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Résumé | Table des matières | Comment obtenir cette publicationUn abécédaire du cerveau | Sites web Résumé Après vingt ans d’un travail de pointe en neurosciences, la communauté éducative prend conscience du fait que « comprendre le cerveau » peut indiquer de nouvelles voies de recherche et améliorer politiques et pratiques éducatives. Ce rapport constitue un panorama synthétique de l’apprentissage informé par le fonctionnement cérébral, et soumet des thèmes cruciaux à l’attention de la communauté éducative. Il ne propose pas de solutions simplistes, ni ne prétend que la neuroscience ait réponse à tout. En revanche, il constitue un état des lieux objectif des connaissances actuelles au carrefour des neurosciences cognitives et de l’apprentissage ; il indique également des pistes à explorer, et liste des implications politiques pour la prochaine décennie. Résumé entiere Table des matières Partie I : Le cerveau apprenant1. Comment obtenir cette publication Un abécédaire du cerveau Sites web: Related:  NEUROSCIENCES_APPRENTISSAGE

Des sciences cognitives à la classe : Entretien avec Olivier Houdé Les sciences cognitives frappent à la porte de la classe. Mais les concepts et outils développés dans les laboratoires ont-ils une pertinence dans les classes ? Les enseignants s’interrogent sur les apports de la psychologie expérimentale et des neurosciences et sur la possible articulation entre les résultats scientifiques et les pratiques de classe. Suite à la semaine du cerveau, pour poursuivre cette exploration, nous avons interrogé Olivier Houdé, instituteur de formation initiale, professeur de psychologie à l’Université Paris Descartes, directeur du Laboratoire de Psychologie du Développement et de l’Éducation de l’enfant (LaPsyDÉ) et membre senior de l’Institut Universitaire de France. "L'enseignement repose toujours sur l'idée qu'il faut accumuler et activer des fonctions cognitives, et jamais sur l'idée de travailler sur les capacités d'inhibition." (O. Olivier Houdé : « La pédagogie, c’est la science des apprentissages. La focale semble bien lointaine. Pour aller plus loin :

Lionel Naccache, la conscience des neurosciences Portrait. Ce neurologue explore les états de conscience du cerveau pour comprendre la pensée subjective et proposer des thérapies innovantes. LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | • Mis à jour le | Par Florence Rosier Tel du vif-argent, il surgit dans la nef de l’immense cathédrale de verre dédiée au culte du système nerveux : l’Institut du cerveau et de la moelle épinière (ICM), à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris. Dans ce haut lieu des neurosciences, Lionel Naccache, cheveu rebelle et chemise bariolée, veille sans relâche sur nos états de conscience, dans un singulier mélange d’enthousiasme et d’humilité, de rigueur et d’humanité, d’exigence intellectuelle et de gravité. « J’ai voulu développer ici mes travaux pour les ancrer dans une réalité clinique », explique le neurologue-chercheur, ancien élève de l’Ecole normale supérieure de Paris. Depuis 2009, Lionel Naccache propose un test d’évaluation de l’état de conscience.

Lionel Naccache, Le Nouvel Inconscient. Freud, Christophe Colomb des neurosciences 1Voici un ouvrage qui bousculera bien des certitudes. Celles des spécialistes des disciplines de l’esprit, au premier chef, mais par ricochet, les croyances naïves des anthropologues. Lionel Naccache propose au lecteur de suivre cette odyssée à travers son expérience de jeune clinicien, neurologue à l’hôpital de La Pitié Salpêtrière à Paris et chercheur en neurosciences cognitives à l’inserm. Rompu aux méthodes de l’imagerie cérébrale fonctionnelle, il réfute une « inquiétante » néophrénologie, mais aussi la neuropsychologie clinique standard, en effectuant des allers et retours entre patients neurologiques ou psychiatriques et sujets « sains », pour décrypter la vie mentale et en restituer l’inépuisable richesse. Dans un premier temps, l’auteur pose la question du statut épistémologique de l’inconscient, campant vigoureusement les deux challengers en présence : l’inconscient freudien vs l’inconscient cognitif. 2L’ouvrage se divise en trois parties. 7Quel livre !

