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(Anexe 2 ) mauvaises conditions de travail

(Anexe 2 ) mauvaises conditions de travail
Origine : www.cairn.info/revue-nouvelle-revue-de-psychosociologie-2006-1-page-117.htm Hélène Weber « L'adhésion des employés à l'organisation chez McDonald's », Nouvelle revue de psychosociologie 1/2006 (n° 1), p. 117-127. Hélène Weber, psychologue, docteur en sociologie, membre du Laboratoire de changement social de l’Université Paris VII, helene.weber (at) tiscali.fr. McDonald’s se présente comme une entreprise offrant à ses employés des conditions de travail et un contenu d’activité particulièrement contraignants et peu épanouissants (taylorisation des tâches, station debout quasi permanente, horaires décalés, etc.). Pourtant, une proportion non négligeable d’entre eux projette d’y faire carrière et adhère profondément à l’organisation. J’ai travaillé deux ans dans deux restaurants différents de l’enseigne aux postes d’équipière polyvalente, formatrice, chargée de dépôt et responsable de zone. Adhésion et engagement Adhésion et fusion Adhésion et imaginaire Bibliographie Enriquez, E. 1997.

(Anexe 3 ) bonnes conditions de travail L'esprit de la "Star Academy" souffle chez McDonald's qui, pour motiver ses employés, a lancé un grand concours de chant doté d'un prix de 25.000 dollars (17 519 euros), réservé à ses salariés dans le monde entier. "Tout ce que vous pouvez faire pour motiver vos troupes à l'intérieur d'une organisation génère encore davantage de motivation. Cela inspire les gens et bien sûr cela se traduit par un personnel plus dévoué et plus fidèle", résume pour l'AFP une porte-parole du groupe, McDo emploie 1,6 million de personnes dans une centaine de pays dans un secteur, la restauration rapide, où le taux de rotation du personnel atteint 70%, c'est-à-dire que 7 employés sur 10 ne restent pas plus d'un an. Initié en 2006, le concours "Voice of McDonald's" ("les voix de McDonald's") a suscité un tel engouement parmi les employés que l'entreprise a décidé de renouveler l'opération tous les deux ans. "Le succès de la première compétition a été une grande surprise pour la compagnie", affirme Heidi Barker.

McDonald's : du ketchup et de la mayo pour soigner les salariés brûlés McDonald's invente une nouvelle recette de grand-mère contre les brûlures (sic)... 33% des employés du fast-food qui se sont brûlés sur leur lieu de travail se seraient vu proposer de soigner leurs blessures avec du ketchup, de la moutarde ou de la mayonnaise. C'est ce que montre une étude du cabinet Hart Research Associates menée en ligne sur 1.426 salariés de la chaîne aux Etats-Unis et relayée par "Le Guardian" et "Le Monde". Et les brûlures sont loin d'être anecdotiques : quatre employés sur cinq disent avoir été brûlés au travail l'an passé. 58% disent l'avoir été plusieurs fois, pointant le manque d'effectifs et la pression constante dont ils sont l'objet pour accomplir toujours plus vites leurs tâches. Les salariés blessés évoquent des bacs de graisse bouillante manipulés sans protection, les jets d'huile de friteuse, une trousse de premiers soins complètement vide... "Mettez de la mayonnaise dessus" 28 plaintes contre McDonald's Laura Thouny

(Anexe 1 ) La recherche de la motivation Concept de groupe Un groupe peut être définit comme deux personnes ou plus qui vont, pendant un temps, interagir, s’influencer mutuellement et se percevoir comme un « nous ». Ainsi, un groupe de personnes dans une file d’attente d’un supermarché par exemple n‘est pas considéré comme un groupe. Les psychologues sociaux parlent d’agrégat pour qualifier cet ensemble de personnes. On parle de groupe si les critères suivants sont réunis : Il existe différents types de groupe : les groupes familiaux, d’amis, de travail… Les auteurs, tel que Cooley dès 1909, différentient : Les groupes primaires : petit groupe de personnes entretenant des relations intimes et régulières. On différentie aussi : Les recherches s’intéressent surtout aux groupes restreints pour des raisons pratiques. Référence: Ouvrage dirigé par P.Gosling "Psychologie sociale" Tome1 "L'individu et le groupe"

( Anexe 5 ) conditions difficiles A deux pas de la Madeleine, à Paris, se trouve le centre de l'emploi et des métiers de McDonald's France, dont plus de 10.000 candidats au poste d'"équipier" poussent la porte chaque année. C'est ici que nous reçoit Hubert Mongon, Vice-Président Ressources humaines. Un poste très exposé chez le géant américain de la restauration qui, du "passeport mobilité" à la VAE, multiplie les initiatives... et lutte pour améliorer son image sociale. Rencontre. Vous êtes à la tête des ressources humaines de McDonald's France depuis fin 2001. Après 7 ans et demi aux RH de Bouygues et 4 ans aux RH de Valeo, je voulais exercer mon métier autrement. McDo est très en pointe sur ce qui concerne la VAE… 80 % de nos directeurs de restaurants n'ont pas le bac. Quel est la progression de carrière type chez McDo ? La formation commence dès l'arrivée de l'équipier dans le restaurant : quatre heures le premier jour pour apprendre la base. Cela fait 20 ans que j'exerce mon métier.

