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Haraway-cyborg manifeto

Haraway-cyborg manifeto
SCIENCE, TECHNOLOGIE ET FÉMINISME SOCIALISTE À LA FIN DU XXe SIÈCLE * Donna Haraway Rêve ironique d’une langue commune pour les femmes dans le circuit intégré. Je vais tenter ici de construire un mythe politique ironique qui soit fidèle au féminisme, au socialisme et au matérialisme. Le cyborg est un organisme cybernétique, hybride de machine et de vivant, créature de la réalité sociale comme personnage de roman. La science-fiction contemporaine est peuplée de cyborgs, créatures à la fois animal et machine qui habitent des univers ambigus à la fois naturels et fabriqués. Je plaide pour une fiction cyborgienne qui cartographierait notre réalité corporelle et sociale, une ressource imaginaire qui permettrait d’envisager de nouveaux accouplements fertiles. La fin du XXe siècle, notre époque, ce temps mythique est arrivé et nous ne sommes que chimères, hybrides de machines et d’organismes théorisés puis fabriqués; en bref, des cyborgs. Il en va de même pour la race. Related:  Théories

The essential feminist manifestos Does a piece have to be called a manifesto to be a manifesto? In a tradition as powerful and rooted in argument – which is, after all, what manifesting is all about – as feminism is, we think not. From radical second-wave tracts to viral tumblr treatises, here are our top ten picks for pro-woman proclamations. Penned in 1967 by the woman who would shoot Andy Warho the following year, the SCUM Manifesto ("SCUM" possibly stands for "Society for Cutting Up Men") epitomises everything you think when you hear the word "manifesto": outrageous, incendiary, a demand for action. Subtitled "The Case for Feminist Revolution", this radical 1970 book focuses on how the biological differences between guys and gals caused the large-scale inequalities perpetuated in our culture. Essentially a list of feelings outlined in simple language, this Tumblr entry posted last April by the imitable musician has generated nearly 20,000 notes, serving as a feminist statement that is unapologetic yet accessible.

Je me suis replongée dans Une société sans école de Ivan Illich Ivan Illich (1926 - 2002) Né à Vienne en 1926, il arrive aux États-Unis en 1951, et travaille comme assistant auprès du pasteur d'une paroisse portoricaine de New York. Entre 1956 et 1960, il est vice-recteur de l'Université catholique de Porto Rico, où il met sur pied un centre de formation pour les prêtres américains qui doivent se familiariser avec la culture latino-américaine. Vie et oeuvre«Illich est tout d'abord un penseur qui se situe dans un contexte historique particulier, celui des années 60 — période caractérisée par une critique radicale de l'ordre capitaliste et de ses institutions sociales, et notamment de l'école. C'est aussi une personnalité complexe. Origine et destin Illich, né à Vienne en 1926, fit ses études dans des établissements religieux de 1931 à 1941. Alors que le Vatican le destinait à la carrière diplomatique, Illich opta pour la prêtrise et fut nommé vicaire d'une église paroissiale irlandaise et portoricaine à New York. Bibliographie Traductions françaises

22 Things Only Women's And Gender Studies' Majors Understand De l’idéologie sécuritaire Un des thèmes essentiels de la science-fiction est celui de la société de surveillance généralisée. « Big Brother is watching you » : omniprésence de la figure du pouvoir totalitaire. Or, paradoxalement en apparence, cette surveillance généralisée est au cœur du développement de nos sociétés « libérales », au cœur de sociétés où la dénonciation du totalitarisme est un credo universel – il y devrait même y avoir un « quart de haine » quotidien contre le totalitarisme. L’impératif de la sécurité est en train, progressivement, insidieusement d’enfermer toute la société dans une cage d’acier et de détruire progressivement ce qui fonde l’individualité moderne, la séparation entre la vie privée et la vie publique. Les faits sont assez connus. Le développement prodigieux de la vidéosurveillance, tout d’abord : il devient impossible de se promener sans être enregistré et rentrer dans la liste des suspects potentiels. Toutes les libertés individuelles de base sont mises en pièce. [2] Th.

