Ederlezi, un siècle avec Azlan De mon vivant, j’étais de partout et de nulle part, j’étais tout le monde mais aussi personne. J’étais un grand soleil et parfois des nuages ; tantôt l’ombre, mais très souvent la lumière. J’étais l’eau fraîche et le sang chaud, l’enfant illégitime de chaque nation. Moustachu, barbu et pieds nus ; j’étais le saint des pauvres et le sel de la terre. J’étais l’oiseau, les percussions et chaque instrument à cordes. Compteur et conteur, poète et chanteur. Vu que j’aime découvrir la culture d’un pays et son histoire au travers de sa littérature, je poursuis ma découverte de la Bosnie-Herzégovine et de l’ex-Yougoslavie avec un auteur contemporain cette fois. Mais qu’est-ce donc Ederlezi ? Ederlezi, c’est avant tout pour moi, un sublime chant traditionnel tzigane entendu pour la première fois dans le film Le Temps des Gitans d’Emir Kusturica dans une version de Goran Bregović. Le peuple tzigane Peut-on parler d’un peuple tzigane ? Ederlezi, le roman Un sentiment imprécis Ederlezi. fete ederlezi
La Grande Oreille | La revue des arts de la parole Elèves créateurs - Raconter l’histoire de "Azur et Asmar" Il était une fois une nourrice nommée Jénane qui élevait deux enfants. L’un s’appelait Asmar, le fils de la nourrice aux yeux noirs et l’autre était Azur, le fils du châtelain aux yeux bleus. La nourrice les élevait équitablement et aimait Azur comme son fils. Les années passaient et Azur devenait un jeune enfant resplendissant. Les deux enfants chantaient souvent en arabe la comptine quelle leur avait apprise sur cette légende. Un jour, le châtelain décida subitement d’enlever Azur à sa nourrice pour qu’il devienne un vrai noble. Il décida que désormais Azur aurait une chambre pour lui tout seul et qu’il porterait un habit qui conviendrait à sa naissance noble. Il effectuait les exercices demandés sans enthousiasme. Les deux garçons continuaient à se voir en cachette mais se disputaient encore. Ainsi un jour, lors de l’une des disputes, les deux garçons se roulèrent dans la boue et le Châtelain priva son fils de dîner. Ils entrèrent enfin dans la médina et traversèrent le souk.
Accueil du site La Parole Du Geste - La parole du geste Ivan Bilibine, l’artiste qui donna vie aux contes de fées russes Sans connaître nécessairement son nom, chaque enfant né Russie a déjà vu les œuvres d'Ivan Bilibine. Mais si vous avez grandi en Russie et que vos parents vous ont lu des contes de fées, il est probable que les illustrations légendaires de Bilibine soient imprimées dans votre regard pour toujours. Cependant, peu connaissent les autres talents de ce grand artiste qui a vécu au début du XXe siècle… Russia Beyond désormais sur Telegram ! Ivan Bilibin. Global Look Press Ce virtuose du pinceau rêvait de devenir avocat et a même obtenu un diplôme de droit à l'Université de Saint-Pétersbourg en 1900. Ici, l'esquisse de Bilibine d’un personnage de conte de fées slave pour le ballet l’Oiseau de feu de Stravinsky. Musée d'Ivangorod / Tsaritsyno Le talent du maestro était très demandé même au-delà du monde de l'édition. Lire aussi : Les plus effrayants personnages des contes populaires slaves Ivan Bilibin, L'Oiseau de paradis, Sirin. 1895. Legion Media Musée d'Ivangorod / Musée-Réserve de Tsaritsyno