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J’aime les sensations fortes

J’aime les sensations fortes
L'imprévu, l'aventure, les émotions... tout plutôt que l'ennui de journées qui se suivent et se ressemblent. Sécurité, humanitaire, sport, spectacle : des univers pour vivre des sensations fortes sans prendre de risques inutiles. Avoir l'étoffe d'un héros Alerte à la bombe, prise d'otages, ministre ou président étranger à escorter, immeuble en feu, hold-up, guerre de gangs, mission humanitaire à sécuriser... pour affronter toutes ces situations périlleuses, il faut vraiment aimer les sensations fortes. La police, l'armée, mais aussi l'humanitaire, en particulier l'humanitaire d'urgence qui intervient dans des contextes difficiles (guerres, catastrophes naturelles, etc.), ont besoin de professionnels courageux, sérieux, bien formés. Pour quels profils ? Anticiper, prévoir Beaucoup moins connus que les pompiers, les policiers ou les militaires, des professionnels veillent dans l'ombre à la sécurité des entreprises. Je préfère les émotions artistiques et sportives Me sentir utile

J’ai le sens du contact Donner, échanger, partager... des mots qui, pour vous, sont synonymes d'offrir, d'aider, de faire plaisir. Vous vibrez au rythme des rencontres et vous souhaitez faire un métier qui mette l'accent sur les relations humaines. Faire partager ma passion Vous pouvez parler pendant des heures de votre sport favori ou de vos voyages. Les guides-conférenciers passionnés par l’histoire de leur ville savent rendre leur discours vivant pour captiver les touristes qu’ils accompagnent. Les guides de haute montagne conduisent des groupes vers les plus beaux sommets en respectant les règles de sécurité. Pour quels profils ? Aider en privilégiant le dialogue Plus que la vie trépidante du groupe, vous aimez les relations à deux, l'écoute, la solidarité. Les travailleurs sociaux interviennent, eux, auprès des jeunes, des personnes handicapées ou âgées pour dénouer des conflits familiaux ou les aider à gérer des situations administratives complexes. Associer goût des relations et sens du commerce

Mécanique : 40 à 50 000 recrutements prévus d'ici 2020 Premier employeur industriel de France, la mécanique est présente dans de nombreux secteurs de pointe comme l’aéronautique, l’énergie, la mécatronique, la robotique... Les recrutements font la part belle aux jeunes techniciens et aux ingénieurs. © DIGITALVISION - 30 à 40 % des embauches dans la mécanique s'adressent aux jeunes. De l’optique à l’aérospatiale : des industries en pôle position Se classant au 6e rang mondial, les industries mécaniques françaises regroupent 30 700 entreprises de plus de 1 salarié (dont 85 % de PME) et emploient 617 000 salariés. La transformation (sidérurgie, fonderie, plasturgie) et l’équipement (production de composants, machines, systèmes) se partagent l’essentiel de l’activité. Sur un créneau plus étroit, l’industrie de précision (optique, instruments de mesures et de navigation, matériel médical…) poursuit son expansion. Techniciens et ingénieurs ont la cote Un mécanicien, un préparateur méthodes et un ingénieur de production racontent leur quotidien

Armée et sécurité : engagement et action au service des autres Assurer la relève dans les forces armées C’est sur le dynamisme des jeunes recrues que repose largement la capacité opérationnelle des trois armées (terre, air, marine). Au total, plus de 200 000 militaires et environ 70 000 civils exercent dans le secteur. Plus de 60% des militaires exercent sous contrat à durée limitée (de 1 an, renouvelable 4 fois, ou de 5 à 10 ans). Très largement en tête avec 115 000 militaires, l’Armée de Terre concentre 75 % des recrutements annuels. Tout aussi ouverte, la gendarmerie accueille 9500 personnes (chiffre 2012). Côté Police nationale en revanche, les recrutements se font au compte-gouttes : moins de 300 candidats ont été admis au concours en 2011, dont une majorité de gardiens de la paix. Toutefois, des adjoints de sécurité sont recrutés en masse. Enfin, entraînés à combattre le feu et les inondations, les sapeurs-pompiers sont majoritairement volontaires. Des spécialités déficitaires dans l’armée et la gendarmerie De même dans la Marine Nationale.