The Big Feminist BUT: The Caveats of Gender Politics in Comics by Maria Popova “There’s both liberation and possibility in pointing out that you’re not a sellout or a coward for refusing to adopt a label that doesn’t quite name your experience.” “Feminism is too important to be discussed only by academics,” Caitlin Moran wrote in her excellent How to Be a Woman and, indeed, gender politics permeate everything from our language to our capacity for love to our economy to how kids come to see the world. Luckily, Moran’s point comes wonderfully alive in The Big Feminist BUT: Comics about Women, Men and the Ifs, Ands & Buts of Feminism (public library) — a magnificent Kickstarter-funded collection of “the ideas, experiences and impressions of individual cartoonists and writers at a very specific moment in time,” titled after the all-too-familiar caveat of “I’m a feminist, but…” (or, occasionally, “I’m not a feminist, but…”). By Emily Flake 'Feminist, adj' by MariNaomi Shannon O’Leary writes in the introduction: 'Queer, Eh?' 'Boy's Life' by Andi Zeisler

Les Livres de Philosophie Le "male gaze" (regard masculin) Après l’article de Thomas la semaine dernière sur le « slut-shaming », on continue avec les concepts féministes difficilement traduisibles. To gaze signifie en effet « regarder fixement », « contempler »; on peut le traduire par « regard masculin », que j’emploierai alternativement avec l’expression anglaise. Issu de la critique cinématographique, ce concept est devenu central dans le vocabulaire du féminisme anglophone. Le « male gaze » peut en effet être étudié au cinéma, mais aussi dans d’autres domaines de la culture visuelle (BD, publicité, jeux vidéo…). Origines du concept: Laura Mulvey, « Visual pleasure and Narrative cinema » En 1975, la critique de cinéma Laura Mulvey forge et définit le concept dans un article intitulé « Plaisir visuel et cinéma narratif ». Mulvey distingue trois types de regards: celui de la caméra sur les acteurs et actrices, celui du public regardant le produit final, et celui des personnages se regardant les uns les autres au sein du film. Jeux vidéo

actu philosophia Simone de Beauvoir Explains “Why I’m a Feminist” in a Rare TV Interview (1975) In Simone de Beauvoir’s 1945 novel The Blood of Others, the narrator, Jean Blomart, reports on his childhood friend Marcel’s reaction to the word “revolution”: It was senseless to try to change anything in the world or in life; things were bad enough even if one did not meddle with them. Everything that her heart and her mind condemned she rabidly defended—my father, marriage, capitalism. Marcel’s fearful fatalism represents everything De Beauvoir condemned in her writing, most notably her groundbreaking 1949 study, The Second Sex, often credited as the foundational text of second-wave feminism. In the 1975 interview above with French journalist Jean-Louis Servan-Schreiber—“Why I’m a Feminist”—De Beauvoir picks up the ideas of The Second Sex, which Servan-Schreiber calls as important an “ideological reference” for feminists as Marx’s Capital is for communists. Yes, that formula is the basis of all my theories…. Related Content: Free Online Philosophy Courses

François Dagognet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. François Dagognet, né le 24 avril 1924 à Langres et mort le 3 octobre 2015 à Avallon ou le 2 octobre 2015 à Paris (selon les sources, contradictoires), est un philosophe français. Biographie[modifier | modifier le code] Né à Langres en 1924, dans une famille modeste, François Dagognet a un parcours scolaire atypique puisqu'il réussit son certificat d’études primaires mais n’ira pas au lycée. Élève de Georges Canguilhem, il devient agrégé de philosophie en 1949, docteur en médecine en 1958[1]. En 1993, il déclarait : « Le monde des objets, qui est immense, est finalement plus révélateur de l’esprit que l’esprit lui-même. Il meurt le 3 octobre 2015 à Avallon, à l'âge de 91 ans[3] ou le 2 octobre 2015 à Paris[4],[5]. Œuvres[modifier | modifier le code] Monographies[modifier | modifier le code] Collaborations[modifier | modifier le code] Contributions diverses / J. À propos de François Dagognet[modifier | modifier le code] Notamment :

« Je ne suis pas féministe mais…  | «notachocolatecake « Je ne suis pas féministe mais… » « Je ne suis pas féministe mais… » : Le féminisme est un terme qui semble mettre certaines personnes mal à l’aise, hommes et femmes confondus. « Etre féministe », parlons-en… … On oublie ! Mais si vous êtes anglophones, enjoy ;-) [mise à jour le 12.04.2013] En effet, le texte que je m’étais permise de traduire librement de l’anglais – et dont la source se trouve en cliquant sur le lien ci-dessus – est contesté par son auteure pour des questions de droits. Yeaaahhh ! Cela dit, il me semble que défendre et promouvoir le féminisme impliquerait aussi de savoir ouvrir la discussion sur le thème avec un plus grand nombre en tissant des liens au delà des frontières… [Mise à jour le 14.04.2013] «Le féminisme n’est pas un gros mot. Les Dégenreuses nous donnent une petite définition pour mettre les choses à plat: «Le féminisme, c’est un ensemble d’idées dont le but est de réfléchir sur la place des femmes dans la société et de militer pour leurs droits. J'aime :

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