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« le désir homo ne rencontre pas l'autre en vérité »

« le désir homo ne rencontre pas l'autre en vérité »
Après une expérience homosexuelle longue de plusieurs années, Audrey est aujourd'hui mariée... avec un homme. A l'heure du débat sur l'ouverture du mariage aux personnes de même sexe, elle a accepté de nous faire part de son témoignage, pour nous aider à comprendre une réalité mal connue. Peux-tu nous raconter brièvement ton parcours ? Comment es-tu venue à avoir des relations homosexuelles ? Qu’est-ce qui t’a amenée à vouloir changer de vie ? Aussi loin que je peux remonter, j'ai toujours été attirée par les femmes. Les mères de mes ami(e)s, ou les maîtresses de l'école, par contre, je les adorais. A l'adolescence, cette attirance pour les femmes a continué, en se transformant. Très peu de petits amis durant toute cette période. A 15 ans, une nouvelle est arrivée dans ma classe. Un soir, j'étais chez elle, je lui massais les épaules et ça a fini par déraper : nous avons couché ensemble. Au bout d'un an, je suis tombée brutalement et follement amoureuse d'une autre. Complètement.

Les homosexuels nous montrent la voie - Ab Imo Pectore : le blog de Polydamas Il m'est arrivé, lors de conversations au ton provocant, d'affirmer que les catholiques étaient des homosexuels comme les autres. Par là, je n'entendais pas faire de commentaires sur la sexualité des uns ou des autres, mais attirer l'attention de mes contradicteurs sur le fait que les blessures de certaines personnes à désir homosexuel sont des blessures auxquelles chacun doit faire face, et en particulier, les catholiques. Il se trouve que, du fait de sa nature, la blessure homosexuelle est bien plus visible que les blessures des autres, qui, même si elles ne concernent pas les sentiments ou la vie en couple, nous rendent tous handicapés. Ces réflexions me sont revenues à la lecture du texte chez Incarnare d'Audrey. Le billet commence par le début de sa vie sexuelle, la manière dont elle tombait amoureuse d'autres femmes, et l'instabilité qui en résultait. Mais je sentais que quelque chose n'allait pas. Elle dit à la fin, et cette phrase fait le titre du billet :

Loving v. Virginia Loving v. Virginia, 388 U.S. 1 (1967),[1] was a landmark civil rights decision of the United States Supreme Court which invalidated laws prohibiting interracial marriage. The decision was followed by an increase in interracial marriages in the U.S., and is remembered annually on Loving Day, June 12. It has been the subject of two movies as well as songs. Background[edit] Anti-miscegenation laws in the United States had been in place in certain states since before the United States declared independence. U.S States, by the date of repeal of anti-miscegenation laws: No laws passed Before 1887 1948 to 1967 12 June 1967 Plaintiffs[edit] Mildred and Richard Loving in 1967 The plaintiffs in the case were Mildred Delores Loving, née Jeter (July 22, 1939 – May 2, 2008), a woman of African-American and Rappahannock Native American descent,[2][3][4] and Richard Perry Loving (October 29, 1933 – June 1975),[5] a white man. The couple had three children: Donald, Peggy, and Sidney. Criminal proceedings[edit]

Les réseaux des homos L’Inter-LGBT, l’Association des parents et futurs parents gays et les biens (APGL), Homosexualités et Socialisme, Gaylib, l’Association des familles homoparentales (ADFH)… Toutes ont été reçues le mois dernier par Christiane Taubira, ministre de la Justice, et Dominique Bertinotti, ministre déléguée chargée de la Famille, dans le cadre de la consultation sur le “mariage pour tous”. Que représentent-elles vraiment ? L’APGL ne revendique que 1 500 adhérents, Homosexualités et Socialisme, 600 seulement, dont la moitié sont membres du PS. Pour l’association Contact aussi, 600, et 200 pour Arc-en-Ciel, également reçues Place Vendôme. Peu de membres, donc, mais les figures de proue des combats LGBT compensent la faiblesse numérique de ces mouvements par un indéniable savoir-faire médiatique. Malgré son air juvénile, le porte-parole de l’Inter-LGBT, Nicolas Gougain, possède, lui aussi, un long passé militant. L’Inter-LGBT réunit une soixantaine de structures, qui vont de l’APGL à LMDE.

