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Entendre pour être écouté et compris

Entendre pour être écouté et compris
, c’est aussi mettre en commun. La semaine dernière, j’évoquais une des facettes de la communication : . Aujourd’hui, je vous propose de visiter ensemble notre capacité à susciter l’attention, au travers d’un aspect particulier de la communication orale : . Que ce soit lors d’une discussion dans une soirée dont l’objectif est de développer votre réseau professionnel ou, lors d’un entretien de recrutement, avant même de remporter une quelconque adhésion. Notre vision du monde nous appartient et se construit à partir du traitement d’un ensemble d’éléments filtrés à travers des tamis artisanaux fabriqués par nos petites cellules. Ce qui veut dire qu’un même évènement pourra être interprété de manière diamétralement opposé. Je vais m’arrêter là, même si nous pourrions encore en ajouter. Capter des sons n’est que le début d’un processus complexe. Malgré ses milliards de neurones, le cerveau a une capacité limitée à traiter l’information. Related posts: Des idées pour changer de job Related:  communication non violente

Des messages clairs pour coopérer Une classe coopérative est une classe où les élèves coopèrent. C’est aussi une classe où le désordre est potentiellement plus grand, tout du moins si rien de précis ne vise à l’estomper. Les messages clairs aident à instaurer une vraie coopération sans mobiliser l’enseignant pour gérer le climat de la classe. Faire coopérer les élèves génère tout naturellement plus de conflits entre eux, plus de bruit, moins d’écoute attentive des paroles de l’enseignant ... bref, un espace de travail avec un climat tout sauf serein. Coopérer induit plusieurs libertés : parler, se déplacer, choisir, changer, chercher, utiliser différents matériels, ... ce qui laisse place évidemment à davantage d’échanges entre les élèves, donc certainement à plus de « chicanes », à davantage de déplacements, donc probablement à plus de bruit... Une solution simple serait d’éviter que les élèves coopèrent, option que certains collègues désabusés ont malheureusement choisie. « J’ai besoin de te faire un message clair »

Conflits interpersonnels au travail : I Les malentendus I - Les malentendus A - Qu’est-ce que c’est ? C’est le plus fréquent des conflits et, heureusement, le plus facile à résoudre. Il résulte toujours d’une erreur d’interprétation. Il est d’abord unilatéral, mais peut devenir réciproque à partir des réactions de la personne offensée. 1 - Les manifestations principales Micheline est inquiète: elle est en retard et craint que son patron soit fâché car c’est aujourd’hui qu’elle doit faire la facturation pour tout le mois; une tâche qu’habituellement elle parvient à peine à compléter dans la journée. Il est visiblement furieux! Micheline sent les larmes lui monter aux yeux et se sauve aux toilettes pour retrouver son calme à l’abri des regards de ses collègues. Comme on peut s’y attendre, elle a beaucoup de difficulté à se concentrer et multiplie les erreurs. 2 - Les ingrédients essentiels Quels sont les ingrédients nécessaires à la naissance d’un malentendu? Les ingrédients essentiels pour créer un malentendu sont donc:

Communication orale - La méthode Gordon Mise au point par le docteur Thomas Gordon, aux Etats-Unis, dans les années 1950, cette approche se retrouve dans la démarche de la Communication dite non-violente (C.N.V.), et peut faire référence aux besoins de MASLOW. Résumé du concept : La méthode est basée sur un postulat simple : celui de la « satisfaction mutuelle des besoins ». Le principe va donc être : De provoquer la confrontation des besoins. Outils de la méthode : 1/ Le « message-Je » Il s’agit de s’attribuer les choses et de ne plus faire porter à l’autre la seule responsabilité d’un problème. Nous avons une fâcheuse tendance à utiliser le « message-Tu » ou le « message-Vous ». Le message efficace est celui qui dit « Je », et qui décrit à l’autre notre ressenti. 2/ L’écoute active : Le concept est qu’il vaut mieux placer le conflit au niveau des besoins qu’au niveau des personnes. Pratiquer une écoute « active », c’est entendre et reconnaître les sentiments et les besoins de l’autre, et les lui reformuler.

Confiance en soi : 6 astuces pour augmenter sa confiance Les 13 étapes ultimes pour avoir confiance en soi : le guide La confiance en soi est un élément déterminant de la réussite. Depuis quelques années, j’ai réussi à prendre confiance en moi, et ma qualité de vie s’en est grandement améliorée. Mais les graines que j’ai planté il y a quelques années ont germé et je commence à récolter. Encore une fois ce n’est pas facile. Il faut bosser sur soi, il faut s’en donner les moyens. Ce que vous pouvez faire, dans un premier temps, c’est de voir une vidéo que je vous avait fait pour bien démarrer l’année en 2014 et avoir confiance en soi Si vous manquez de confiance en vous, alors faites de cet objectif une PRIORITE ! Au début, j’ai commencé par lire quelques articles sur doctissimo par exemple pour prendre confiance. Mais je veux aller plus loin, et c’est d’ailleurs pour cette raison que j’ai décidé de m’expatrier à Londres. Le manque de confiance en soi est dû à notre enfance : les échecs que l’on a vécu, les moqueries, les parents…etc. 1. 2. 3.

