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Fulcanelli et Julien Champagne

Fulcanelli et Julien Champagne
Fulcanelli l'alchimiste Julien Champagne, l'illustrateur de ses livres (23 janvier 1877 - 26 août 1932) Photo (lien vers le bas de page) du laboratoire de Julien Champagne, illustrateur des Fulcanelli. La bordure entourant cette photo porte en bas à droite une dédicace de J. Champagne à son maître Pierre Dujols (document inédit). Partons de choses sûres et connues : deux ouvrages d'alchimie portent comme nom d'auteur le pseudonyme "Fulcanelli". Le premier livre de Fulcanelli s'intitule "Le Mystère des Cathédrales et l'interprétation ésotérique des symboles hermétiques du Grand-oeuvre" et le second "Les Demeures Philosophales et le Symbolisme hermétique dans ses rapports avec l'art sacré et l'ésotérisme du Grand-Oeuvre". Ces deux ouvrages sont montés dans le domaine public, la publication ayant eu lieu il y a plus de soixante-dix ans et l'auteur étant anonyme. Etudions tout d'abord le dépot légal à la Bibliothèque Nationale de France : Auteur : Fulcanelli (pseudonyme de Jean Julien Champagne) Related:  histoire

ALCHIMIE Quatre boules verticales représentent du bas vers le haut : le feu vulgaire [flamme] ; le feu de corruption [putréfaction, l'oeuvre au noir] ; le feu de dissolution [dissolution, oeuvre au blanc] ; le feu de coagulation [oeuvre au rouge]. Principaux termes hermétiques adepte (alchimiste qui est supposé avoir réalisé la "Pierre philosophale") magistère (ensemble des opérations qui amènent à la réalisation de la "Pierre philosophale") athanor (fourneau où l'on place l'oeuf philosophique, représenté par une ou plusieurs tours, ou un petit château) vaisseau du Grand Oeuvre (vase, récipient en verre ou en poterie), creuset (croix grecque) Escargot (lenteur du travail alchimique par la voie humide. En Orient, emblème de la Connaissance) Labyrinthe (symbole du travail de l'Oeuvre alchimique) Plan général des sections alchimiques (DOCUMENT TRES COMPLET) Plan général des sections alchimiques (revenir à la page PRECEDENTE pour ne pas quitter TEMPLARII) Le Magistère Alchimie et Sacrements

Leonardo da Vinci Origem: Wikipédia, a enciclopédia livre. Leonardo di Ser Piero da Vinci ( ? Nascido como filho ilegítimo de um notário, Piero da Vinci, e de uma camponesa, Caterina, em Vinci, na região da Florença, foi educado no ateliê do renomado pintor florentino, Verrocchio. Leonardo é reverenciado pela sua engenhosidade tecnológica;[6] concebeu ideias muito à frente de seu tempo, como um protótipo de helicóptero, um tanque de guerra, o uso da energia solar, uma calculadora, o casco duplo nas embarcações, e uma teoria rudimentar das placas tectônicas.[9] Um número relativamente pequeno de seus projetos chegou a ser construído durante sua vida (muitos nem mesmo eram factíveis),[nb 5] mas algumas de suas invenções menores, como uma bobina automática, e um aparelho que testa a resistência à tração de um fio, entraram sem crédito algum para o mundo da indústria. Biografia[editar | editar código-fonte] Genealogia[editar | editar código-fonte] Possível casa de infância de Leonardo, em Anchiano.

RMS Titanic Origem: Wikipédia, a enciclopédia livre. O RMS Titanic foi um navio transatlântico da Classe Olympic operado pela White Star Line e construído nos estaleiros da Harland and Wolff em Belfast, na Irlanda do Norte. Na noite de 14 de abril de 1912, durante sua viagem inaugural, entre Southampton, na Inglaterra, e Nova York, nos Estados Unidos, chocou com um iceberg no Oceano Atlântico e afundou duas horas e quarenta minutos depois, na madrugada do dia 15 de abril. Até o seu lançamento em 1912, ele fora o maior navio de passageiros do mundo. Com 2240 pessoas a bordo,[2] o naufrágio resultou na morte de 1517 pessoas, hierarquizando-o como a maior catástrofe marítima de todos os tempos(em tempos de paz). O Titanic provinha de algumas das mais avançadas tecnologias disponíveis da época e foi popularmente referenciado como "inafundável",na verdade, um folheto publicitário de 1910, da White Star Line, sobre o Titanic, alegava que ele foi "concebido para ser inafundável".

