background preloader

A qui profite la dette ? On veut savoir !

A qui profite la dette ? On veut savoir !

La dette de la France, un secret bancaire Qui détient la dette de la France ? Cette question, chaque contribuable français est en droit de se la poser. Ses impôts ne servent-ils pas à payer en partie les intérêts de la dette ? 1 317 milliards d’euros. « Le savoir permettrait de mesurer les conséquences potentielles d’un défaut de paiement, même partiel. 42,5 milliards d’euros d’intérêts versés à des inconnus ? Pour se financer, l’État émet des titres financiers que des investisseurs achètent. Sur le site de l’AFT, le citoyen curieux apprend juste que 66 % des détenteurs de la dette sont des « non-résidents ». « En gros, un tiers de la dette est détenu par des investisseurs français, un tiers au sein de la zone euro, et un tiers à l’étranger, en dehors de la zone euro », précise Tân Le Quang, responsable de la communication au sein de l’agence. La dette, un secret d’État ? Opacité généralisée Face à cette opacité, « nous soupçonnons une extrême concentration, confie Thomas Coutrot. Ivan du Roy Photo : CC Adam_T4

Des boîtes fleurissent en ville pour un système d’échange étonnant Une série de caissettes à journaux recyclées permet aux Genevois de donner une seconde vie à leurs objets. Leur décoration a été confiée à des artistes locaux. Depuis le 20 décembre dernier, une dizaine d’anciennes caissettes à journaux ont été transformées en «boîtes d’échange entre voisins», chacune décorée par un artiste genevois. Vous possédez une paire de gants, un livre ou un quelconque objet que vous n’utilisez plus? Il pourrait certainement servir ou simplement faire plaisir à un voisin. Où trouver les «boîtes d’échange entre voisins»: rue du Midi (Grottes)rue Lamartine (Servette)rue des Confessions – angle rue du Beulet (St-Jean)rue des Délices – angle rue Amiel (Délices)rue du Môle (Pâquis)rue Ancien-Port 10-12 (Pâquis)rue Cordiers – angle rue des Vollandes (Eaux-Vives)rue Jean-Violette 28-30 (Plainpalais)rue Carl-Vogt – angle rue Patru (Plainpalais)rue du Vélodrome (Jonction) Lire également notre précédent article: La boîte d’échanges des Eaux-Vives fait des petits.

Pourquoi la dette publique française explose alors que les dépenses de l’Etat n’augmentent pas On pensait l’austérité gravée dans le marbre. « Le pacte de sécurité l’emporte sur le pacte de stabilité », a décidé François Hollande dans son discours à Versailles le 16 novembre. Il y annonce les dépenses supplémentaires consacrées à la sécurité dans le budget 2016, quelques jours après les attentats : création de 5000 postes supplémentaires de policiers et de gendarmes, de 2500 postes dans les prisons et la justice et abandon des réductions d’effectifs prévues dans l’armée. 815 millions d’euros de dépenses supplémentaires sont prévues pour 2016 pour la sécurité intérieure et les opérations militaires extérieures. Le Sénat et l’Assemblée nationale sont en train de voter les amendements qui modifient le budget 2016 en fonctions des ces nouveaux choix politiques [1]. Il y a encore quelques mois, au moment de la présentation du budget 2016, le discours du gouvernement était tout autre. Une dette qui représentait 16 % du PIB en 1974, 97 % en 2015 Les dépenses de l’État ? Rachel Knaebel

Un référendum, sous le ciel belge, on ne le verra jamais… Avec le oui irlandais, l’union européenne a poussé un grand ouf de soulagement. En tête des personnalités qui saluaient le résultat irlandais on trouvait deux ancien premier ministres bien de chez nous : Guy Verhofstadt et Jean Luc Dehaene. D’où deux constatations : d’abord les belges sont europhiles, ils aiment l’Europe, et nos anciens premiers ministres trouvent souvent dans l’espace public européen un terrain de jeu qui leur offre une seconde vie. Ensuite, le référendum reste dans certains pays européens le passage obligé des grandes décisions, celles qui engagent l’avenir de la nation, mais cela ne sera jamais le cas chez nous. En Belgique le référendum n’est pas prévu par la Constitution. Dans les textes c’est le Parlement et le Roi (donc le gouvernement) qui ont, seuls, le pouvoir de décider quelle loi, décret ou ordonnance doit être voté et quel traité international doit être approuvé et ratifié.

« Les 5 secrets de l’effondrement révélés sur BFM !!» L’édito de Charles SANNAT Mes chères impertinentes, mes chers impertinents, Je vous invite à prendre le temps de visionner cette vidéo (elle est tout en bas), où il y a Jean-Marc Daniel, Philippe Dessertine et enfin Alain Madelin qui sont les invités sur le plateau des Experts sur BFM animé par l’excellent Nicolas Doze. Dans un très rare moment d’emportement collectif et d’immense lucidité toutes les vérités ont été dites et vous pouvez en trembler de peur pour votre épargne. Au delà de vérités, c’était même jusqu’à présent des “secrets” dont personne ne voulait parler publiquement. Ils ont osé franchir le Rubicon, c’est vous dire si la situation est grave, même si publiquement, on ne le dit pas trop fort pour ne pas affoler le petit peuple de sans-dent dont nous faisons partie. Si vous ne me croyez pas, alors écoutez-les eux !!! Ecoutez-les parce qu’évidemment, ils pensent exactement la même chose comme tous les observateurs sensés de l’économie et de la vie politique de ce pays !

lafermeadomicile.be 1er site locavore en région liégeoise Marion Maréchal-Le Pen part en croisade contre le planning familial La question est claire, la réponse définitive. «Vous l’avez dit deux fois mais je ne suis pas totalement sûr d’avoir compris : vous supprimerez la subvention accordée au planning familial ?» demande Geoffroy Lejeune, rédacteur en chef à Valeurs actuelles et animateur du débat. Jeudi, le site Les Nouvelles News a diffusé une vidéo de l’intervention de la tête de liste FN ce soir-là. Le Planning familial n’est pas le seul dans le viseur Marion Maréchal-Le Pen. Stéphanie Harounyan à Marseille

Et si on faisait ses courses autrement ? Manger autrement, tout en cassant nos modes de consommation, c'est le pari qu'a engagé depuis 2 ans à Limoux une petite trentaine de membres d'un "groupement d'achat". La méthode est simple : on se regroupe, désigne des référents qui créent le lien avec des producteurs et on achète en gros. Des groupements de consommateurs se sont aussi créés à Quillan, Couiza et Chalabre. Faire son marché entre soi "Des tables rondes permettront aux participants de se rencontrer, d'échanger sur les modes d'achats, les adresses de producteurs, les questions juridiques qu'impliquent ces genres d'achats directs" explique la coordinatrice.

Related: