Gaza - Israël : la guerre 2.0 "La guerre se déroule sur trois fronts. Le premier est physique, le second se passe dans le monde des réseaux sociaux et le troisième est dans le cyberespace", a déclaré la directrice de l'information du gouvernement israélien, Carmela Avner. L'offensive de l'armée israélienne sur la bande de Gaza a en effet été l'occasion d'inaugurer une nouvelle étape dans la façon de mener "la guerre" sur internet. Alors que l'Etat hébreu bombarde Gaza depuis sept jours, les forces de défense israéliennes (IDF) se sont emparées des réseaux sociaux pour raconter leur assaut en direct. Twitter a été largement mis à contribution, avec l'envoi par l'armée de plusieurs centaines de tweets depuis le début de l'opération. Ahmed Jabari: Eliminated. twitter.com/IDFSpokesperso… — IDF (@IDFSpokesperson) Novembre 14, 2012 La campagne de communication ne se limite pas au seul site de micro-blogging. "Des réseaux sociaux très efficaces pour passer de l'affect" Ce qui n'est pas rien. Peut-on parler de cyber-guerre ?
Aspirer les médecins d’Ameli L’information, à partir du moment où elle est disponible sur un site Internet est —plus ou moins— facilement copiable et récupérable… Prenons par exemple le cas de l’Assurance maladie. Elle propose sur son site un service prénommé Ameli-direct qui permet, et c’est louable, de trouver près de chez soi, des médecins spécialistes ou généralistes et surtout de connaître des informations basiques à leur propos : tarifs pratiqués, secteur conventionnel, prise en charge de la Carte vitale… L’Assurance-maladie (Cnam) fournit des informations sur les soins de manière assez simple il faut le dire. Inscrire le nom, le département ou la spécialité et lancer la recherche. Il s’agit donc, pour s’en faire une idée , de récupérer sur Ameli-direct les informations disponibles à tous. Pour trouver son chemin dans la foule de données, nous avons décidé de ne se concentrer que sur les médecins listés pratiquant une consultation . Plus de 500 résultats : veuillez préciser votre recherche.
Mais pourquoi contribue-t-on ? La question des motivations revient dès que l’on évoque les mécanismes de contribution dans l’open data ou les données collaboratives. On a parfois du mal à comprendre pourquoi des individus a priori sains de corps et d’esprit consacrent une partie de leur temps libre à ce type d’activité, qu’il s’agisse de développer une application mobile sans grand espoir de gain, ou de cartographier son quartier pour Open Street Map… Les processus contributifs et participatifs sont au coeur de l’open data. 1 – Une approche par les motivations : mais pourquoi contribuez-vous ? Une recherche sur le sujet à partir de la littérature scientifique (références des travaux universitaires utilisés à la fin de ce billet) m’a permis de recenser quelques ressorts de la motivations des contributeurs. En résumé, les grandes catégories de motivations sont : Bien entendu ces motivations sont aussi à mettre en relation avec deux autres facteurs : 3 – Ne pas sous estimer le facteur d’opposition WordPress:
Twitter se gondole, Google se désole - Réseaux sociaux / Humour Il pleut à tout rompre et vous vous exclamez : « Quelle belle journée ! » Vous venez donc de faire de l’ironie, tout le monde vous a compris, vous n’appréciez pas ce temps pluvieux. Mais votre ironie peut se retrouver bousculée par le sarcasme de votre voisin : « J’adore ce temps gris et pluvieux qui nous rend si fréquemment malades. » Lui vient d’être sarcastique et c’est difficile à comprendre. Mais quel est le fond de sa pensée ? Car à l’inverse de l’ironie, qui consiste à dire le contraire de ce que l’on pense en faisant comprendre que l’on pense le contraire de ce que l’on dit, le sarcasme est plus difficile à déceler. Le sarcasme : « un des problèmes les plus difficiles à résoudre en informatique » Sur internet, ces figures de style sont un véritable cauchemar pour les moteurs de recherche, les spécialistes en marketing ou autres analystes de tendances de marché... Un point d’exclamation qui traduit peu d’enthousiasme Un moteur de recherche ne peut percevoir l’humour.
Territoire - Les revenus des ménages de Rennes Métropole : des contrastes territoriaux en héritage de l'Histoire (Octant Analyse n° 29) Luc Goutard (Insee), Loïc Bourriquen (Audiar) Résumé Les revenus des habitants de Rennes Métropole sont généralement plus élevés que dans le reste de la Bretagne en 2008. Sommaire Introduction Le territoire de Rennes Métropole abrite 400 000 habitants répartis sur 37 communes. Des ménages plus aisés au nord La répartition des ménages selon le revenu révèle toutefois des disparités : les ménages sont sensiblement plus aisés au nord. Les 8 communes de Rennes Métropole ayant un revenu médian supérieur à 22 000 € sont toutes au nord de Rennes. Ces 8 communes se sont beaucoup développées dans les années 70 et 80, portées par la forte aspiration des Bretons à la maison individuelle. Mixité et mobilité dans la couronne sud Les communes de la couronne sud sont peuplées par une proportion plus importante de jeunes ménages locataires. Dans cet espace, le nombre d’emplois offerts est supérieur à celui des actifs y résidant. Haut de page Les quartiers les plus riches de Rennes au nord de la Vilaine
How Apple Really Lost Its Lead In The 80s Steve Jobs gives the finger to rival IBM When Android surged past Apple in smartphone market share, a lot of people squawked that computer history was repeating itself. The story of the 80s, according to these people, was that Apple pioneered the personal computing industry with the Apple computer. Apple went from being the wealthy market leader to an also-ran in the blink of an eye. It's going to happen again, too, warn these people, if Apple doesn't learn anything. You see, the iPhone was the innovative market leader, but a cheaper alternative from Google, Android, is being sprayed all over the place. It's an entertaining story, but it turns out it's not exactly accurate. Goldman Sachs released a massive report on the warring tech giants this week. First off all, Apple was never really a market leader in the 80s. Goldman Sachs Apple's early success was thanks to the Apple II, which was released in 1977. Apple didn't deliver a strong follow-up until it released the Macintosh in 1984.
