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Cloud computing : risques, menaces & vérités

Cloud computing : risques, menaces & vérités
Le cloud computing est un concept consistant à exploiter des solutions ou des services à l’aide de ressources physiques accessibles grâce au Net. Attention car un concept est une représentation générale et souvent abstraite de la réalité. Méfiance. Ne vous y trompez pas, le mot clé dans la définition donnée plus haut est le mot « physique ». Qui sont les acteurs de ce marché ? On peut grossièrement définir deux catégories de solutions ou d’éditeurs. D’un côté, certains font « du neuf avec du vieux ». Outre Office 365 (serveur de messagerie et suite bureautique), les acteurs du marché proposent aujourd’hui des solutions de proxy, d’authentification forte, d’analyse anti-virus / anti-malware ou encore de wifi d’entreprise, toutes basées sur le cloud.Ces solutions sont fiables et peuvent être mises en place, même dans les environnements les plus critiques. Doit-on faire confiance à tout le monde ? Comment choisir la bonne solution ? Related:  Risques

Les Big Data dans tous leurs états ParisTech Review – En l’espace de deux ou trois ans, le thème des Big Data s’est imposé dans l’espace public, suscitant enthousiasme et réticences… sans qu’on sache toujours précisément de quoi il s’agit. Pouvez-vous nous l’expliquer rapidement ? Henri Verdier – Cette confusion n’a rien de surprenant, car non seulement c’est un thème récent mais, surtout, on assiste à un affrontement politique et économique autour de sa définition. L’expression « Big Data » renvoie à au moins trois phénomènes. Selon une acception étroite, elle désigne de nouvelles technologies informatiques dans le domaine du traitement de données massives. Selon une acception plus large, elle désigne la transformation économique et sociale induite par ces technologies. Par ailleurs, et cela ajoute sans doute à la confusion, la vogue des Big Data recouvre d’énormes intérêts. Certainement pas. La deuxième nouveauté, c’est la capacité nouvelle à traiter ces données. Justement, à quoi cela sert-il ?

Cybercriminalité : piratage massif et Cloud Computing dans le viseur : Les dangers du Cloud Computing - Web & Tech Le Cloud Computing et la virtualisation des machines permettent des économies d'échelle pour les sociétés, mais certaines constatations décelées en 2009 peuvent laisser présager des inconvénients plus importants à moyen terme pour les entreprises. Pascal Lointier, président du Clusif et conseiller sécurité des systèmes d'informations de Chartis, a évoqué les problèmes soulevés par le Cloud Computing. Parmi eux, on retrouve des effets secondaires tels que le temps de redémarrage des serveurs, le crash des disques, la destruction par incendie ou par inondation, les pénalités, la saisie des serveurs et les pertes de contrats. Afin de se préparer au mieux aux désagréments que peut apporter le Cloud, le spécialiste préconise la validation de la politique du SSI du prestataire, la maîtrise de la confidentialité des informations et l'identification de la chaîne de responsabilité lors d'un dysfonctionnement.

Cloud computing : quels risques pour la sécurité de nos données ? Le cloud computing constitue une nouvelle technologie d’hébergement de données par des prestataires externes. Très en vogue depuis quelques mois, notamment grâce à l’amortissement des coûts qu’il induit auprès des entreprises, certains commencent pourtant à pointer du doigt la sécurité du système. Le cloud computing se présente aujourd’hui comme une réponse satisfaisante à la problématique de stockage et de calcul des données rencontrée par les entreprises. Il propose d’assurer le traitement et l’hébergement de leurs informations numériques via une infrastructure entièrement externalisée ce qui permet aux utilisateurs de bénéficier de nombreux services en ligne sans avoir à se soucier des aspects techniques de leurs usages, tout en amortissant les coûts générés par la prise en charge de toutes ces données. Les accidents de Cloud pleuvent Au sujet du regroupement il faut rester conscient des risques encourus lorsqu’on choisit de placer toutes ses informations sur un même serveur.

