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Deux lesbiennes transforment leur fils adoptif en fille (vidéo)

Deux lesbiennes transforment leur fils adoptif en fille (vidéo)
Couvrez ce zizi que je ne saurais voir Un enfant de 11 ans va subir une opération chirurgicale pour se faire enlever son pénis après avoir pris des hormones depuis l’age de 8 ans. L’enfant, élevé par un couple de lesbiennes, se sentirait une fille depuis toujours, selon ses mamans, qui lui font subir tout cela pour sa santé… Quand le progressisme sociétal couplé à un consumérisme maladif utilisent la science pour mettre en place Le meilleur des mondes… Dans un avenir proche, nous serons enfin libérés de l’oppression homophobe de Dame nature et nous pourrons avoir fabriquer des enfants qui ressemblent à ce qu’on veut. Car enfin, vu ce que coutent les gamins, n’est-il pas normal qu’il correspondent exactement aux attentes de leurs parents consommateurs ? Heureusement, les Californiens « sont en avance » sur nous, ils sont plus « tolérants » et comprennent que chacun doit pouvoir vivre sa vie comme il l’entend. Mais chut ! La vidéo de l’enfant qui va servir de modèle à la France.

PMA : le malaise d'enfants nés d'un don TÉMOIGNAGES - La première génération d'enfants issus du don de gamète anonyme veut faire entendre sa voix. «Nous sommes une génération d'abandonnés, orphelins de nos origines»… À l'heure où la question de la procréation médicalement assistée revient sur le devant de la scène médiatique, la première génération d'enfants issus d'un don de gamète anonyme veut faire entendre sa voix. «Nous avons à présent un recul de plus de 40 ans sur ces techniques. Âgé de 23 ans, il étudie aujourd'hui le droit des libertés fondamentales, «influencé par mon histoire personnelle, motivé par une sensation d'injustice», reconnaît en riant ce jeune homme né grâce à une insémination artificielle avec donneur anonyme. Savoir qu'un Cecos détient le secret de vos origines génétiques, que cette identité existe, mais qu'elle vous est interdite, c'est une «forme de torture psychologique», «la partie de l'histoire impossible à accepter», s'accordent à penser tous les enfants nés d'un don membres de l'association.

La théorie du genre au détriment des droits humains ? Partout où elle essaie de s’imposer en force, la théorie du genre suscite de nombreuses résistances. Pour rappel, dans les grandes lignes, la théorie du genre consiste à nier l’influence de la nature sur la construction de l’identité sexuelle des individus. En clair, ce n’est pas parce que j’ai un pénis que je suis un homme, ma masculinité n’est en fait qu’une construction sociale : c’est parce que je le veux que j’en suis un. Si mon choix est autre, rien ne m’empêche d’être une femme. Ma volonté prime sur la nature. Outre les oppositions traditionnelles que cette théorie soulève, il existe certaines lignes de front encore mal définies mais méritant réflexion : dans des sujets aussi graves que celui-ci, mieux vaut essayer de voir un peu plus loin que le bout de son nez. En premier lieu, la théorie du genre ne peut qu’affaiblir les positions écologiques. A méditer… Voir aussi Changement de sexe: pour les enfants aussi ? La théorie du genre: un état d’esprit funeste… et surtout

Le "genre" dans les manuels de SVT : le regard de Xavier Lacroix - Société Depuis plusieurs semaines, des pétitions circulent sur internet pour protester contre la façon dont les nouveaux manuels de sciences de la vie et de la terre en classe de première abordent la question de l'identité et de l'orientation sexuelles. Est incriminée l'affirmation d'une pensée idéologique - les études sur le "genre" - comme une vérité scientifique indiscutable. Peu d'analyses précises ont été publiées sur ce que disent exactement ces manuels. L'analyse de Xavier Lacroix : « Le texte du chapitre 9 du manuel édité par Hachette et intitulé "Devenir homme ou femme" est foncièrement ambigu. Ce qui est indéniable : la différence entre "être un individu sexué" et avoir une "identité sexuelle". Est juste aussi la différence entre "identité" et "orientation". Mais le texte insiste surtout sur une thèse et est éloquent par ses silences. A la fin du chapitre, deux colonnes se font face : dans l’une on décrit avec minutie le développement du "sexe biologique". Pour aller plus loin