Opus Dei - Jésus a-t-il épousé Marie-Madeleine ? Le Da Vinci Code prétend que le Christ a épousé Marie-Madeleine et qu'ils ont eu une descendance. Mais il n'existe aucune trace historique d'un mariage de Jésus. Ce que dit le Da Vinci Code : le Christ était marié. Il avait pour épouse Marie Madeleine, et il eut avec elle une descendance. D'ailleurs, dans la mentalité juive de l'époque, il aurait impossible que le Christ soit célibataire, car le célibat était condamné par la coutume. L'Église a fait de Marie Madeleine une prostituée, pour effacer la trace de ses origines royales. Ce que dit l'histoire : il n'existe aucune trace d'un mariage de Jésus. Ce que dit la Bible : Marie Madeleine est une des femmes qui accompagnent Jésus, et dont certains noms sont donnés dans l'évangile (Marthe et Marie : Lc 10, 38-42 ; Jeanne, Marie de Magdala, Suzanne : Lc 8, 1-3). Quant à Marie Madeleine, les évangiles disent d'elle que Jésus en avait chassé « sept démons » (cf. Pour aller plus loin :

Principales voies romaines (sous Hadrien) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Voie. Carte des principales voies romaines sous Hadrien (vers 125). Par ailleurs, Voie romaine peut être une partie d'un odonyme, c'est-à-dire, un indicateur du type de voie suivi d'un nom propre. Premières voies stratégiques[modifier | modifier le code] Un exemple de voie pavée via munita à Pompéi.(1). L'expansion du réseau, un outil commercial[modifier | modifier le code] Au fur et à mesure de l'expansion de l'Empire, l'administration va ainsi adapter le même schéma aux nouvelles provinces. L'apogée du réseau ou la fin de l'Empire[modifier | modifier le code] À partir du IIIe siècle, le monde romain, bien à l'abri derrière le limes, sa frontière fortifiée, est peu à peu débordé par les peuples venus de l'est : c'est le début des grandes invasions. La construction des voies romaines[modifier | modifier le code] Élaboration du tracé[modifier | modifier le code] Le chantier de la voie[modifier | modifier le code]

Carte satellite des voies romaines, des chemins anciens de Saintonge, Aunis et Angoumois Un thème classique de l’archéologie, mais aussi un sujet-piège où il est difficile de faire le tri entre les voies gallo-romaines, les chemins gaulois et ceux du moyen-âge. Ici, la carte satellite sert de support au tracé de ces voies, et le lecteur peut apporter sa pierre pour améliorer la qualité de l’information. Sources : voies antiques du Pays des Santons : l’abbé Lacurie dans Bulletin monumental - Tome 10 - 1844 (voir ce document) voies antiques de l’Angoumois : Bulletins et mémoires de la SAHC Carte des voies antiques du Pays des Santons Hypothèses retenues pour ces tracésComment participer au tracé de cette carte (affiner ou rectifier les itinéraires, indiquer une nouvelle voie, etc. Hypothèses retenues pour le tracé sur la carte satellite Novioregum : le lieu retenu est Barzan, tout en sachant que cela reste une hypothèse à confirmer. Tamnum : le tracé passe par Consac, sans que cela signifie que Consac=Tamnum, hypothèse restant à confirmer. les sources documentaires sur cette voie.

Châteaumeillant : découverte d'un chariot romain du III ème siècle L'oppidum gaulois de Chateaumeillant - Mediolanum, vestige de la guerre des Gaules L'oppidum gaulois de Chateaumeillant (Cher) , cité dans la table de Peutinger sous le nom de Mediolanum fait l'objet de fouilles archéologiques depuis 2001 dirigées par Sophie Krausz de l'université de Bordeaux 3 . Cet oppidum, fondé au II ème siècle avant JC, faisait partie du territoire (civitas) des Bituriges Cubes, dont la capitale était Avaricum (Bourges). Dès le IIème siècle , l'élite gauloise de cette forteresse a très vite commercé avec l'Italie, comme en témoignent les centaines d'amphores de vins greco-italiques découvertes sur le site dès le XIXème siècle . Le site a connu deux incendies, un vers -100 avant JC, l'autre au milieu du Ier siècle avant JC. Parmi ces puits, un exceptionnel ensemble découvert en juillet 2012, mais présenté au public très récemment, qui contenait des milliers d'objets, dont des centaines d'objets en bois, fer, bronze.

