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L'avenue du pédagogique et du numérique en classe d'histoire

L'avenue du pédagogique et du numérique en classe d'histoire

Mon fleuve, mon histoire Le Saint-Laurent est un majestueux cours d'eau qui relie les Grands Lacs à l’océan Atlantique, serpentant au cœur des régions les plus peuplées du Québec. Bien avant l’arrivée des Européens, le fleuve occupait déjà une place déterminante dans la vie des peuples autochtones. À la fois fleuve nourricier et véritable autoroute maritime, il joue encore aujourd’hui un rôle de premier plan dans l’économie, le transport, le tourisme, la culture et les loisirs. Que ce soit pour y naviguer ou s’y baigner, pour exploiter ses ressources, observer ses richesses ou simplement pour explorer ses rivages, chacun a une relation bien personnelle avec le fleuve. Mais le Saint-Laurent subit depuis longtemps les assauts d’une industrialisation et d’une occupation du territoire qui menacent sa biodiversité et la qualité de son eau.

Eau contaminée à l’uranium: deux écoles fermées en Abitibi-Témiscamingue ROUYN-NORANDA – La Commission scolaire de Rouyn-Noranda (CSRN), en Abitibi-Témiscamingue, a annoncé mardi que deux écoles seront fermées l’an prochain en raison d’un «problème d’eau potable», qui serait en fait contaminée à l’uranium, un problème récurant là-bas. Il s’agit des écoles des quartiers Rollet et Montbeillard. Les élèves des deux villages seront transférés à l’école du quartier Cloutier. La CSRN a refusé toute entrevue, mais a publié un communiqué. La décision a créé un tollé et plusieurs parents et membres de la collectivité prévoient combattre cette décision. Une lettre a été remise aux enfants pour annoncer la triste nouvelle. «On cherche une solution réaliste pour traiter l’eau», avait déclaré le directeur général de la CSRN, Yves Bédard, le 3 avril dernier. Pour sa part, Mme Lachappelle a rappelé que la Caisse populaire Desjardins a déjà été fermée et que les institutions qui restent doivent subsister pour conserver la vie de la communauté.

Le fédéral se penchera sur l'enseignement de l'histoire L'enseignement de l'histoire intéresse Ottawa Exclusif - Ottawa examinera l'enseignement de l'histoire dans les établissements primaires, secondaires et postsecondaires même si l'éducation est un champ de compétence qui relève des provinces. La décision a été prise à huis clos par le comité permanent du Patrimoine canadien, à majorité conservatrice, selon les informations obtenues par Radio-Canada. Ce comité cherche à savoir comment s'enseigne l'histoire d'un bout à l'autre du pays. « C'est une opportunité [sic] pour le comité et les autres Canadiens de connaître ce que font le Québec et les autres provinces canadiennes », a déclaré le député conservateur de Oak Ridges-Markham, Paul Calandra. L'opposition officielle dénonce cette étude. « C'est une obsession de vouloir réécrire l'histoire. Des professeurs d'histoire inquiets Spécialiste en histoire militaire, le professeur Martin Laberge se questionne : « Ce [...] n'est pas une mauvaise chose en soi. Les membres du comité

Le Devoir d’histoire - L’État a-t-il vraiment fait progresser l’éducation au Québec? Deux fois par mois, Le Devoir lance à des passionnés de philosophie, d’histoire et d’histoire des idées le défi de décrypter une question d’actualité à partir des thèses d’un penseur marquant. Alors qu’approche la tenue d’un autre sommet pour discuter de l’avenir de l’enseignement supérieur, nombreuses sont les mentions des progrès réalisés pendant la Révolution tranquille. Le fameux rapport Parent, qui recommanda la gratuité scolaire jusqu’aux études universitaires en 1964, reste un document de référence régulièrement cité. Cette rhétorique décrit la Révolution tranquille comme le début d’un âge d’or qui aurait permis au Québec de cesser d’être le cancre du Canada. Selon cette perspective, les vastes progrès de la Révolution tranquille contrastent avec la période l’ayant précédée, qu’on a qualifiée de Grande Noirceur (1945-1960). Grand rattrapage Le Québec a toutefois commencé à perdre du terrain par la suite. Ce retard grandissant du Québec se renverse complètement après 1945.

JFK : à la fois mythe et histoire Connexion Claude Lévesque 16 novembre 2013 International / États-UnisJFK : à la fois mythe et histoire Photo : Cornell Capa Magnum Il y a cinquante ans, le 35e président américain tombait sous les balles d’un assassin. Si sa mort a marqué l’histoire, c’est dans les cœurs et les esprits que sa vie, sa personnalité et son sourire sont gravés. Si vous appartenez à la « bonne » génération, vous vous souvenez exactement de ce que vous faisiez le 22 novembre 1963. Une certaine idée du progrès est morte il y a cinquante ans, en même temps que l’homme qui l’incarnait. Le génie de JFK aura été de proposer de nouveaux idéaux aux Américains. Il avait tout pour réussir : la fortune, des contacts à faire rêver dans tout le gratin d’Europe et d’Amérique, l’intelligence, une formation obtenue dans les meilleures universités, de l’éloquence à revendre, le fameux sourire Kennedy. Cet enfant chéri de la Nouvelle-Angleterre appartient au mythe autant qu’à l’histoire. Dans les salons du pays John F.