militaire du rang (armée de terre) Fiche métier Qu'il soit tireur-missile, cuisinier, aide-soignant... le militaire du rang, entièrement formé à l'armée, est avant tout soldat. Il signe un premier contrat de quelques années souvent renouvelé plusieurs fois en fonction de ses aptitudes et des besoins de l'armée. Il acquiert des savoir-faire et des savoir-être précieux dans le cadre de la reconversion dans le civil. Niveau d'accès : 3e Statut(s) : Militaire Synonymes : Combattant/e, Soldat/e Métiers Associés : Cuisinier/ère mess, Grenadier/ère voltigeur/geuse, Opérateur/trice transmissions, Tireur/euse de missile Secteur(s) professionnel(s) : Armée - Sécurité, Fonction publique Centre(s) d'intérêt : J'aime bouger, J'aime les sensations fortes, Je veux être utile aux autres, Je veux faire respecter la loi Vous souhaitez nous faire part d'une suggestion à propos de cette fiche métier ou nous suggérer de nouveaux métiers à traiter, utilisez notre Formulaire de Contact

J'aime bouger Le cocooning ? Très peu pour vous ! Votre ambition : courir le monde, bouger. Vous avez l'âme d'un globe-trotter. Dans le tourisme Surfer sur le Net pour regarder des carnets de voyage, aider les parents à trouver le Bed and Breakfast le moins cher pour un week-end familial à Londres ou ailleurs, pour vous, c'est un vrai plaisir... avant même d'être sur place. Une précision s'impose : seuls 20 % des professionnels du secteur multiplient les déplacements ; les autres sont sédentaires. Parmi les grands voyageurs, on trouve les guides, les interprètes, les animateurs, les hôtesses de l'air, les pilotes d'avion, les conducteurs de cars ou de train, les skippers. Le métier qui fait rêver ? Du tourisme à l'hôtellerie-restauration, il n'y a qu'un pas : la gastronomie française est si appréciée à l'étranger que les cuisiniers peuvent y exporter leur savoir-faire. Pour quels profils ? Dans les arts ou l'audiovisuel Une bonne idée. En France À l'étranger L'Hexagone est trop petit pour vous.

Le sport est ma passion Être sportif professionnel Vous rêvez de rejoindre le club prestigieux des sportifs professionnels. Il faut savoir que tous les champions ont pour point commun d'avoir commencé leur activité très jeunes. D'une durée de 10 à 20 ans, leur carrière exige une entière disponibilité, des déplacements fréquents et des entraînements intenses. Mais il n'y a pas que la compétition. Enfin, si vous préférez vous épanouir dans une activité utile, la police et l'armée peuvent vous intéresser. L'animation, l'éducation sportive me tentent Ce qui vous motive ? Vous pouvez devenir professeur d'EPS (éducation physique et sportive) pour enseigner tous les sports à des élèves, ou encore moniteur, spécialisé dans un sport mais auprès de publics variés. Vous pouvez aussi combiner votre passion pour le sport et votre intérêt pour les activités liées au bien-être et à la détente dans des secteurs comme le tourisme et l'animation. Travailler dans l'univers du sport

Je veux travailler dans le commerce Vendre, négocier Pour vendre, il faut d'abord acheter. Par exemple, pour fabriquer un T-shirt, il faut de la matière première et de la main-d’œuvre pour la transformer. Ce sont ensuite des commerciaux qui vendent ces T-shirts, choisissent pour cela des réseaux de distribution adaptés et négocient avec les responsables de magasins ou d'hypermarchés. En bout de chaîne, les vendeurs en boutique sont en contact direct avec les clients. Tous aiment et savent négocier, discuter, mais sont aussi souvent des spécialistes dans leur domaine (textile, automobile, high-tech, outillage, etc.). Concevoir les produits Le yaourt, avec ou sans fruits ? Pour éviter l'échec commercial, tous les moyens sont bons : enquêtes, sondages d'opinion, réunions de groupe, entretiens individuels... Être son propre patron À l'idée d'avoir un chef pour vous dire comment organiser votre travail, vos cheveux se hérissent. Si vous aimez en plus créer, fabriquer vous-même, vous avez sans doute le profil d'un artisan.