“Si on décide de ne pas bouger, là on est mort” Michel Françaix en 2009 par Richard Ying (ccbyncsa) édité par Owni Un mois après la publication par Owni du rapport de Michel Françaix, sur les aides à la presse pour la Commission des affaires culturelles et le projet de loi de finances 2013, le rapporteur a accepté de répondre à quelques questions. Sur le rapport mais aussi sur le point de vue qu’il a de l’état de la presse en France. Ce rapport-là, le 3ème, est le plus médiatisé. Michel Françaix Celui qui se décrit comme fils de saltimbanque et neveu de saltimbanque a fait grincer des dents à plus d’un patron de presse. Depuis cette période, il reste sur ce sujet de prédilection. ”Quand vous êtes dans l’opposition, vous vous y intéressez pour faire des envolées lyriques à deux heures du matin mais vous savez que ça ne sert à rien. Il est différent des autres parce que c’est la première fois depuis 1981 qu’un ministre de la Culture me parle pendant 20 minutes de l’écrit avant de parler ensuite de l’audiovisuel. Et la PQR ? Des “pour” ?
Opendata + Wikipédia + Github = datajournalisme local Il y a quelques semaines, j’avais publié une petite série sur le datajournalisme et la presse locale. En essayant de montrer de quelle manière il me semblait que la PQR pouvait et avait tout intérêt à s’emparer du sujet. Sans dogmatisme, mais avec pragmatisme… Si vous avez raté, ça se passe ici (en trois tomes) Bref, suite à cette petite série, plutôt que d’en rester aux beaux discours, je me suis lancé un petit défi. Mettre les mains dans le cambouis et essayer, en l’espace d’une journée de travail (9h – 18h) de mettre sur pied une petite application de datajournalisme adaptée à la presse locale, depuis l’idée initiale jusqu’à la mise en ligne, en passant par la collecte et le formatage de données. Voici, pour ceux que ça intéresse, le mode d’emploi de cette petite appli… J’ai choisi de bosser avec le fichier Opendata répertoriant la liste des monuments historiques de Bretagne et d’Ille-et-Vilaine. C’est là qu’intervient la magie Wikipedia.
Cartoons: Triumph of the nerds IN 1989 Bill Watterson, the writer of “Calvin and Hobbes”, a brilliant comic strip about a six-year-old child and his stuffed tiger, denounced his industry. In a searing lecture, he attacked bland, predictable comics, churned out by profit-driven syndicates. Cartooning, said Mr Watterson, “will never be more than a cheap, brainless commodity until it is published differently.” In 2012 he is finally getting his way. This burst of new life comes as cartoons seemed to be in terminal decline. Cartoons go way back before newspapers. But it was the combination of the rotary printing press, mass literacy and capitalism which really created the space for comic art to flourish. Newspapers filled with sensationalist reporting sold millions. That was the golden age. The decline of newspapers and the rise of the internet have broken that system. Perhaps thanks to the technical skills needed to succeed, web cartoonists tend to be young—few are over 30—well-educated and extremely geeky.
Jean-Pierre Pernaut journaliste avant-gardiste Tenter de caviarder une information sur Wikipédia, ça ne sert à rien. Il se trouvera forcément quelqu'un pour le remarquer, et remettre en ligne ce qui avait été censuré. Il existe même des robots pour cela. Illustration avec ce qu'aurait voulu faire disparaître TF1 de Wikipédia. Jean-Pierre Pernaut n’est pas un présentateur populiste, mais un journaliste “avant-gardiste“. C’est ce qu’a écrit un employé de TF1 sur Wikipédia. Le 1er février 2007, entre 11h46 et 12h06, une petite main de TF1 modifie 9 fois la fiche Wikipédia de Patrick Poivre d’Arvor. Liste des modifications sur la page Wikipédia de PPDA le 1er février 2007 : en vert, le nombre de caractères rajoutés, en rouge, ceux qui ont été effacés. Le 7 septembre 2007, un autre employé de TF1 efface par deux fois, 12h45 et 12h54, le fait que Jean-Pierre Foucault avait parrainé la Life Parade, une association “pro-vie“, donc un peu anti-avortement, et qui milite actuellement contre le mariage des homosexuels.
How Videogames Are Changing Disney | Game|Life ANAHEIM, California — Mickey Mouse. Donald Duck. Swampy Alligator? There’s a funny thing happening at Disneyland. But walking around the two theme parks, one begins to notice some interlopers from outside the established Disney canon. Disney first licensed its characters for use in games beginning in the early 1980’s with titles like Sorceror’s Apprentice for Atari 2600, or The Black Cauldron for personal computers. “This is maybe the first time in Disney’s history where we have a character that was created solely for a videogame product that is now branching in other directions,” says Disney Interactive Media Group vice president Bill Roper. In fact, Swampy is just one of the ways that Disney’s stable of popular and lucrative characters is being shaped and changed by videogames. Disney completed its billion-dollar renovation of the California Adventure section of Disneyland this summer. “I realize I’m immersed in the Kool-Aid,” he says. Go Back to Top.