Neurosciences : les adolescents apprennent plus vite grâce au renforcement positif | Ado Zen Olivier Houdé signe un article sur les étonnants pouvoirs du cerveau des adolescents dans la magazine Cerveau & Psycho du mois de décembre. Il nous explique qu’entre 13 et 17 ans, le cerveau des ados déploie d’étonnantes capacités d’apprentissage s’il est correctement encouragé. Les adolescents ont le goût du risque, recherchent des sensations fortes, font preuve d’impulsivité car leur cerveau est en pleine construction et qu’il est particulièrement sensible aux récompenses. Cette spécificité faciliterait la mémorisation et l’adoption de nouveaux comportement pour peu que les parents et l’environnement éducatif aient recours au renforcement positif. C’est ce qu’a révélé une étude menée par une équipe de chercheurs américains d’Harvard et de Columbia en s’appuyant sur l’imagerie par résonance magnétique pour tester leur capacité d’apprentissage. A ce stade, il est important de redéfinir ce qu’est une récompense. Source :

Neurosciences et éducation : la bataille des cerveaux | Édupass Gaussel Marie & Reverdy Catherine (2013). Neurosciences et éducation : la bataille des cerveaux. Dossier d’actualité Veille et Analyses IFÉ, n° 86, septembre. Lyon : ENS de Lyon. Disponible au format PDF : 86-septembre-2013 Les débats houleux entre neurosciences et éducation existent depuis quelques décennies, mais prennent un nouveau tournant depuis les progrès considérables faits en imagerie cérébrale. Vous trouverez dans ce dossier, légèrement différent de sa forme habituelle, des renvois vers des articles de blog (de notre site Éduveille) qui nous ont permis d’approfondir des aspects techniques et d’illustrer nos propos : Ce dossier inhabituel par son volume peut être lu à plusieurs niveaux, les encadrés constituant soit un apport spécialisé (certains sont développés dans des articles publiés sur notre blog Éduveille), soit plus spécifiquement une illustration des croyances autour du cerveau, les neuromythes (également regroupés dans un article de blog Éduveille). Dyslexie

Tout comprendre sur les neurones miroirs en moins de 3 minutes Les neurones miroirs s’activent aussi bien quand on exécute une action que lorsqu’on regarde quelqu’un exécuter cette même action. Le même réseau de neurones s’activent chez les personnes qui activent une action et chez celles qui les observent. Les neurones miroirs servent à imiter les actions vues mais ils jouent aussi un rôle dans le déchiffrage des intentions et émotions d’autrui. Nous avons une tendance naturelle à être en sympathie (forme de fusion entre soi et autrui ) plutôt qu’en empathie (ressentir ce que ressent l’autre tout en gardant une perspective propre). Imitation des actions Observer un comportement, un mouvement, c’est déjà le réaliser dans notre esprit, et de manière extrêmement précise. Les enfants répètent les mots, les gestes, les situations qu’ils ont vécus; ils jouent et miment les scène de la vie quotidienne. Déchiffrage des émotions La contagion émotionnelle A cause (ou grâce) aux neurones miroirs, toute personne offre un modèle, bon ou mauvais, aux enfants.

LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! Les neurones miroirs ont fait beaucoup parler d’eux suite à leur découverte par Giacomo Rizzolatti en 1992 parce qu’ils constituent une base possible sur laquelle un système de communication intentionnel comme le langage humain a pu se construire. En effet, ces neurones pourraient permettre à un animal de mimer un mouvement des mains ou de la bouche d’un autre animal pour copier un geste ou reproduire un son auquel est attaché une signification. De cette manière, deux individus pourraient en venir à partager un vocabulaire commun. Le fait que le langage des signes des personnes sourdes soit également d’une grande efficacité est un autre exemple de complémentarité entre la bouche et les mains comme outils de communications, deux parties du corps auxquels sont justement assignés des neurones miroirs. Cette hypothèse s’accorde également avec les intuitions du psycholinguiste Alvin Liberman qui, dès 1965, proposait une théorie motrice de la perception de la parole.

Psychologie cognitive et Neurosciences: Mayer (2009). théorie de l’apprentissage multimédia – les douzes principes See on Scoop.it – Instructional Design Mayer (2009).théorie de l’apprentissage multimédia – les douzes principes Multimedia learning principes conception web design principe cohérence principe signalisation principe redondance principe continuité contiguité spatiale principe continuité… See on psychologie-cognitive.blogspot.fr J'aime : J'aime chargement… Sur le même thème LA GRA­TUITE DES CONTENUS UNI­VER­SI­TAIRES est peut-​​être à nos portes ! See on Scoop.it - Apprentissage en ligneUn MOOC c’est un des leviers de trans­for­mation les plus per­cu­tants de l’enseignement supé­rieur, actuel­lement.

Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Le mouvement cérébral qui va nous permettre d’orienter notre action en fonction d’un objectif, d’un centre d’intérêt… Grâce à elle, nous captons, par nos cinq sens, les différentes informations en provenance soit de notre environnement, soit de notre ressenti émotionnel ou psychologique. Stanislas Dehaene ajoute que l’attention sert à sélectionner les informations, module massivement l’activité cérébrale et facilite l’apprentissage. Mais l’attention peut être sélective. Quelles conséquences pour l’enseignement ? La tâche la plus important des enseignants est de canaliser et captiver, à chaque instant, l’attention de l’enfant. 2. 3. 4.

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