Les premières communautés chrétiennes (Ier siècle) Histoire à la carte Accueil Histoire à la carte > L'histoire du christianisme (1ère partie) > De la naissance à la chute de l'empire romain Dossier : L'histoire du christianisme (1ère partie)Un exemple de carte animée : Les premières communautés chrétiennes (Ier siècle) Cette carte fait partie d’un ensemble de 17 cartes animées à venir. Afficher la carte plein écran en appuyant sur le bouton "plein écran" ci-dessus © Histoire à la carte - Crédits Grandes découvertes L’expression « les grandes découvertes » sert généralement à désigner les explorations maritimes entreprises par les puissances européennes aux XVe et XVIe siècles. Durant cette période, les monarchies et de riches compagnies commerciales financent de grandes expéditions dans le but d'explorer le monde, cartographier la planète et établir des contacts directs avec l'Afrique, l'Amérique, l'Asie et l'Océanie. L'expression « âge des découvertes » est également utilisée par les cartographes. Les principales puissances maritimes qui se lanceront dans l'exploration du monde seront le Portugal, l'Espagne, la France, la Grande-Bretagne et les Pays-Bas ainsi que de célèbres navigateurs italiens. Les Portugais vont explorer les côtes de l'Afrique sous l'impulsion du prince Henri dit « le Navigateur ». Au même titre que la Renaissance, l'« âge des découvertes » constitue un pont entre Moyen Âge et époque moderne. Contexte[modifier | modifier le code] Prélude (1241-1438)[modifier | modifier le code]

les grandes découvertes 2.1. Les progrès techniques Grâce à la mise au point de la boussole et de l'astrolabe, les navigateurs peuvent se repérer dans des eaux inconnues, loin des rivages. Grâce à la mise au point du gouvernail d'étambot, la navigation devient plus sûre et plus efficace. Enfin, la caravelle , voilier à trois mâts, léger et haut va permettre aux navigateurs d'affronter en toute sécurité les grandes vagues de l'océan. 2.2. 2.2.1. Au XV ème siècle, l'or est la monnaie utilisée dans le commerce. A cette époque également, les soies importées de Chine et du Japon ainsi que les épices importées d'Inde sont très appréciées et consommées en grande quantité par ceux qui ont de l'argent (l'aristocratie et la bourgeoisie). 2.2.2. Christophe Colomb, payé par l'Espagne, décide de rejoindre par l'ouest les Indes qu'il imagine toutes proches. Vasco de Gama fait le tour de l'Afrique jusqu'aux Indes de juillet 1497 à mai 1498.

Caravelles de Christophe Colomb Présentation des caravelles de Christophe Colomb Christophe Colomb en avait trois: La Pinta La Nina La Santa Maria La Pinta: La Pinta : C'était une caravelle à 2 voiles carrées et une voile latine. La Nina: La Niña (Santa Clara) était la plus petite caravelle à trois mâts et à voiles latines. Elle comprenait 3 ancres. La Santa Maria: La Santa Maria: La Santa Maria est un bateau amiral ; ce n'est pas une caravelle, mais une "Nao", navire plus robuste mais moins rapide. Haut de la Page Webmaster: Sidney Découverte et exploration de l'Amérique Très vite après ce premier voyage, les Espagnols commencent à explorer et à coloniser le continent, bientôt imités par d'autres Européens, au détriment de ses habitants autochtones nommés « Indiens » (Indios) par Colomb. Cette colonisation transforme radicalement et durablement, au niveau mondial, les rapports politiques comme les échanges commerciaux. Le terme et concept de « découverte de l'Amérique » (tout comme celui d'« Indiens »), issu de l'état des connaissances et de la pensée politique de l'Europe du XVIe siècle, continue à être largement utilisé, mais il fait l'objet de controverses depuis le XXe siècle, en particulier en Amérique où il est considéré comme biaisé, à la fois pour son eurocentrisme et pour l'occultation oppressive des populations et cultures indigènes auquel il est associé. Origine de l'expression[modifier | modifier le code] Découverte par les espagnols[modifier | modifier le code] L’abbé Prévost, Histoire générale des voyages[2] Sur les autres projets Wikimedia :

Christophe Colomb (1451 - 1506) - L'Amiral de la mer Océane - Herodote.net On est à la fin du Moyen Âge. La chrétienté occidentale est assiégée par les Turcs mais, forte et confiante en elle-même, elle rêve d'horizons nouveaux. Tandis que les Portugais s'échinent à contourner l'Afrique afin d'atteindre l'océan Indien et l'Asie des épices, un navigateur génois conçoit le projet insensé d'atteindre l'Asie d'une traite, à travers la « mer Océane » (l'océan Atlantique). Ysaline Homant Une jeunesse aventureuse Né en 1451 à Gênes, Christophe Colomb est l'un des six enfants du tisserand Domenico Colombo et de son épouse Suzana di Fontanorosa. Le jeune homme rêve d'aventures et n'a aucun intérêt pour le commerce de lainages paternel. En 1476, son bateau étant attaqué par les corsaires et coulé au large du Portugal, il nage jusqu'à la côte. Il rejoint son frère cadet Bartolomeo, qui tient une boutique de cartographie à Lisbonne, et s'établit dans le pays. Juif ? La jeunesse de Christophe Colomb n'est connue qu'à travers de très minces témoignages. Un projet insensé

Marco Polo - Biographie voyage / Biography trip (1254-1324)

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