background preloader

TURNER CLASSIC MOVIES

TURNER CLASSIC MOVIES

Série noire Critiques Spectateurs keating 32 abonnés | Lire ses 631 critiques | Suivre son activité 5 - Chef d'oeuvre La première image de "Série noire" annonce tout le reste du film sans un seul mot. Ajoutée le vendredi 1 février 2013 2Je trouve cette critique utile 0Je trouve cette critique inutileSignaler un abus untitled cinescope « Série Noire » d’Alain Corneau (1979) Avec Patrick Dewaere, Marie Trintignant, Bernard Blier. Etrange à double titre. En recherchant ce qu’avait pu écrire les autres avant sur un film aussi fascinant que « Série Noire », je me suis aperçu de deux choses : d’une part que le film est autant porté au pinacle que peu commenté, et d’autre part, que Corneau est le réalisateur du film « Le prince du Pacifique ». Pourquoi étrange ? Pour comprendre le film (et pousser à aller le voir, le revoir), il faut sans aucun doute évoquer plusieurs éléments qui expliquent en partie les propos de Tavernier : la littérature et le style de Jim Thompson (auteur de « A Hell of a Woman » - traduction française : « des cliques et des cloaques »- dont le film est l’adaptation cinématographique), l’environnement social français, quelques ressorts dramatiques du film, et le rapport entre la caméra et le héro). Jim Thompson, l’écrivain-scénariste de la noirceur (1906-1977). Coup de maître de Corneau. Deux exemples :

Musée du Cinéma de Funes undefined Dernière modification : 3 septembre 2007 Votez pour ce site au WebOrama Le site contient : 206 pages Mon plus grand désir d'acteur ? - Louis de Funès Envoyez-moi vos commentaires! Toutes les célébrités sont sur Voistars Créée depuis le 29 décembre 1999 par Marc-André De Sève Base de données de films français Suivez-moi sur Vous vous trouvez sur un site en perpétuelle construction … Le concept original de ce site dédié au cinéma français consiste à l'alimenter progressivement en photos d'acteurs. A cette fin, je fais des fiches de films ou de téléfilms avec les miniatures des acteurs qui jouent dedans, et je les illustre avec des articles de journaux ou directement des "captures" du film. Le moteur de recherches (en vert, ci dessus) permet de faire des recherches sur tout le site. Vous trouverez sur ce site : Des « fiches acteurs » et des « fiches films » liées par un seul mot d'ordre : Priorité aux images ! Cela signifie en clair qu'en choisissant un acteur précis, la liste des films correspondants ne concernera que ceux pour lesquels je possède une image de film contenant l'acteur en question ! Partant de ce principe, mes filmographies ne sont bien sûr pas exhaustives, puisque je ne cite jamais les films pour lesquels je ne possède pas d'images… Vous ne trouverez pas sur ce site : Ah !

Les Grandes familles - Adaptation très réussie. - DvdToile Si l'on fait abstraction de certains genres un peu particuliers (romans fantastique, érotique, policier – sans qu'il y ait démérite à écrire et à apprécier ceux-ci -), le roman offre essentiellement (ceci tracé à grands traits, bien sûr) deux voies : le roman psychologique, intimiste, dans quoi le Français – né moraliste – excelle, et la fresque à vastes panoramas bien représentée par Anglais et Russes, mais où Balzac et Zola tiennent aussi de solides positions. A un niveau plus modeste, mais néanmoins bien intéressant, Maurice Druon est de cette école-ci. est prendre l'assurance d'un haletant suspense où l'on se demande vraiment si la Guerre de Cent ans va réellement éclater (et si l'affaire de la Tour de Nesle va éclabousser le Trône, si Jacques de Molay va être brûlé, si le roi sodomite Edouard III sera puni de l'horrible façon qu'on sait, etc.) tant Druon possède l'art du récit et de la composition. Ses ouvrages (un peu comme ceux de Simenon, qui s'appelle Nina ? Si Michel Audiard

Les Diables Critiques Spectateurs StarryLighthouse 2 abonnés | Lire ses 97 critiques | Suivre son activité 4.5 - Excellent L'incroyable avec ce film c'est que bien peu de gens ont vu la version integrale... certaine scènes ont été coupées par la censure parce que perçues comme une attaque frontal contre la religion catholique, et contre ceux qui nous gouverne, c'est un film dur, qui parait tres réaliste, délirant, orgiaque, ou parfois la trance pseudo-religieuse s'en melle (pas la version gospel), c'est sombre et melancolique, le moyen-âge ça ne devait pas être toujours très fun... Les acteurs rentrent serieusement dans ce délire , à se demander si il carburaient tous au jus de fruit. Ajoutée le vendredi 16 août 2013 0Je trouve cette critique utile 0Je trouve cette critique inutileSignaler un abus

LAUREL ET HARDY ALFRED HITCHCOCK 2001 analyse “In the first year of the 21st century, there is strange and wondrous beauty, startling experiences that jolt and mystify, and the danger of complete obliteration.” — Original “2001″ trailer The painter Georges Braque once wrote that art is meant to disturb, while science reassures. When Stanley Kubrick’s “2001: A Space Odyssey” arrived in April 1968, both fear and hope were in ample supply. A few days before the film’s premiere, Martin Luther King Jr. was assassinated, and President Lyndon Johnson, burdened by the ongoing quagmire of Vietnam, had just announced he would not seek reelection. Robert Kennedy’s assassination was just two months away, with the Soviet invasion of Czechoslovakia to follow. Youth across the world were burning bras and buildings. At the same time, President Kennedy’s dream of American astronauts reaching the moon was within our grasp. Excluding “2001: A Space Odyssey,” the cinema of Stanley Kubrick is not what you’d call optimistic.

2001 a space odyssey undefined When Stanley Kubrick's 2001: A Space Odyssey first appeared on screens in spring 1968, nothing quite like it had ever been seen before. And, although the science and technology of motion picture special effects have made huge strides in the intervening years, there hasn't been a film quite like it since. It isn't just the spectacular - and the extraordinary believable - look of the model and special effects shots, which are as fresh and clean today as they were in 1968. It's the courage and the audacity of the film and its maker to try something new, something provocative and challenging to the audience, something intensely intellectual yet expressed in almost completely visual terms. 2001: A Space Odyssey is a spectacular movie that grows more wondrous with each viewing. This site has been optimized for a viewing resolution of 800x600 and at least 256 color support. Best if viewed with Netscape Navigator. This site is by no means complete. Email the Webmaster

2001 And Beyond The Infinite Copyright (c) 2006 by Modemac (modemac@modemac.com) (Hosted by Cast Iron Chaos. This Web page was founded on January 20, 1996.) 2001: A Space Odyssey is one of my all-time favourite movies. But time and time again, I keep running into people who say that they don't understand 2001. The ending is confusing.The spaceships move too slow, and it's boring.The whole movie could easily be condensed into a 60-minute episode of The Outer Limits.What does the story of the malfunctioning computer have to do with the Monolith, anyways? And so on, et cetera, ad infinitum. For the benefit of those who say they still don't understand 2001, I have written this essay. Commentary and Criticism: What you have written about this essay I've received some interesting email concerning my essay. Talk about 2001 and Beyond the Infinite Discuss the movie at the Internet Movie Database Discussion Forum for 2001: A Space Odyssey If you don't agree with my little essay, then please feel free to let me know why.

Related: