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Michel Serres: "Vous m'emmerdez avec tout ça" (CSOJ)

Propagande US pour le choc des civilisations Ce qui est rageant c’est que les millions de musulmans ou assimilé comme tels (selon les propos même de notre illustre ex president, je cite, "musulman d’apparence" au moment où il pensait "tête d’Arabe") qui n’ont cure de ce choc des civilisations savamment entretenu se retrouvent sous des étendards qui ne sont pas les leurs. Nous sommes des millions à vaquer à nos occupations, sans aucune autre forme d’espoir que de mener une vie normale dans ce pays qui est le notre, et chaque jour on nous renvoi l’image de la victime Palestinienne, les fantômes d’Algérie, le féodalisme saoudien, l’exubérance des pays du Golf, les islamo-racailles des banlieues et autres terroristes tous plus sanglants les uns que les autres. J’ignore comment la France a décidé d’importer une population importante d’Afrique. Nous n’avons pas besoin d’étoile jaune. Je n’ai jamais vu les Corses prendre pour les crimes atroces perpétrés sur l’île.

Le sens enfoui du travail Le travail demande à être reconnu, à la fois présent et cache dans ce qu’il produit, a la fois souffrance et dévoilement. L’effort fourni par la philosophie pour penser le travail rencontre la difficulté constante à former un concept de travail qui ne se dissolve pas dans ce qui l’accompagne et ne se confond pas avec lui : la technique, l’acquisition des habitus nécessaires à la mise en œuvre des outils, l’invention de ces derniers, les rapports économiques et sociaux, etc. Le travail est en effet quelque chose d’irréductible à quoi que ce soit d’autre : une activité en temps contraint, faite par obligation sociale, caractérisant toutes les sociétés qui obligent au moins certains de leurs membres jour après jour à une tâche pour laquelle ils n’éprouvent pas d’attirance spéciale – et qui cependant est tenue pour indispensable à la survie de la collectivité puisqu’elle en assure la subsistance. Or comme tel le travail est apparemment très rarement convoqué sur la scène philosophique.

Conférence de Nicolas Dupont-Aignant à Nancy L’est bien ce petit NDA. Il me rappelle pas mal le Mr Smith de Frank Capra, le gars qui a des principes et des convictions, qui garde sa candeur et n’aime pas se trouver des ennemis mortels, qui n’est pas trop sûr de lui et ne trompe pas les gens, mais dont l’intégrité convainc quand même, et qui préfère "perdre" que de se compromettre, quitte à se retrouver seul et raillé par les collègues, ce qui au contraire lui attire la sympathie du peuple. Moi qui n’ai plus voté depuis des années, parce que je n’attends rien de la politique, il me donne presque envie de retourner aux urnes, ne serait-ce que pour dire que j’emmerde tous les cancrelats de la politique, leurs mensonges, leurs tournures, leur carnaval grotesque de fausse grandeur, et qu’un "petit", jeune, simple et franc, a mon soutien face à cette cour des miracles.

Art et technique font-ils bon ménage? Le Bauhaus au cœur des débats contemporains | 40 degrés à Londres ou les Arts d’Outre-Manche « Art et technique, une nouvelle unité ! La technologie n’a pas besoin de l’art, mais l’art a vraiment besoin de la technologie » lance Walter Gropius, le fondateur de l’école du Bauhaus, slogan qui retentit d’autant plus dans une société qui cherche à légitimer ses productions artistiques à chaque crise économique. De quoi faire frémir les défenseurs de l’art pour l’art. Iwao Yamawaki. Bauhaus building, 1930-32. Vintage print. On ne peut néanmoins émettre que cette exposition ne rapporte que des traces d’un mouvement coupé de son dynamisme, cela étant dû à la nature même de cette école qui se voulait expérimentale et dont certaines créations étaient éphémères (carnavals et autres représentations vivantes ou encore matériaux récupérés d’œuvres antérieures pour en créer de nouvelles). Maîtres sur le toit d’un bâtiment du Bauhaus, c.1926 (1998). Wassily Kandinsky, Cercles dans un cercle, 1923 Huile sur toile, Philadelphia Museum of Art, The Louise and Walter Arensberg Collection, 1950.