cloud computing Le Cloud computing, qui offre d’extraordinaires opportunités en termes d’économie et de facilitation, se traduit aussi par une perte de la maîtrise des données. Ces données qui circulent et que l’on peine à localiser posent incontestablement un problème au regard de la loi. Pour la CNIL, garante de l’application de la loi « Informatique et Libertés », le Cloud devient ainsi un défi, surtout s’il s’agit de faire de la protection des données personnelles un argument commercial. Voici quelques éléments tirés d’une réflexion menée à la CNIL, présentée et commentée le 2 décembre 2010, lors du 3ème atelier de l’Association pour le développement de l’informatique juridique (ADIJ) [1] consacré au Cloud computing. Consulter les comptes rendus des ateliers précédents : Le Cloud Computing : révolution ou évolution informatique ?

Le Cloud computing s'impose chez les entreprises françaises Vous l'utilisez parfois sans le savoir. Votre entreprise l'adopte souvent sans vous le dire. Le cloud computing entre petit à petit dans les usages des entreprises, les plus grosses essentiellement. Dans la majorité des cas, c'est le DSI qui porte cette stratégie (68%) et la met en oeuvre (84%) si l'on en croit la première étude " CloudIndex " publiée ce mardi 25 juin par le cabinet Pierre Audoin Consultants (PAC). On constate cependant que le Cloud commence aussi à préoccuper les patrons (10%) et les comités exécutifs (17%) dans cette volonté de porter la stratégie cloud. En France, le Cloud a fait une percée importante depuis quelques années. "Saas", "Iaas" et "Paas" En revanche la proportion d'entreprises ayant défini une véritable stratégie Cloud est aujourd'hui encore très faible, avec seulement 12% des sociétés interrogées. L'obstacle de la sécurité Les services Cloud représentent encore une minorité de la dépense chez les services informatiques.

Plaidoyer pour un Cloud Computing made in France Se forger un avis précis et définitif sur la réalité du Cloud Computing en France et en Europe en cette fin d’année 2012 est un exercice probablement impossible, tant les études indépendantes ou commandées présentent des visions contradictoires. Selon une étude publiée au début de l’année par IDC, 93% des entreprises françaises connaissaient, évaluaient ou avaient mis en place des services Cloud. Ce qui faisait de la France le pays d'Europe où la pénétration du Cloud Computing était la plus forte au sein de la stratégie informatique des entreprises. En mars 2012, le président du Conseil National du Numérique, Gilles Babinet, avertissait qu’avec un PIB numérique en dessous de la moyenne des pays de l’OCDE, la France devrait changer de braquet pour espérer combler son retard. Le même mois, le Gartner annonçait qu’en Europe de l'Ouest, la croissance du marché du SaaS (Software as a Service) serait plus forte encore que dans le reste du monde. Le Cloud, est-ce donc si important ?

La CNIL met en garde sur les dangers du cloud Après avoir lancé en 2011 une consultation publique sur le cloud computing, la Commission nationale informatique et libertés (CNIL) estime urgent de clarifier le cadre juridique applicable aux offres d’informatique distribuée, infrastructures (Iaas), plateformes de développement (PaaS) et logiciels en tant que service (SaaS). Des risques en cascade « Les questions de sécurité, de qualification du prestataire, de loi applicable et de transfert des données sont particulièrement délicates », a souligné la CNIL lundi 25 juin par voie de communiqué. La CNIL recommande donc à toute entreprise française qui envisage d’utiliser un service de cloud computing d’analyser les risques en amont et de choisir son prestataire avec précaution. Concernant la sécurité, la CNIL constate que les offres de cloud « reconnues », autrement dit celles proposées par des entreprises d’envergure internationale, peuvent présenter des niveaux de sécurité supérieurs à ceux que peuvent garantir les PME.