Quelles valeurs pour l'entreprise de demain ? Selon une enquête réalisée chez les moins de 35 ans, le trio de tête des valeurs souhaitées sont l'adaptabilité, l'écoute et le professionnalisme. «Les jeunes de la génération Y ne sont pas si différents de leurs aînés. Ils utilisent ce que leur apporte le progrès technique mais leurs fondamentaux sont les mêmes», assure Marc Lebailly, associé du cabinet ACG, qui a identifié, sur la base des mots retenus par les jeunes, les organisations qui les attirent. Résultat: 31 % aspirent à travailler dans des entreprises de type anglo-saxon ; 20,5 % dans des sociétés de type start-up ; 20 % dans des organisations solidaires et 9 % dans la fonction publique. Une autre étude, inédite celle-ci et réalisée par le cabinet de conseil en stratégie Kea & Part­ners, mesure les valeurs souhaitées par les Français en entreprise. Communication et confiance Des valeurs assez largement ­partagées par les actifs de la génération Y lorsqu'ils projettent leur entreprise dans l'avenir.

( Anexe 6 ) bonnes/mauvaises conditions «Nous exploitons les jeunes et nous le faisons bien», disait l'une des publicités travesties par les grévistes du McDonald's de Strasbourg-Saint-Denis à Paris. Mais dans quelle mesure peut-on parler d'exploitation des jeunes qui travaillent au McDonald's? Un franchisé McDonald's (environ 90 % des restaurants sont en franchise) ne peut dégager un profit qu'en adaptant au plus juste sa main-d'oeuvre à la fréquentation de son restaurant et à la demande de la clientèle par la flexibilité et la polyvalence. 70 % du chiffre d'affaires d'un McDonald's est réalisé de 12 à 14 heures et de 19 à 21 heures. L'«équipier polyvalent» accepte contractuellement d'occuper tous les postes du restaurant. La fabrication des sandwichs est organisée sur le mode industriel: six opérations sont nécessaires pour fabriquer un BigMac, requérant pas moins de quatre équipiers, pour un temps de fabrication inférieur à deux minutes. L'intensité du travail dans un fast-food est impressionnante.

Culture d’entreprise : décodez tous les usages et les non-dits - 1 Pour survivre en entreprise, il est souvent crucial de suivre des règles tacites et de décrypter certains codes secrets. Attention : en la matière, le diable se loge dans les détails. Dans le film Quai d’Orsay, quand le jeune Arthur Vlaminck, future «plu-me» du ministre inspiré par Dominique de Villepin, débar­que au ministère des Af­faires étrangères en chaussures à bout carré, il focalise tousles regards. «Au ministère, c’est bout pointu», lui glisse-­t-on avec condescendance. L’exem­ple est certes anecdotique mais révélateur du monde du travail – en politi­que comme en entreprise –, où certaines règles sont écrites et d’autres, plus secrètes. L’habit : n’hésitez pas à endosser celui du moine Costume sombre dans la ban­que, jean branché et chemise ouverte dans la pub : le trait vous paraît peut-être caricatural et pourtant… Les codes vestimentaires restent un signal fort de reconnaissance dans l’entreprise. La règle vaut aussi en politique.

Témoignage mauvaise conditions de travail Les mains de Nour - Audrey Cerdan/Rue89 « Mon entretien d’embauche n’a duré qu’une dizaine de minutes. C’était en juin 2005. Le directeur m’a toisé du regard puis, sourire en coin, m’a dit qu’il m’engageait comme cuisinier. Le premier jour, je me suis brûlé la main droite avec un toaster. D’ailleurs, au début, mes parents me reprenaient : je ne m’entendais pas, mais je hurlais à force de travailler dans la cacophonie et de crier “OK” toute la journée. Au bout de deux ans, j’ai pris du galon : manager. Les douleurs de Nour Une nuit, en rentrant, je me suis endormi sur mon canapé, avec mes vêtements de travail. Ma tête allait exploser, mon dos était en miettes et mes jambes me faisaient mal après quatorze heures de travail non-stop. J’ai pris une douche, puis réfléchi quelques minutes. Quel était votre contrat ? Un CDI. A la sortie de mes études en 2007, je n’ai pas trouvé d’emploi en lien avec mon cursus (sciences humaines). Quel était votre salaire ? Il y avait des primes pour compléter.

dossier mdco Note de Recherches: Dossier Mcdonald's Rechercher de 155.000+ Dissertation Gratuites et Mémoires Soumis par:Troy 06 mai 2012 Balises: Mots: 4589 | Pages: 19 Vus: 148 Donald’s de la société McDonald’s à Des Plaines dans la banlieue de Chicago. Le succès est immédiat, l’entreprise rencontre une forte demande aux Etats-Unis. McDonald’s est donc basée sur le système de la franchise, ce qui fait de l’organisation l'une des premières mondiaux en termes de franchisés. C’est en grande partie pour cette raison que nous avons décidé de s’intéresser à l’entreprise McDonald’s. C’est un environnement particulièrement dangereux, où la chaleur, le stress, le danger sont présent. Pour répondre à nos grandes questions concernant les conditions de travail, la sécurité des salariés et la prévention des risques, nous avons pris rendez-vous avec un manager du McDonald’s de Disney Village, Chessy Marne-la-Vallée.

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