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Greenwashing « Communication Corporate & Développement Durable

Greenwashing « Communication Corporate & Développement Durable
Le « Greenwashing » est un terme anglophone qui peut être traduit par « verdissement d’image ». Il fait référence à l’éco-blanchiment auquel se livrent les entreprises, en communiquant, de façon mensongère, sur la performance environnementale de leur marque ou de leurs produits. "Le terme Greenwashing est utilisé par les groupes de pression environnementaux pour désigner les efforts de communication des entreprises sur leurs avancées en termes de développement durable, avancées qui ne s’accompagnent pas de véritables actions pour l’environnement. Source : Publicitaires Eco-Socio-Innovants Le greenwashing est la dernière tendance des entreprises qui surfent sur la vague écolo. Le greenwashing est donc le phénomène qui profite des aspirations écologiques des consommateurs pour en faire, avec un certain cynisme un pur levier de marketing, bien loin d’une politique sincère de développement durable. Pour plus d’informations : Related:  marketing durable

Ne confondons pas « greenwashing » et communication La communication relative à l’engagement d’organisations pour le développement durable est souvent mise en cause et systématiquement mise en doute. On entend souvent le terme de « greenwashing » pour qualifier l’engagement d’une entreprise, souvent à juste titre, mais aussi parfois pour démontrer sa vigilance et sous-tendre la supériorité de sa vision et de son propre engagement. Si cette vigilance est louable d’un côté, puisqu’elle évite la multiplication des dérives, elle ne doit pas enfermer la communication des organisations dans un rapport duel entre ce qui est du « greenwashing » et ce qui n’en est pas et résumer la communication à la seule valorisation honnête ou non d’un engagement. En effet, la communication n’est pas qu’un simple moyen de valoriser son engagement, elle fait partie intégrante du dispositif de l’engagement d’une organisation pour faire savoir, sensibiliser le public au changement et l’encourager – ainsi que tous les autres acteurs – à agir.

Quand McDo devient écolo ou l'art du «greenwashing» Le changement de logo de McDonald's (capture d'écran Dailymotion - decideurstv - cc) Du même auteur J'ai (re)commencé à parler de décroissance, et je prépare un (très) long billet pour tenter d'expliquer où en sont les organisations politiques qui s'en réclament, quelles sont leurs idées, et comment elles comptent les mettre en œuvre. En attendant, la précampagne présidentielle est déjà lancée, et cette semaine a vu la déclaration hypermédiatisée de la candidature de Nicolas Bertrand Hulot, déjà quasiment assuré de représenter les Verts, et qui va devoir s'employer à faire oublier son lourd passé d'hélicologiste sponsorisé par les multinationales, et notamment par l'industrie nucléaire. C'est pas gagné.

Eco-communication - Définition du greenwashing L'ADEME et l'ARPP (Autorité de Régulation des Professionnels de la Publicité, ancien BVP) collaborent depuis 2006 afin d'évaluer le respect de la loi et de la déontologie professionnelle concernant l'utilisation de l'argument écologique et de l'argument développement durable. Ces études ont permis à l'ARPP de mettre en œuvre divers projets (sensibilisation, effort d'autodiscipline, intégration d'ONG environnementales...) pour améliorer progressivement la pertinence du discours publicitaire en matière de protection de l’environnement. En savoir plus sur l'ARPP Dans ce 6ème Rapport d’études « Publicité & Environnement » - Bilan 2012 publié fin novembre 2013, 92% des publicités sur les 11 297 étudiées en 2012, sont conformes aux recommandations déontologiques en matière de développement durable de l’ARPP. Ce taux de conformité est le meilleur atteint en 6 ans. > Lire le communiqué de presse > Lire le communiqué de presse - La publicité fait-elle un bon usage des arguments environnementaux ?

La pub Areva, com' maladroite ou "greenwashing" calculé ? Les riverains choqués par la dernière campagne de pub d’Areva ne sont pas les seuls. Cinq plaintes ont été déposées devant le jury de déontologie publicitaire. Quelles chances ont-elles d’aboutir à l’interdiction du spot lancé le 5 janvier ? Le clip célébrant les dix ans du groupe avait été validé par l’Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP). Les plaignants dénoncent un « greenwashing » (ou écoblanchiment, tentative de donner une image écologique d’une entreprise), voire une « désinformation » du public. Pour Stéphane Martin, directeur de l’ARPP : « Cette campagne a été validée car jugée conforme aux recommandations développement durable faites aux annonceurs. Chez Areva, on « aurait été étonnés par l’absence de plainte. « La publicité d’Areva suggère que le nucléaire est écolo » L’un des plaignants, Arnaud Gossement, spécialiste en droit de l’environnement, explique ses motivations : Frise chronologique de l’énergie extraite du making of de la pub d’Areva