La famille où les enfants n'ont pas de sexe Kathy Witterick, 38 ans, travailleuse sociale à Toronto, accoucha dans sa baignoire aidée de deux sages-femmes et de son compagnon tremblant d'émotion, David Stocker, 39 ans, instituteur. L'enfant, leur troisième, se porte merveilleusement bien. Potelé, blondinet, gazouillant. A cet instant du récit, il serait commode de pouvoir préciser si ce nourrisson est un garçon ou une fille. Un monde meilleur. Storm ne peut encore le comprendre, mais ses parents seraient encouragés d'apprendre que dans une école maternelle suédoise les éducateurs ont décidé la semaine dernière de ne plus utiliser les pronoms "il" et "elle". Souriez-vous encore en lisant un peu plus loin la question quiz : "Combien y a-t-il de sexes ?" "Etudes sur le genre". Manuels scolaires. Indignation primitive.

Le Gender pour tous et les droits des parents Tribune libre de Grégor Puppinck* Les parents qui voudront transmettre certaines valeurs à leurs enfants vont dans les prochains mois se heurter à l’école de la République, telle que l’actuel gouvernement veut la refonder, en particulier à propos de la complémentarité homme-femme, de la sexualité humaine et de la morale. Le projet de loi Taubira sur le mariage doit être considéré en lien avec un autre projet fondamental de l’actuel gouvernement : le projet de « refondation de l’école de la République » actuellement discuté à l’Assemblée Nationale. L’un de ces déterminismes serait l’identité de genre ; la déconstruction des stéréotypes de genres est conçue comme un moyen d’émancipation des enfants. Ainsi, si la loi Taubira sur le « mariage » est adoptée, l’école publique devra non seulement « déconstruire les stéréotypes de genre » dans l’esprit des enfants, mais en outre leur enseigner qu’il est normal d’avoir deux mères (et un père inconnu), ou deux pères (et une mère porteuse).

La folle polémique sur le « genre » - Édition du 1er août 2013 (n°3544) Peut-être suis-je candide, mais je suis convaincu que certaines polémiques pourraient s’apaiser si chaque protagoniste faisait un (petit) effort de bonne foi. C’est le cas de cet aigre conflit autour de la question du « genre » qui nous vient d’Amérique. Pour avoir longuement travaillé et écrit sur le sujet (dans la Vie vivante), je suis consterné par la façon caricaturale dont polémiquent les « anti » et les « pro ». Aux citoyens inquiets de voir cette « idéologie » s’imposer en France, j’ai envie de rappeler une évidence. « Gender Egalité » et « Création Différences » : Deux visions qui s'opposent… Un article d'Eric LEMAITRE « Les solutions totalitaires peuvent fort bien survivre à la chute des régimes totalitaires, sous la forme de tentations fortes qui surgiront chaque fois qu'il semblera impossible de soulager la misère politique, sociale et économique d'une manière qui soit digne de l'homme. »Hannah Arendt, Le système totalitaire, 1951. Une forme d’obsession, de prérogatives exacerbées traversent le monde depuis l’origine des temps et touchant à la dimension de l’égalité. A partir de la citation du texte d'Hannah Arendt reproduite plus haut, je souhaitais une nouvelle fois aborder les idéologies issues des « gender studies » dans cette perspective, évoquer la tentation forte qui est d’imposer une conception de la civilisation. Par simplification de langage, le idéologies issues des « gender studies » seront désignées, dans ce qui suit, par le terme "idéologie Gender". Le projet divin associé à la création n'est pas l'uniformité Babel est finalement un univers d’égalités.

