Échange INTERACTIF à LYON, 5 mai 2012 : QU'EST-CE QUI COMPTE LE PLUS DANS UNE CONSTITUTION DIGNE DE CE NOM ? Proposition de rencontre interactive, qui pourrait s'intituler : Je vous propose, — entre simples citoyens, n'aspirant pas au pouvoir mais soucieux de devenir enfin autonomes (donc plus actifs et mieux protégés que de simples électeurs) —, d'entrer dans le détail des GRANDS PRINCIPES D'UNE BONNE CONSTITUTION, un par un, en comparant : 1) notre Constitution actuelle, 2) l'anti-constitution européenne, 3) un projet citoyen (pour voir). Après un rapide RAPPEL du rôle essentiel d'une Constitution, nous pourrions consacrer, pour chaque principe, 10 minutes d'exposé introductif et 20 minutes d'échanges (et plus si affinités), [30 min. par principe => 4 à 6 principes maximum à envisager en une soirée], et nous revoir plus tard (pour la suite) si nous n'avons pas fini (ce qui est hautement probable). 1) Tableau comparatif de projets constituants, point par point. Prenez du papier et de quoi écrire Au plaisir de vous retrouver dans ces échanges. Étienne Chouard. 1.
"La démocratie est-elle un leurre " ? Etienne Chouard : Conférence de Lyon Bonjour hieronymus 0. Pour ce qui est de la réfutation du nombre d’ habitant , voir la réponse que slim gaigi et moi même avons fait à Madoff. 1. pour prendre l’exemple fameux de la Suisse, démocratie exemplaire s’il en est, ils sont partis du système d’assemblée directe où tout citoyen participait, le fameux "Landsgemeinde", qu’ils ont du abandonner ds de nombreux cantons au XIX siècle car ce n’était tout simplement plus applicable du fait du volume des habitants, ils ont du passer à un système représentatif en introduisant le garde-fou du référendum populaire ou votation R / Je crois que c’ est plus complexe ! Les conseillers du canton de Cingal qui constituaient le corps politique a décidé de supprimer l’ assemblée des citoyens pour monopoliser le pouvoir en utilisant le prétexte de l’ accroissement de la population. Selon lui , Rome a été fondée pour dominer et Athènes pour rester libre. Ce son effectivement deux modèles différent mais pour ma part je préfère celui d’ Athènes.
Etienne Chouard n'est pas mort, il soigne les orphelins du « non » | Rue89 Présidentielle Les candidats à l’élection présidentielle draguent la « France du “non” ». En 2005, un homme avait été son porte-parole. Sept ans après, Etienne Chouard reste mobilisé. Etienne Chouard, chez lui, en mars 2012 (Mathieu Deslandes/Rue89) François Hollande et Nicolas Sarkozy sont d’accord au moins sur un point : pour l’emporter le 6 mai, il faut « réconcilier la France du “oui” et la France du “non” ». En 2005, la « France du “non” » avait un héraut : Etienne Chouard. Sept ans après, Etienne Chouard reste une référence pour de nombreux « nonistes ». Un soir, il se produit dans une MJC ou un café citoyen ; le lendemain, dans une université ; la semaine suivante, dans une antenne d’Attac ou chez des militants mi-écolos mi- « indignés ». « On est quelquefois 15, quelquefois 200. « Je fais comme Hippocrate » L’invitation est souvent lancée par « des vieux militants qui se battent contre les injustices sociales depuis trente ou quarante ans ». « Je fais comme Hippocrate. Les riches ! Parano ?
Interview d'Etienne Chouard sur la Dette et le projet de Constituante Le "Rendez-Vous Blanc" est une rencontre citoyenne mensuelle organisée par le Parti du Vote Blanc. Nous avons profité de celui organisé le 16 février 2012 à Paris pour interviewer Etienne Chouard, citoyen engagé. Voici les questions que nous lui avons posées : - Pouvez-vous présenter l’origine de votre engagement publique ? - Pouvez-vous expliquer la dette publique ? (désolé pour les imperfections du journaliste qui débute : mini problèmes de son, "euh" dans les questions, photos un peu "écrasées" au montage...) Extraits choisis : « Nous ne sommes pas citoyens. « Je ne parle plus de crise, parce que c’est un coup d’état. « On nous présente aujourd’hui comme une catastrophe imprévue ce qui est construit sciemment par nos parlementaires depuis 40 ans. « Nous, on régresse [...]. « Nous devrions être protégés par la Constitution, [mais] nous laissons écrire ce texte protecteur par ceux dont elle devrait nous protéger ! « Il faut prendre le problème à la racine [...].