Greenwashing: What is it, Why is it a Problem, and How to Avoid It As people around the world become more aware of the importance of their daily choices and purchases, many businesses, too, are becoming more sustainable in how they operate to gain favour with consumers. In theory, this is a good thing, but many have simply put up a facade of sustainability while they continue to engage in activities that cause more waste or greenhouse gases. This is called “greenwashing,” but what exactly is it and how can you avoid companies that engage in it? What is Greenwashing? Greenwashing is essentially when a company or organisation spends more time and money on marketing themselves as being sustainable than on actually minimising their environmental impact. It’s a deceitful advertising method to gain favour with consumers who choose to support businesses that care about bettering the planet. The term “greenwashing” was coined by environmentalist Jay Westerveld in 1986 in an essay criticising the irony of the “save the towel” movement in hotels at the time.

Écoblanchiment, greenwashing, la publicité qui abuse de l'écologie L'écoblanchiment, ou greenwashing en anglais, est l'utilisation abusive ou mensongère de l'argument écologique ou du développement durable dans la publicité, pour une marque, un produit ou une entreprise. Ces dernières années, la protection de l'environnement et le développement durable représentent les préoccupations prioritaires des français : de nombreuses entreprises et annonceurs ont décidé de surfer sur cette vague verte pour en faire un axe de communication. Les publicitaires ont bien compris l'engouement des consommateurs pour les produits qui respectent l'environnement et certains se sont précipités sur cette opportunité sans scrupules. Ils ont mis en avant dans leur communication des vertus écologiques de produits inexistantes, de faux labels environnementaux, ou ont ouvertement induit en erreur et trompé les consommateurs sur la véritable plus-value environnementale de l'entreprise, la marque ou le produit.

Marketing vert : la traque au greenwashing 2.0 Quel est le rapport entre un escalier de métro transformé en piano et une marque de voiture ? Pour Novactif, l'équation est des plus simples : Crowdsourcing + Street marketing + buzz = The fun theory. Convaincus ? Les internautes suédois, invités à poster des initiatives écolos et citoyennes en cascade sur le site, ont marché à fond. La réussite de The Fun Theory n'était pourtant pas évidente, tant l'internaute est devenu suspicieux face aux engagements écolos des grandes marques qui leur promettent de sauver la planète. Quand j'entends le mot vert, je sors mon revolver Selon le magazine Time, en novembre 2008, la société de marketing environnemental Terrachoice avait réalisé une étude prouvant que sur 1018 publicités "vertes", un seul (!) En France, le Grenelle de l'environnement est très vigilant sur cette pratique mensongère des marques, et un Observatoire indépendant de la publicité a été lancé par un collectif d'ONG écolos pour surveiller cette pratique. Par Emmanuel Haddad

Le recyclage est une ordure Après avoir fini les nouilles sautées du traiteur asiatique, est-ce qu'on doit jeter la barquette en plastique dans le bac jaune ? Ou dans la poubelle normale, verte ? Et où ira-t-elle ensuite, cette petite barquette, quand les éboueurs l'emporteront dans leur camion ? Que deviendra-t-elle ? Ce genre de grandes questions métaphysiques, on y pense tous les jours en soulevant le couvercle de la poubelle, mais la plupart du temps on ne creuse pas trop pour avoir les réponses. On se doute que ça ne doit pas être folichon, et que les barquettes, il y en a pas mal qui flottent en microparticules quelque part dans les mers bleues du sud. Ressources :- L'invention des déchets urbains, France, 1790-1970, Sabine Barles, 2005- Catalogue de l'exposition Vies d'ordures, De l'économie des déchets. Vivons heureux avant la fin du mondeComment s’habiller, échanger, voyager, s’aimer dans les années 20 ?

Qu'est-ce que le Développement Durable ? « C’est la préservation de l’environnement, l’écologie » « C’est un mode de développement économique » « C’est utiliser le moins d’énergies fossiles possible » « C’est un leurre » … Si on pose la question autour de soi, on obtient autant de réponses que de personnes interrogées. Bien souvent, la réponse n’est pas fausse mais incomplète. Voici une petite présentation du développement durable pour permettre une première approche de ce vaste concept et de se faire sa propre idée. Il devient évident ces dernières années que notre monde change, et on ne peut plus occulter les problèmes qui ont émergé de notre mode de développement actuel. Afin de réagir à tous ces problèmes, un nouveau mode de développement à été définit, il sera « durable ». Le développement durable repose sur 4 piliers : environnementalsocialéconomiquedémocratique Les enjeux environnementaux Les enjeux sociaux Aujourd’hui, 20 % de la population concentre 86 % des richesses produites annuellement (source : UNDP).