l'assertivité un outil pour les maîtres "S'affirmer sans s'opposer" L'assertivité est une démarche personnelle dont le but est de rechercher une communication constructive et positive notamment dans les relations professionnelles ou sociales. Cette démarche se refuse à l'agression, la soumission ou la manipulation . Elle s'incarne dans une affirmation tranquille de soi et une bonne mise à distance où comportements et personnes ne sont pas confondus. C'est l'art de s'affirmer sans s'opposer. Démarche non violente, elle s'inscrit dans une éthique de la responsabilité qui prend le réel en compte sans dogmatisme. Dans l'absolu, si l'on ne s'en tient pas à certaines interprétations un peu réductrices du monde du travail, il s'agit de rechercher la convergence du progrès social avec celle du projet personnel. Cette démarche permet aux acteurs d'objectiver ou professionnaliser leurs échanges, de travailler dans le cadre d'une démocratie cognitive où les objectifs sont exprimés en référence à des valeurs. Vincent Breton

Répondre au besoin de reconnaissance Ce besoin, comme tous nos besoins, a une origine primitive: la reconnaissance favorisait la survie par la stabilité sociale et psychologique du groupe.Nous aspirons à recevoir le reconnaissance de nos accomplissements, de nos réussites, de ce que nous faisons bien, mais aussi la reconnaissance des difficultés, des obstacles que nous rencontrons et que nous dépassons, franchissons… ou non. Nous subissons le manque de reconnaissance Le manque de reconnaissance est une des principales causes de stress exprimées par les salariés. Le besoin non satisfait de reconnaissance est à l’origine de beaucoup d’émotions, de sentiments et par ricochet de comportements négatifs (frustration, colère, imptience, agressivité, irritabilité, ressentiment, susceptibilité, dégoût, maussaderie, morosité et j’en passe) dont le trop-plein mène directement à la perte de motivation, au découragement et au stress. Nous participons activement au manque de reconnaissance

Quatre techniques pour travailler l'estime de soi L'estime de soi permet de s'accepter avec ses qualités et ses défauts sur tous les plans (physique, social, affectif). Au travail, elle procure un sentiment de légitimité et aide à confronter ses idées avec conviction mais sans agressivité, empêchant de prendre les choses personnellement. Mais cette perception de soi (englobant la confiance en soi, l'amour de soi et le respect de soi) fragile, changeante, dépend du regard que l'on porte sur ses réussites et ses échecs, et de celui des autres. Il faut alors la "réparer". 1. Prenez conscience que se comparer avec vos collègues est stérile. A faire. 2. Promu a une grade plus élevé, missionné sur un projet convoité par tous, vous doutez. A faire. 3. "Quel idiot je fais!" A faire : soyez doux et indulgent avec vous-même ; confiez vos problèmes dans le cercle privé ; dites "je décide", "je choisis" et non pas "il faut, on devrait, je dois etc 4. A faire. (1) Auteure de "L'estime de soi c'est malin", Leduc.S Editions, mars 2014.

Augmenter les décisions en votre faveur grâce à l'Assertivité by Votre sparring partner Dire ce que je veux et ne veux pas, exprimer la façon dont je veux être traité(e), tout cela de manière directe et assurée … c’est possible ??? Oui, absolument, en adoptant la technique de l’Assertivité. Explications et exemples dans la série d’articles que nous vous proposons Passer de « réagir » à « Agir » ! Certaines situations de notre vie quotidienne plaident en faveur d’un travail personnel en profondeur sur notre façon de communiquer avec notre environnement … Situation 1 : « Je ne m’en sors plus, je suis épuisé(e) … je n’ai plus la force de me lever mais il faut que j’y aille … Il faut que j’en fasse encore plus … mais en même temps, je n’arrive à aucun résultat » Situation 2 : « Aie, voilà que je me retrouve avec le dossier X en plus du reste … Comment j’ai pu accepter çà une fois de plus !!! Mantra 1 : Acteur des échanges avec mon environnement et en grande partie responsable des résultats je suis ! « Mais c’est génial !!!!! S’entraîner

Réseau Coaching | Les 6 attitudes d’écoute de Porter « Les 6 attitudes d’écoute de Porter » par Norbert Macia www.norbertmaciacoach.com Tout professionnel de l’accompagnement qui s’intéresse à ce que nous appelons « position basse » se doit d’être sensible et réceptif à la question fondamentale de l’écoute. Les 6 attitudes d’écoute de Porter L’écoute est à l’entendre, ce que le silence est à la parole ou ce que le percevoir est au voir. Le psychologue américain Elias Porter, collaborateur de Carl Rogers, met en évidence une typologie d’attitudes identifiable (Les 6 attitudes d’écoute de Porter), qui sont plus ou moins naturelles et spontanées en fonction des personnes et des moments de la vie de chaque personne, déterminant ainsi la qualité et le style d’écoute pour chaque échange. Voici les 6 attitudes d’écoute de Porter : 1. 2. 3. 4. 5. 6. Pour finir, voici quelques conseils que le maître de la relation d’aide donne à ses élèves et futurs élèves thérapeutes (ce qui vaut tout aussi bien pour les coachs et futurs coachs de mon point de vue) :

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