Roskomnadzor : le Big Brother du Web russe Roskomnadzor : le Big Brother du Web russe Roskomnadzor. Derrière ce nom se cache le service fédéral de surveillance d’Internet et des médias traditionnels, qui dépend du Ministère russe des Télécommunications. Fondé en 2008, son objectif est notamment de "garantir et protéger la confidentialité des données privées, personnelles et familiales de citoyens". Officiellement destiné à “garantir et protéger la confidentialité des données privées, personnelles et familiales de citoyens”, il ambitionne de dresser une liste noire des sites jugés nuisibles. “Nous pouvons réagir de manière adéquate et efficace, sans bloquer les ressources principales. Priorité de cette agence : traquer les sites “extrémistes”, soit à caractère pédophile ou qui encouragent la jeunesse à consommer de la drogue ou se suicider. Lors de la présentation du texte au Parlement en juillet, wikipedia Russie avait cessé de fonctionner pendant 24 heures, en signe de protestation. Like this: J'aime chargement…

Bernard Stiegler : « Le marketing détruit tous les outils du savoir » Texte publié intégralement dans la revue Soldes [1], que vous pouvez vous procurer dans l’une de ces librairies ou lors de l’événement organisé au Point éphémère à Paris le 24 mars (voir à la fin de l’article). Peut-on sortir de l’ère industrielle ? J’ai la conviction profonde que ce qu’on appelle humain, c’est la vie technicisée. La forme de vie qui passe par la technique, qu’elle soit du silex taillé ou du silicium, organisée comme aujourd’hui par un microprocesseur ou par autre chose. Dans tous les cas, nous avons affaire à de la forme technique. L’individuation psychique, c’est-à-dire la manière de devenir ce que je suis, l’individuation collective, la manière dont se transforme la société dans laquelle je vis, et l’individuation technique, la manière dont les objets techniques se transforment, sont inséparables. Quand on appréhende les questions dans leur globalité, il est inconcevable de faire face à cette poussée démographique avec des moyens non industriels. Et aux États-Unis ?

Visions CSFA- Tribune de Mr Mondialisation : Le changement, ce n’est pas « maintenant » mais « depuis toujours ». On s’interroge souvent sur nos conditions dans la société actuelle. La plupart d’entre-nous sont nés avec l’enseignement des droits de l’Homme, de la démocratie moderne, de l’Histoire (souvent chaotique) que l’humanité a écrite au cours des siècles précédents… On y cherche des solutions pour rendre réelle l’égalité des droits, des chances, des libertés, des moyens pour chaque citoyen. On va dire, c’est pas nouveau, ça fait des siècles que des humains se battent pour transformer « positivement » la société dans laquelle ils vivent. À chaque époque, à chaque période « clé », de nouvelles évidences apparaissent, dans une certaine mesure, dans la conscience globale. Il n’y a pas que les guerres et les révolutions qui induisent le changement. Ce fameux courant est né de ceux qu’on appelle « les bohèmes ». À notre époque, il est possible de ne pas être « fils de bourgeois » et malgré tout, de vivre en marge de la société. Pourquoi parler de « hackers » ? question.

Un grand entretien avec Bernard Stiegler : « Le rôle de l’art ? Produire du discernement ! » - L'Oeil - n° 633 - Mars 2011 Le consumérisme culturel et les nouvelles technologies sont les chevaux de bataille de ce philosophe atypique pour qui il faut défendre l’art et la culture. L'oeil : Philosophe, directeur de l’IRI, l’Institut de recherche et d’innovation du Centre Pompidou, vous analysez les conséquences du consumérisme dans le champ culturel. Quelles sont-elles ? Bernard Stiegler : Dans l’art et la culture, comme dans tous les domaines, le consommateur a remplacé l’amateur. L’audimat et le marketing ont fait leur entrée dans les musées. Les publics sont devenus des audiences au sens des grands médias de masse. Vous estimez donc que, pour l’instant, les pouvoirs publics ne jouent pas leur rôle ? Wikileaks, n’est-ce pas une opportunité pour le citoyen de reprendre la main ? C’est ce que vous appelez l’économie de la contribution ? Comment les institutions culturelles peuvent-elles apporter leur pierre à cet édifice ? De quelle manière agit l’IRI dans cette optique ?

Thierry Meyssan : "Le film anti-islam veut provoquer la haine des occidentaux dans le monde musulman" Tres bonne analyse de T Meyssan comme d’habitude mais j aimerais eglament vous revelz un fait qui lui se passe sur notre tetrritoire et qui est le fait d’islamiste sioniste comme le dit si bien A Soral : "Cette semaine quartier du Chemin Bas d’Avignon à Nîmes, des musulmans intégristes ont menacé les commerçants qui vendaient du vin, du porc ou des « vêtements légers », et leur ont interdit de revenir sous peine de mort. Ces débordements d’une extrême gravité ne sont hélas pas des actes isolés mais tendent au contraire à se banaliser depuis plusieurs mois. Évidemment, face à ces événements occultés par la plupart des médias, les pouvoirs publics et les élus locaux, à part se réunir, n’ont rien à dire et pour cause : il ne faudrait surtout pas trop faire de publicité à ces faits qui ne font hélas que donner raison une fois de plus aux analyses de Marine Le Pen et du Front National. Jusqu’à quand ces responsables politiques de droite comme de gauche vont-ils se voiler la face ?

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