description[modifier | modifier le code] Cet ouvrage de vulgarisation met en scène une certaine Madame O. dans un pays imaginaire appelé Dolmatie. Sa vie est un drame parce qu'elle se montre incapable de déceler et de contrer les tentatives de manipulation de ceux qu'elle rencontre au quotidien, du commercial au mendiant. Notes et références[modifier | modifier le code] Robert-Vincent Joule et Jean-Léon Beauvois (préf.

IFFORME RNF 2011 Ateliers > Mise en place d'un référentiel d'actions pour développer la culture du risque majeur Animation : Yvette Thellier et Virginie Perromat La création d'un guide d’actions et d’acteurs pour la promotion de la culture du risque majeur (risques naturels et technologiques) permettrait principalement d’encourager la multiplication d’actions dans les territoires et favoriser la mise en place de partenariats entre les différents acteurs du domaine en question. A travers l’utilisation de ce guide, l’objectif est d’inviter les acteurs à œuvrer ainsi qu’à se rencontrer dans le but d’établir une culture du risque majeur et par là-même participer à la résilience des populations et des territoires. Encourager une dynamique territoriale plus prononcée : en facilitant les partenariats, les actions…etc. Pour ce faire un important travail de fond ainsi que la mobilisation d’une majorité représentative d’acteurs sont nécessaires. Voir le compte-rendu de l'atelier. Participants :

Manipulation mentale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vue d'artiste de la coercition et du lavage de cerveau La manipulation mentale est l'ensemble des tentatives obscures ou occultes de fausser ou orienter la perception de la réalité d'un interlocuteur en usant d'un rapport de pouvoir, de séduction, de suggestion, de persuasion, de soumission non volontaire ou consentie. Quand ce pouvoir ne s’exerce pas sur un objet, mais se rapporte au contrôle psychique d’une personne, on parle de manipulation mentale[1]. Cette notion protéiforme est récente dans ses contours, dérivée de la théorie du « lavage de cerveau » encore mal connue. Notion controversée[modifier | modifier le code] Arnaud Esquerre, sociologue, pose les questions « Qu’est-ce qui distingue un consentement fabriqué d’un consentement non fabriqué par quelqu’un d’autre ? La manipulation mentale est un élément de compréhension essentiel de certaines dérives pour les uns, mais une thèse réfutée pour les autres[5]. En France

IFFORME RNF 2011 Interventions > Approche conceptuelle de la résilience Jacques Faye, chef de bureau de l'information préventive, de la coordination et de la prospective au MEDDTL Qu’est ce qu’un risque ? Le risque est le produit d’un aléa et d’un enjeu. Considérons un territoire, celui de Chinon par exemple, avec la Loire, et un phénomène aléatoire, la crue. L'aléa est caractérisé par deux critères : la probabilité de survenue (dans le temps) et l’intensité. Les enjeux sont largement diversifiés : humains, économiques, environnementaux, patrimoniaux… Ils sont caractérisés par leur importance (quantitative, affective…etc.) et par leur vulnérabilité (fragilité face à l’aléa) parfois intrinsèque (par exemple dans le cas de personnes handicapées). Qu'est-ce qu'un risque majeur ? En France, actuellement, les deux risques majeurs de référence sont le risque sismique aux Antilles et une crue de Seine d'une ampleur équivalente à celle de 1910. Réduire la gravité Renforcer notre réactivité L'éco résilience

Related: