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CHRD Lyon

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Journaux clandestins de la Résistance Dès le début de l’Occupation allemande, des journaux furent composés et diffusés clandestinement dans le but de contrer la propagande officielle, sensibiliser les populations et réveiller leur sentiment patriotique. Compte tenu des conditions précaires de fabrication et de distribution le nombre exact de parutions pour un même titre est parfois à l’heure actuelle encore inconnu ou incertain. Malgré les informations apportées par les donateurs, le nombre des numéros d’un même titre est souvent inconnu, l’ordre lui-même des séries présente des incertitudes. Un numéro enfin a pu être imprimé en plusieurs endroits différents : ceci justifie que les variantes d’un même numéro figurent dans Gallica.Issue principalement de dons de résistants ou de fonds documentaires, l’offre en ligne sur Gallica comprend des exemplaires d’origines très diverses, parfois des copies et non des originaux.

Si je reviens un jour : les lettres retrouvées de Louise Pikovsky En 2010, lors d’un déménagement au sein du lycée Jean-de-La-Fontaine, dans le 16e arrondissement de Paris, des lettres et des photographies ont été trouvées dans une vieille armoire. Enfouis là depuis des dizaines d’années, ces documents appartenaient à une ancienne élève, Louise Pikovsky. Plusieurs mois durant, cette jeune lycéenne a correspondu avec sa professeure de lettres. Son dernier courrier date du 22 janvier 1944, jour où elle est arrêtée avec sa famille. France5 - SHOAH - Résistance et libération : La résistance LA RESISTANCE Durant la guerre, des juifs el des non-juifs résistèrent aux nazis, dans toute l'Europe occupée. Ces combattants résistants, appelés des partisans, volaient des armes, faisaient sauter des voies ferrées et tendaient des embuscades aux soldats allemands. Des juifs réussirent à s'échapper des ghettos et des camps de concentration pour se cacher ou rejoindre la Résistance.

Captation vidéo. Enseigner la Résistance et la déportation Deux journées de formation inter-académique sur le thème de la Résistance et de la déportation ont été organisées par le Ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche – Inspection générale de l’Éducation nationale -, les académies de Paris, Créteil et Versailles. Elles ont reçu le soutien de la Fondation de la Résistance, du Mémorial de la Shoah, de l’université Paris IV-Sorbonne, du Musée du général Leclerc de Hauteclocque et de la Libération de Paris - Musée Jean Moulin, du Musée de la Résistance Nationale à Champigny-sur-Marne, de la DMPA (Direction de la mémoire, du patrimoine et des archives) de l’ONACVG (office national des anciens combattants et victimes de guerre), du Canopé-CRDP de Créteil et du Centre européen du résistant déporté Natzweiler-Struthof. Les actions de communication, la captation et le montage vidéo de la rencontre ont été réalisés par les étudiants du lycée Sophie Germain (Paris IVè) qui préparent un BTS Communication.

Documentaire : "Une vie nous sépare" Comment fait-on pour ne pas oublier sans émotion ? C'est quoi le devoir de mémoire ? "Je m’appelle Baptiste, j’ai 18 ans, Denise Holstein en a 92. Une vie nous sépare. Dans les années 30, Denise a fréquenté le même collège que moi, à Rouen. Les 70 ans du Chant des partisans Le chant des partisans © Radio France C'est l'anniversaire d'un monument du patrimoine français.. "Le Chant des partisans" existe depuis 70 ans.

Si je reviens un jour : les lettres retrouvées de Louise Pikovsky En 2010, lors d’un déménagement au sein du lycée Jean-de-La-Fontaine, dans le 16e arrondissement de Paris, des lettres et des photographies ont été trouvées dans une vieille armoire. Enfouis là depuis des dizaines d’années, ces documents appartenaient à une ancienne élève, Louise Pikovsky. Plusieurs mois durant, cette jeune lycéenne a correspondu avec sa professeure de lettres. Son dernier courrier date du 22 janvier 1944, jour où elle est arrêtée avec sa famille. Internés à Drancy, le père, la mère et les quatre enfants ont été déportés à Auschwitz.