Homosexualité : les chiffres « Initiative locale pour aider les femmes enceintes | Accueil | TSCG : Où sont passés les souverainistes ? » Homosexualité : les chiffres Trouvés sur le site des Associations Familiales Catholiques : 3504 (sur 4380 enfants adoptés en 2010) sont issus de l’adoption internationale, soit 80 %. Homosexualité... La théologie du placard vide ! N’en déplaise aux intégristes, littéralistes, homophobes et incultes des églises dites « chrétiennes » ! Les questions relatives à l’homosexualité sont très complexes et ne sont pas comprises par la plupart des membres des églises dites « chrétiennes ». Pour eux, elle est une forme « abjecte » de perversion sexuelle condamnée tant dans l’Ancien que dans le Nouveau Testament. Seulement voila… Il n’y a rien dans l’Ancien Testament qui corresponde à l’homosexualité comme nous la connaissons aujourd’hui et il n’y a aucun texte se référant à l’orientation homosexuelle dans la Bible. Les jugements bibliques contre l’homosexualité ne sont pas adaptés au débat actuel. On est libre de discuter de l’homosexualité seulement quand on se rend compte que même le Nouveau Testament manque d’une déclaration normative évidente en ce qui concerne cette question. Les idées et les compréhensions de la sexualité ont beaucoup changé au cours des siècles. Genèse 1,27 Genèse 19 (cf. 18,20) Lévitique 18,22 (20,13)

Il existe une société où l'homosexualité n'existe pas Lors d'une conférence de presse en septembre, Wolf Blitzer de CNN avait demandé au président iranien Mahmoud Ahmadinejad d'apporter quelques précisions à sa célèbre déclaration de 2007, selon laquelle il n'y avait pas d'homosexuels en Iran. «Ma position n'a pas changé», répondit Ahmadinejad, avec un air de défiance. Ensuite, à contrecœur, il dut admettre devant Blitzer qu'il y avait une infime probabilité de croiser de tels monstres, même parmi les Iraniens respectueux de la charia. «Certains individus ont peut-être des pratiques [homosexuelles], mais ce ne sont pas des éléments connus de la société iranienne. Croyez bien qu'il s'agit là du comportement le plus immonde pour notre société (…), mais en tant que gouvernant, il m'est impossible de descendre dans la rue et de demander [à tous mes concitoyens] quelle est leur orientation spécifique.» J'éprouve un plaisir certain à profiter de cet article pour m'attarder sur les carences intellectuelles d'Ahmadinejad. Jesse Bering

L’homosexualité animale - Sciences Dalila Bovet et Florence Burgat Claire Poinsignon © Il existe dans la bibliographie zoologique anglo-saxonne un ouvrage de quelques 750 pages. Son auteur, le biologiste Bruce Bagemihl. Son titre « Biological exuberance » et son sous-titre « L’homosexualité animale et la diversité naturelle. » Cet ouvrage, par son exhaustivité, montre que ce type de sexualité est très largement répandu chez les animaux. Des phoques, des dauphins, certains caprins, les lamas, en passant bien sûr par les primates et les oiseaux, l’homosexualité n’est pas un comportement d’exception. Ce rendez-vous de Continent Sciences aborde cet aspect méconnu de l’éthologie animale. Avec Dalila Bovet, éthologue, Florence Burgat, philosophe, et Frank Cézilly (au téléphone), professeur d'écologie.

Les études sur l'homoparentalité sont truffées d'erreurs « L’avortement peut conduire au déni de grossesse et à l’infanticide | Accueil | Les religieuses du Barroux menacées de mort » 29 juillet 2010 Les études sur l'homoparentalité sont truffées d'erreurs Lu dans la lettre trimestrielle de Famille et liberté : "le docteur Sharon Quick a produit un mémoire [pdf, 33 pages], daté du 23 mai 2007, fruit de cinq années d’examen des études sur l’homoparentalité. Posté le 29 juillet 2010 à 12h00 par Michel Janva | Catégorie(s): Homosexualité : revendication du lobby gay Commentaires Merci pour cette information précise attendue pour contrer les affirmations infondées de la bien-pensance...

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