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Global recession - where did all the money go? | Business Turn autoplay off Edition: <span><a href=" Sign in Beta About us Today's paper Subscribe Custom Search Business Series: Road to ruin Previous | Next | Index Global recession - where did all the money go? Business Recession Money Credit cards Series Road to ruin More from Dan Roberts on business on Money Credit cards Business Recession Road to ruin More interactives Debt has become a drug. Hot topics © 2014 Guardian News and Media Limited or its affiliated companies. Send to a friend Your IP address will be logged Share Short link for this page: Contact us Contact the Business editorfinancial@theguardian.com Report errors or inaccuracies: userhelp@theguardian.com Letters for publication should be sent to: letters@theguardian.com Close

La « main invisible » donne une grosse baffe à la France J’avais prévu de vous parler de l’hyperinflation et de ses signaux avant-coureurs. Nous avons d’ailleurs commencé sur le sujet, hier, dans la Quotidienne . Voilà qu’aujourd’hui, 21 décembre, la très respectable Agefi, qu’on ne peut soupçonner d’alarmisme outrancier nous fait déployer nos petites antennes fébriles. « Le CDS sur la France à un niveau record », titre le quotidien. Le CDS, c’est cette assurance contre le défaut sur une dette. Tout soupçon sur la bonne santé d’un émetteur commence par un renchérissement de la prime d’assurance le concernant. La « main invisible » de M. Sources Bloomberg et Agefi Bien sûr, L’Agefi donne immédiatement un petit comprimé de Lexomil à ses fidèles lecteurs : « un autre indicateur de la perception du risque est plutôt favorable à la France. Mais me direz-vous « comment se fait-il qu’une entreprise puisse donner moins d’inquiétude à ses débiteurs qu’un Etat » ? Au commencement est une équation monétariste Ou encore PIB = M x V M : la masse monétaire

Le libéralisme pour les nuls The Guardian coalition pledge tracker | Politics Turn autoplay off Edition: <span><a href=" Sign in Beta About us Today's paper Subscribe Custom Search Series: Pledge tracker Previous | Index The Guardian coalition pledge tracker In its first weeks in government, the Conservative-Liberal Democrats coalition made more than 400 pledges as it set out its governing pact. Politics Liberal-Conservative coalition Series Pledge tracker More from Pledge tracker on Politics Liberal-Conservative coalition More interactives Pledge tracker: the verdict on the first year Simon Jeffery on where the coalition finds itself after its first 12 months 10 comments Interactive: A year in the life of the coalition Guardian/ICM polls and key events since the general election Hot topics © 2014 Guardian News and Media Limited or its affiliated companies. Send to a friend Your IP address will be logged Share Contact us Close

France Inter, une “radio de gauche” - Causeur.fr Maison de la Radio ou siège du Parti ? L’heure est grave. Le rouleau-compresseur de la censure sarkozyste est en marche. Heureusement, de courageux résistants sauvent l’honneur, au sacrifice, sinon de leur vie, du moins de leurs émoluments. En ces heures sombres qui nous en rappellent d’autres, la liberté a deux visages, ceux de Didier Porte et de Stéphane Guillon, qui ont appelé aujourd’hui leurs auditeurs furibonds à manifester devant la Maison de la Radio. Si j’avais convoqué une manif à chaque fois que j’ai été débarquée, j’aurais passé mon temps à battre le pavé. Pour tout dire, je n’aurais pas viré Didier Porte malgré sa malheureuse chronique dans laquelle il prêtait à Dominique de Villepin des intentions fort grossières à l’égard du président. Le Jean Moulin des ondes, un mutin de Panurge Philippe Val et Jean-Luc Hees avaient, en revanche, d’excellentes raisons de virer Guillon. Comment peut-on ne pas être de gauche ? France Inter, donc, est une radio de gauche.

Portrait des «1%» français Mouvements «Occupy...», polémiques en France sur le quotient familial... Des deux côtés de l'Atlantique, la question des niveaux de revenus est au coeur du débat politique. Avec pour cible les «1%», cette catégorie de la population qui capterait, selon ses détracteurs, un niveau excessif de richesses. Qui sont-ils en France? On peut distinguer deux manières de faire partie des «1%» : par ses revenus annuels ou par sa fortune accumulée. Texte: Jean-Marie Pottier. Actualisé le 19 janvier: contrairement à ce qu'indiquait une première version, le montant total du patrimoine des Français n'est pas de 10,4 milliards mais 10.400 milliards. Portugal : Ce qu'il faut savoir sur l'incendie Powered by

Chicago Economists on the Crisis - Freakonomics Blog - NYTimes.c Earlier this week, Dubner linked to a terrific New Yorker piece by John Cassidy, which explores the state of the “Chicago School.” Following up, Cassidy has posted some very revealing interview transcripts. All the interviews are with truly great economists. The very best come across as trying to build insight that is both rigorous and empirically relevant. Read them all, and come to your own judgments: La crise Sur l'île du Planisme Bureaucratique, c'est un peu la catastrophe. Les investisseurs constatent que les prix des biens de consommation augmentent beaucoup et que les bonnes affaires ne sont peut être pas dans les biens de capitaux éloignés temporellement des biens de consommation, mais plutôt dans ceux qui peuvent servir le grand public rapidement... les épuisettes par exemple. Et s'ils s'étaient trompés ? Et si les monstrueux investissements effectués dans les bateaux à voile -dont les prix grimpaient en permanence- étaient des mal-investissements ? Ce qui doit arriver arrive : c'est la crise. Des demi-bateaux à voile, jonchent la plage. Mais la série noire ne s'arrête pas là. Toute l'économie est destabilisée, les bricoleurs de bateaux à voile se retrouvent au chômage brutalement. Du côté des banques, cela tangue aussi sévèrement : beaucoup de pêcheurs sont ruinés et ne peuvent plus rembourser les prêts. Chômage, baisse du pouvoir d'achat, injustice, gaspillage...

Debtwatch No 41, December 2009: 4 Years of Calling the GFC | Ste EmailShare 3EmailShare I first realised that the world faced a serious financial crisis in the very near future in December 2005, as I prepared an Expert Witness Report for the NSW Legal Aid Commission on the subject of predatory lending. My brief was to talk about the impact of such contracts on third parties, since one ground to overturn a loan contract was that it had deleterious impacts on people who were not signatories to the contract itself. I was approached because the solicitor in the case had heard of my academic work on Hyman Minsky's "Financial Instability Hypothesis". Minsky's hypothesis argued that a capitalist economy with sophisticated financial institutions could fall into a Depression as an excessive buildup of private debt occurred over a number of financially-driven business cycles. Figure 1 When I began writing my Report, I started with the comment that "debt to GDP levels have been rising exponentially". Figure 2 Figure 3 Fig­ure 4 Fig­ure 5 Fig­ure 6 Fig­ure 7 Fig­ure 8

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