Pourquoi les entreprises ont-elles besoin de valeurs ? - JDN M?dia Quelles valeurs sont aujourd'hui le plus fréquemment mises en avant par les entreprises ? La qualité, l'innovation, la proximité, la tradition, l'intégrité... ? Une étude livre des éléments de réponse. S'il est bien un sujet qui s'invite régulièrement lorsque l'on parle de la culture d'une entreprise c'est bien le sujet des valeurs. Le tout nouvel Index International des Valeurs Corporate que nous avons réalisé chez Wellcom, établit une photographie des valeurs retenues par près de quatre mille entreprises dans onze pays, en Europe, en Inde et aux Etats-Unis. Les résultats de cette étude permettent d'identifier une liste de valeurs pilotes, elles-mêmes regroupées en huit familles de valeurs. Donner du sens, parce qu'au delà de sa mission première (produire des biens ou fournir des services) une entreprise, pour réussir et se développer, a besoin d'être appréciée par ses différentes parties prenantes.

Fast-fashion ou coton bio, peut-on s’habiller sans polluer ? L'industrie du textile et de la mode crée de faux besoins pour qu'on achète sans cesse des habits. Notre cerveau est conditionné pour vouloir du nouveau, à n'importe quel prix. Y compris celui de la destruction des ressources, de la pollution et du gaspillage. Avec :- Majdouline Sbai (sociologue spécialisée en environnement, membre du collectif Ethique sur l’étiquette)- Julia Faure (ingénieure en agronomie, co-fondatrice de la marque de vêtements LOOM)- Sébastien Bohler (docteur en neurobiologie moléculaire, rédacteur en chef de la revue Cerveau et Psycho)- Jean-Baptiste Fressoz (historien des sciences, des techniques et de l’environnement) Remerciements : Clémence Mignot - Elsa Monségur (La textilerie) - Nayla Aljtouni Nouveau podcast : Vivons heureux avant la fin du mondeComment s’habiller, échanger, voyager, s’aimer dans les années 20 ? Livres : - « Une mode éthique est-elle possible ?

Innover grâce au développement durable : l’exemple de Toyota Dans le cadre de ses Rencontres Green Ocean, le cabinet Ernst & Young a organisé début mars une conférence intitulée « Déployer l’innovation, du prototype à la référence du marché ». L’objectif était de montrer comment l’intégration du développement durable dans une démarche d’innovation pouvait amener à de véritables innovations de rupture, en créant de la valeur à la fois pour le client et pour l’entreprise. La première partie de la conférence a permis de montrer les étapes par lesquelles passent de nombreuses entreprises dans leur quête de développement durable. Le principal exemple évoqué pour illustrer cette dynamique a été celui de Toyota, qui a engendré avec ses voitures hybrides une véritable révolution au sein du monde automobile. Pour développer de véritables innovations, telles que la voiture hybride, et faire en sorte qu’elles soient viables sur le marché, Toyota a identifié plusieurs facteurs clés de succès : - disposer d’un budget R&D dédié et stable

Soldes : les "déconsommateurs" contre-attaquent Il était 8 heures du matin, ce mercredi 9 janvier aux Galeries Lafayette (Paris), quand la secrétaire d'État à l'Économie, Agnès Pannier-Runacher, a lancé les premiers soldes de 2019. Un événement très attendu par les commerçants après huit semaines de mobilisation des "Gilets Jaunes", dont le mouvement a pesé sur l'activité des commerces tous les samedi depuis le 17 novembre, date de départ de "l'Acte I" de cette protestation protéiforme. Ce mercredi 9 janvier, des grappes de dizaines de consommateurs avides de bonnes affaires ont donc pu s'éparpiller dans les rayons du grand magasin, pour profiter de l'un des grands rendez-vous annuel consacré à la consommation : les soldes d'hiver. D'une manière très rapprochée, cette kermesse succède à deux autres : Noël, ainsi que le "Black Friday", le dernier vendredi de novembre, journée de rabais issue de la culture anglo-saxonne et, depuis quelques années, pratiquée aussi en France. Le succès des initiatives pour une consommation durable

Le greenwashing est un phénomène qui profite des aspirations écologiques des consommateurs pour en faire, avec un certain cynisme un pur levier de marketing, bien loin d’une politique sincère de développement durable. En donnant une image « verte » à des entreprises, des services et des produits qui ne le sont pas, ce "blanchiment écologique" des activités industrielles et commerciales minimise et banalise la nécessité impérative de changer nos comportements de consommation. En outre, ce "verdissement d’image" participe directement à la désinformation des consommateurs, contrecarre les efforts importants de sensibilisation faits en ce sens par les associations, par les pouvoirs publics (ADEME pour la France), et discrédite la démarche de progrès déjà initiée par quelques entreprises courageuses. by mailyscrespel Mar 17

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