Châteaubriant (44) : La Sablière, carrière des fusillés Les 27 fusillés à la Sablière, 22 octobre 1941 22 octobre 1941. Un mercredi. C’est jour de marché à Châteaubriant La guerre dure depuis déjà deux ans mais la foule se presse autour des étals, autant pour se retrouver que pour acheter . Visiter et comprendre le Struthof Bienvenue sur le site Internet « Visiter et comprendre le Struthof », fruit d'un partenariat entre le Centre européen du résistant déporté-STRUTHOF et le Centre régional de documentation pédagogique - CRDP d'Alsace. Cette coopération s'inscrit dans le cadre plus large de la convention signée entre les ministères de la défense et de l'éducation nationale. Vue de l'ancien camp de Natzweiler - Lieu dit "Le Struthof" fin 1943 /struthof/wp-content/uploads/slideshow-gallery/diapo-1.jpg Le 21 avril 1941 au lieu dit "le Struthof", les nazis ouvrent un camp de concentration, le KL-Natzweiler. Le camp central, seul camp de concentration sur le territoire français est situé en qui était alors l'Alsace annexée.

Premiers combats du dossier « Jean Moulin, un héros de l’ombre » - Pour mémoire - CNDP « Signez, me dit l'officier blond, où vous serez ce qu'il vous en coûte de narguer des officiers allemands. » Comme je ne me résous pas à me pencher pour prendre la plume, je reçois entre les omoplates un coup qui me fait chanceler. C’est l’officier qui se trouver derrière moi qui m’a frappé violemment avec le canon de son arme. Je proteste contre ces odieux traitements : « On m’a amené ici pour voir le général ? C’est avec lui que je veux traiter. » Mon appel au général est accueilli par des rires bruyants accompagnés de plaisanteries en allemand que je n’arrive pas à saisir. « Il n’est plus question du général, me dit enfin le jeune officier blond, mais nous allons vous conduire à un autre officier », et il appelle un des fonctionnaires de l’entrée auquel il donne un ordre. Le soldat me saisit par l’épaule et me pousse, plutôt qu’il ne me dirige, vers une autre pièce de la maison. Suggestions d’activités

Port-Louis (56) Citadelle-Mémorial des fusillés Le 27 avril 1944, dans le cadre de la « lutte contre les terroristes », le général Fahrmbacher qui commandait le XXVe Corps d’Armée en Bretagne, donna l’ordre d’« installer des centres de rassemblement » dans la citadelle de Brest dans le Finistère, dans la citadelle de Port-Louis et au Fort Penthièvre dans le Morbihan, « où devront être logés les terroristes arrêtés au cours des interventions de la troupe, en accord avec le SD, jusqu’à leur jugement ou leur évacuation ». La garde de ces lieux de détention, où siégèrent des tribunaux militaires allemands spéciaux, fut confiée à un régiment de forteresse. De mai 1944 à mai 1945, de nombreux résistants détenus dans des prisons du Morbihan et de Quimperlé dans le Finistère ont été transférés dans la citadelle de Port-Louis, qui servait alors de prison allemande où étaient détenus les soldats de la Wehrmacht frappés de sanctions disciplinaires. Selon l’historien Jean-Claude Catherine, « les exécutions se passaient vers 5 heures du matin.

VIDEOS. Le Chant des Partisans a 70 ans: 5 choses à savoir La première version du Chant des Partisans était écrite en russe À l'origine, c'est Anna Marly -une guitariste d'origine russe, réfugiée à Londres pour fuir l'invasion de la France par le régime nazi d'Hitler- qui compose la musique du Chant des Partisans, en 1942. Dans sa première version, l'hymne des résistants s'appelle Le Chant de la Libération et les paroles sont en russe, parfois précédé d'une traduction lorsqu'Anna Marly le chante à la BBC. Une mélodie sifflée pour passer outre le brouillage allemand et se reconnaître dans le maquis Le refrain du Chant des Partisans a, au début, été sifflé par hasard, par "réflexe".

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