La théorie du genre introduite en France dès la crèche Voici autre un article publié par André Noël dans son bulletin : « Synthèse hebdomadaire des problèmes politiques français et internationaux » (N° 2329) : La théorie du genre introduite en France dès la crèche Nous avons relaté dans un précédent Bulletin (n°2337) l’extravagant projet suédois qui, au nom de l’égalité des sexes, prétend interdire aux hommes d’uriner debout et donc leur prescrit de le faire accroupis comme nos compagnes ! On ne saurait s’arrêter-là ! De Suède toujours, cette semaine, nous découvrons une nouvelle initiative de la même veine. Il est à craindre que le sottisier féministe ait encore à s’ « enrichir »… Jusqu’ici, dans ce pays-là comme ailleurs, il y avait, dans les gymnases et piscines, des vestiaires pour garçons et des vestiaires pour les filles. Car il s’agit évidemment de la traduction pratique de la théorie du « gender » selon laquelle le sexe n’est pas une donnée biologique mais une « assignation sociale » à laquelle on peut renoncer par un libre choix.

Pas de GPA ni PMA pendant le mandat présidentiel ? - Paroisse Saint-Symphorien-en-Côte-Chalonnaise « La PMA ne fait pas partie du projet de loi actuellement en cours d’examen au Parlement […] La gestation pour autrui restera interdite en France tant que je serai président. » Certes, certes... Seulement voilà... M. Grégor Puppinck est directeur de l’ECLJ (European Center for Law & Justice). Ça fait froid dans le dos ! * *À propos de la GPA En accordant une reconnaissance aux enfants nés de mères porteuses à l’étranger, la circulaire Taubira fragilise l’interdiction de cette pratique en France. Deux affaires sont actuellement pendantes devant la Comment mettant en cause le refus par la France de reconnaître la filiation d’enfants nés à l’étranger par GPA (affaires Mennesson et autres c. * *À propos de la PMA Par le simple vote de l’Article 1er du projet de loi « ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe », la France, sans autre article ni débat nécessaire, instaure l’adoption, simple et plénière, des enfants par des personnes de même sexe. À bon entendeur...

L'Éducation nationale juge l'école sexiste Un rapport sur l'égalité entre filles et garçons remis à Vincent Peillon demande que « les stéréotypes de genre soient déconstruits et mis à distance », notamment en primaire. Le gouvernement fait du dossier une priorité. L'école entretient les inégalités entre les filles et les garçons, et ce malgré le volontarisme affiché des politiques et de la communauté éducative sur la question. La faute à notre tradition républicaine elle-même, qui «peine à voir des garçons et des filles, pour ne considérer que des élèves dans une conception désincarnée de l'égalité». Tel est le constat sans appel établi par un rapport de l'Inspection générale de l'Éducation nationale, remis en mai à Vincent Peillon et publié fin juillet (*). Le cliché de la fille sage et laborieuse pèse lourdement sur notre système scolaire, «même s'il est difficile de le reconnaître et le faire admettre dans une école pétrie des valeurs d'égalité», assène le rapport, qui pointe les rapports entre élèves et professeurs.

Théorie du genre : Najat et la crèche de l'indifférenciation Le zizi ? Un concept rétrograde ! Des députés UMP ont demandé la création d’une commission d’enquête sur la diffusion de la théorie du genre dans les crèches, révoltés par la visite de la ministre Najat Belkacem dans une crèche qui refuse de faire toute différence entre les fille et les garçons. La théorie du genre, concept idiot selon lequel les différences de genre ne seraient pas biologiques mais sociales (comme si le zizi poussait à cause des chambres bleues des garçons), est une aberration lancée aux États-Unis par quelques activistes homos afin de diffuser leur idéologie par la manipulation. Pourtant, en France, cette idéologie nauséabonde imposée par le lobby homo via le Parti socialiste grâce à la lâcheté de l’UMP, gagne du terrain. Dernière folie en cours, une crèche de l’indifférenciation, où l’on oblige les petits garçons à jouer avec des poupées et les petites filles avec des soldats.

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