Prof, ma fierté : Accueil Le symbole et l’énergie Kennedy Connexion Jean-François Nadeau 16 novembre 2013 International / États-UnisLe symbole et l’énergie Kennedy Photo : © George S. Signe de la puissance du mythe américain qu’il a incarné, le nom de John Fitzgerald Kennedy, assassiné il y a cinquante ans, le 22 novembre 1963, se retrouve un peu partout dans le paysage québécois. Tout près de l’Université McGill, en plein centre-ville, trône sur l’avenue du Président-Kennedy, baptisée de ce nom le 9 janvier 1964, un immense buste de métal froid qui donne à voir aux passants les traits doux du président américain. Mais Montréal n’est pas seulement fendue en son cœur par une artère JFK. À Lévis, la route du Président-Kennedy fonce tout droit vers la Beauce. Est-ce la simple illustration d’une forme profonde de colonialisme ? Une influence Il est impossible de nier que la vie publique québécoise se déroule pour une part dans l’ombre de la politique à l’américaine. Si les conseillers de Jean L’image l’emporte facilement sur la réalité. Site complet

La formation des maîtres | Lorenzo Benavente L'éducation dans les écoles primaires et secondaires du Québec fait couler beaucoup d'encre depuis quelque temps. Certains critiquent les dérives indéniables du système éducatif québécois vers l'abysse économique dans lequel nous vivons, point de vue auquel j'adhère grandement. Nous sommes actuellement dans une ère où tout doit émerger et aboutir rapidement. Une ère où les écoles refusent de faire échouer un élève, non par compassion, mais par besoin de main-d'oeuvre sur le marché du travail. On marchandise ainsi la diplomation des élèves au détriment de leurs réelles compétences, et ce, dans l'optique égoïste de lui donner l'apparence d'être apte à travailler dans un emploi souvent sous-rémunéré, le tout sous le couvert de « compétences ». Formation Commençons par me présenter. J'ai également souvent entendu de la bouche de nombreux étudiants que la matière vue dans ce cours ne serait de toute façon jamais enseignée à la « clientèle » visée. Y a-t-il une solution? Loading Slideshow

La vérité des images Connexion Stéphane Baillargeon 16 novembre 2013 Société / MédiasLa vérité des images Photo : PBS JFK à l’écranSur RDI. Art Simon avait trois ans le 22 novembre 1963 et il se souvient très bien de ce jour noir comme de ses très néfastes conséquences. « En fait, j’ai plus de souvenirs du jour de l’enterrement, diffusé à la télévision, que de celui de l’assassinat, raconte au téléphone le professeur américain joint à New York. Cet instant monument a été fondamental dans la mythologie de la société américaine. Art Simon est maintenant professeur d’études cinématographiques à l’Université d’État de Montclair, dans le New Jersey. « En choisissant ce sujet de thèse, j’avais l’intuition que l’assassinat du président permettait une lecture fascinante des liens entre l’art, le cinéma et la société dans les années 1960. 26,6 secondes de vérités « Les réseaux de télévision eux-mêmes n’avaient pas de caméra sur place, à Dallas, le 22 novembre 1963, fait remarquer M. Le mensonge 24 fois par seconde

It Matters to Me Enseigner une histoire «orientée»? La guerre idéologique autour de la création d’un comité ministériel pour revoir les programmes d’histoire au secondaire s’envenime. Plusieurs enseignants, historiens et autres spécialistes de la matière jugent « dangereuse » la complicité entre le Parti québécois et la Coalition pour l’histoire, tenant d’une approche nationaliste de l’enseignement de l’histoire du Québec. Craignant les conséquences néfastes que cela pourrait avoir sur l’enseignement de l’histoire, ils réclament des explications à la ministre de l’Éducation, Marie Malavoy. Mercredi, Le Devoir révélait qu’un comité-conseil composé d’historiens et de spécialistes de toutes les allégeances créé par le ministère pour revoir le programme d’histoire au secondaire était critiqué par des membres de la Coalition pour l’histoire. Pas orienté La ministre de l’Éducation n’a pas d’annonce à faire pour le moment, mais reconnaît que le dossier est « sensible » et dit prendre la chose « au sérieux ».

Les étudiants qui twittent ont de meilleures notes Recevez nos newsletters : Une récente étude américaine affirme que les jeunes s’ouvrent à plus de sujets en fréquentant le réseau de micro blogging. Les professeurs accusent souvent les réseaux sociaux de distraire les jeunes. Dans l’Enseignement supérieur, et contrairement aux idées reçus, Twitter se révèle pourtant un outil efficace pour accroître l’intérêt que portent les étudiants à leurs cours. «Les étudiants s’intéressent davantage aux sujets abordés lorsqu’ils en entendent parler sur Twitter ,parce qu’ils sentent que cela est connecté à quelque chose de réel», explique Christina Greenhow, auteur de l’étude. Pour obtenir de tels résultats, les étudiants sont invités à suivre les comptes Twitter des enseignants. Enfin, «les étudiants échangent également beaucoup plus qu’ils ne le feraient au sein de la salle de classe, que ce soit entre eux ou avec leurs camarades» conclut-elle.

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