Les écoles de police Entamer une école police équivaut à une incorporation : l’élève s’engage à rester au service de l’Etat au moins 4 ans à compter de sa titularisation (une fois diplômé). Encore faut-il franchir la barrière des concours de plus en plus sélectifs, ouverts à des profils de plus en plus diplômés. © Alain Potignon Les critères d’admission en école de police Les futurs fonctionnaires de police sont recrutés, de 18 à 30 ans, à différents niveaux, selon la fonction qu’ils veulent exercer au sein des forces de police. En 2013, 1126 candidats ont été admis aux concours externes, dont 1096 gardiens de la paix (768 affectés en Ile de France), 20 commissaires et 10 ingénieurs de la police technique et scientifique. Quelles épreuves aux concours ? Pour réussir le candidat doit réunir de bonnes capacités d’analyse et de synthèse, des acquis sérieux dans les fondamentaux scolaires (français, maths) ainsi que des connaissances portant sur l’actualité et les institutions. Différentes écoles de police

J'aime la nature Vous avez envie d'évasion, de grand air. Quelles que soient les saisons, faire face aux éléments naturels ne vous fait pas peur. Vous voulez tout apprendre sur la nature, la faire découvrir, la protéger. Ces métiers sont faits pour vous ! Vivre de la terre et de la mer Faire pousser des plantes, améliorer les espèces végétales, travailler la terre, pêcher, élever des animaux... c'est le quotidien de milliers de personnes qui exercent des métiers très différents, mais dont le point commun est l'amour de la nature. Les agronomes sélectionnent les semences, les agriculteurs les mettent en terre, les pépiniéristes commercialisent les plantes, et les fleuristes les mettent en valeur. Les éleveurs élèvent, soignent, nourrissent les animaux (coquillages et crustacés pour les aquaculteurs, veaux, vaches ou porcs pour les éleveurs...). Pour quels profils ? Entretenir et protéger la nature Il y aura toujours des arbres à élaguer, des forêts à débroussailler, des jardins à créer et à entretenir.

J’aimerais me lancer dans la communication La communication, c'est vaste. Cela recouvre le journalisme, les relations presse, la création d'événements, la publicité, l'édition, la documentation et une foule d'autres spécialités à découvrir. Informer, communiquer La communication recouvre notamment le journalisme, les relations presse, la création d'événement. Informer, c'est le travail des journalistes presse, radio, télé ou web : ils interviewent différentes personnes pour donner une information qui se veut objective. Communiquer, c'est la mission des professionnels de la communication d'entreprise, chargés de délivrer des messages qui donneront une image positive de leur société. Pour quels profils ? Dans les coulisses de la publicité Vous n'êtes jamais avare d'un bon mot. Le concepteur-rédacteur jongle avec les mots, les univers pour mettre en avant les qualités d'un produit. Comme la publicité s'affiche aussi, le directeur artistique s'attelle, lui, au visuel, que ce soit une photo, un dessin ou un film. Faire partager la culture

Automobile : des métiers en mutation De la recherche et développement à la vente en passant par la fabrication et la réparation, l’automobile fait travailler environ 700 000 personnes en France. Les réparateurs et les concessionnaires pèsent pour plus de la moitié. Le pari de la R & D Le monde de l’automobile est constitué principalement de 4 types d’entreprises : les constructeurs (Renault, PSA Peugeot Citroën), les équipementiers (Valeo, Faurecia, Plastic Omnium...) qui fabriquent des systèmes contrôle moteur, des tableaux de bord, des amortisseurs…, les distributeurs (concessionnaires) et les réparateurs (garages et carrosseries). Ce secteur, qui emploie globalement près de 700 000 personnes en France, est en pleine mutation. Les effectifs salariés du commerce automobile sont en baisse, tandis que le secteur de la réparation progresse, porté par le vieillissement du parc de véhicules. Côté technique, côté commercial Du CAP au bac+5 : une large palette de qualifications Un carrossier réparateur raconte son quotidien

Educateur sportif / Educatrice sportive Que fait-il ?L'éducateur sportif anime des activités sportives pour différents publics, enfants ou adultes, débutants ou confirmés, dans une discipline sportive précise : escrime, football, tennis, roller, tir à l'arc, etc. Il encadre un groupe et accompagne chacun des pratiquants dans sa progression. Comment travaille-t-il ?Moniteur de voile, professeur de judo, maître nageur sauveteur, l'éducateur sportif organise l'activité sportive du groupe dont il est responsable et permet à chacun de progresser à son rythme. Où exerce-t-il ? Les +Pour les passionnés d'une discipline sportive, ce métier constitue un moyen d'en vivre et de l'exercer quotidiennement. Les -Précarité, saisonnalité...

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