Information et formation aux risques chimiques La formation et l’information des travailleurs sont une des obligations de l’employeur en matière de prévention. Réalisées en langage simple, elles permettent aux salariés de ne plus ignorer les risques mais d’agir en conséquence et en connaissance. Elles sont adaptées aux risques chimiques identifiés dans l’entreprise lors de l’évaluation des risques. Elles revêtent une importance particulière dans le cas d’exposition à des produits cancérogènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction. La formation et l’information des salariés font partie des obligations de l’employeur en matière de prévention des risques chimiques. Elles répondent à 2 principaux objectifs : donner aux salariés travaillant une représentation la plus juste possible des risques chimiques qu'ils encourent et les former à la mise en œuvre des mesures de prévention collective et individuelle adaptées. Leur contenu doit être modulaire et adapté au public et aux conditions particulières de l’entreprise. Formation

Quelle définition pour le « Cloud Computing » ? Comment définir simplement le terme de « Cloud Computing » et savoir ce qu’il englobe ? Le National Institue of Standards and Technology (NIST) en a donné une définition qui est souvent citée comme référence. Cette définition a été reprise dans le magazine Global Security Mag et nous souhaitions vous la faire partager : « L’informatique dans les nuages » est une nouvelle façon de délivrer les ressources informatiques, et non une nouvelle technologie. » C’est un modèle qui permet l’accès au réseau à la demande. Un accès en libre-service à la demande aux capacités de calcul. Le NIST dénombre 3 modèles de service : Cloud Software as a Service (SaaS) : l’utilisateur a la possibilité d’utiliser les applications du fournisseur de services via le réseau. Selon les approches des entreprises, on distingue plusieurs modèles de déploiement des services de Cloud Computing :

Cloud Computing et PME françaises : tout roule ? D’après une étude réalisée par le cabinet Markess International, et sponsorisée par Completel, Eurécia et OVH, le marché du Cloud (SaaS, IaaS et PaaS) pour les PME (moins de 250 salariés) a de beaux jours devant lui. Il devrait ainsi enregistrer une croissance à deux chiffres sur les prochaines années, passant de 480 millions de chiffre d’affaires en 2012 à 700 millions en 2014. Une hypothèse de croissance qui suppose un conséquent développement de l’adoption des services Cloud par les PME. Adoption oui, mais auprès des entreprises ouvertes au Cloud Pour l’heure, en 2012, une PME française sur cinq utilise au moins une solution de Cloud computing, Cloud dont la définition englobe aussi bien les logiciels en mode SaaS que le PaaS et l’IaaS. VMWare, plus (trop) optimiste encore, voyait 66% de PME européennes dans le Cloud en 2011. Des freins encore trop souvent sans réponse L'économie de coût : un argument en faveur du Cloud ? Résultats complets baromètre Cloudwatt - TNS Sofres

Le cloud computing n'est pas écologique Par Frédéric Bordage - 15/11/2012 Il y a quelques semaines, Olivier publiait un article sur l’intérêt d’ouvrir les nuages informatiques (cloud computing) pour obtenir plus de transparence sur leurs émissions de gaz à effet de serre et pour les mesurer avec plus de précision. Dans cet article, dont une partie a été publiée en novembre 2011 dans l’hebdomadaire 01 Business & Technologies, nous vous démontrons que le cloud computing n’est pas forcément moins émissif que le recours à un serveur en interne. Le cloud computing permet-il de réduire l’empreinte carbone des systèmes d’information ? Pour obtenir ces résultats, Google estime qu’une PME de 50 personnes n’a pas d’autre choix que de s’équiper du plus petit serveur disponible, capable de gérer 300 utilisateurs. On peut évidemment critiquer ce premier postulat de Google. Considérer l’ensemble du cycle de vie Si ce raisonnement paraît logique sur le papier, il ne tient compte que de la partie serveur du scénario.

Cloud computing : connaître les risques et savoir l'utiliser - CNET France

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