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Retraite : les propositions du PS - Une réforme juste, efficace et durable des retraites : un système universel et personnalisé

Retraite : les propositions du PS - Une réforme juste, efficace et durable des retraites : un système universel et personnalisé

Retraites : «nous voulons une réforme qui règle définitivement le problème» La Première secrétaire du Parti socialiste était l'invitée de RTL ce jeudi 23 septembre. Interrogée sur la réforme des retraites, les propositions du PS sur les retraites, ainsi que sur la lutte contre le terrorisme, Martine Aubry a répondu aux questions de Jean-Michel Aphatie. Mobilisation du PS pour nos retraites Martine Aubry a appellé à «utiliser tous les moyens pour faire pression sur le gouvernement». Elle a plaidé pour «une réforme qui règle définitivement le problème et qui soit juste». «92% de la réforme du gouvernement pèse sur les salariés et les retraités, 8% sur le capital, explique la première secrétaire. Ceux qui ont commencé tôt doivent pouvoir partir à 60 ans. >> Nos propositions sur les retraites La retraite, une question de campagne électorale? L'âge moyen de départ en retraite ne rend-il pas obsolète le départ à 60 ans? Martine Aubry a distingué «l'âge légal de départ à la retraite et l'âge effectif». Lutte contre le terrorisme

contre la réforme Retraites, chômage – Arrêtons la désinformation ! - Appel des appels Nous sommes des syndicalistes, des salariés, des économistes, des sociologues, des retraités. Les retraites et le chômage concernent toutes les générations. La désinformation permanente sur ces deux dossiers, volontaire ou involontaire, est dangereuse pour notre démocratie. Ensemble nous souhaitons ouvrir une brèche dans ce mur de la désinformation. Le chômage de masse, la précarité, le déficit des retraites, de la santé, du budget de l'Etat, ne sont que les multiples symptômes d'une même maladie. Celle de l'explosion des inégalités au cours des 30 dernières années, suite aux dérégulations qui ont laissé le champ libre à la goinfrerie sans bornes des dirigeants des grands groupes financiers et de leurs principaux actionnaires. Nous n'acceptons pas que les jeunes soient les premières victimes de la prochaine « réforme » des retraites. Nous n'acceptons pas l'idéologie du « travailler toujours plus » qui accentue les inégalités et peut conduire, parfois, aux pires extrémités.

Martine Aubry - Retraite: «les jeux ne sont pas faits» Retraite, utilisation des services secrets à l'encontre du Monde, circulaire du ministère de l'Intérieur... Tout ce qu'il faut retenir de l'intervention de Martine Aubry au 19-20 de France 3. Retraites Martine Aubry a réaffirmé l'engagement des socialistes de rétablir la liberté de partir à la retraîte à 60 ans, pour permettre aux «trois millions de personnes qui ont travaillé avant 19 ans» de partir en retraite à taux plein, comme cela se fait dans de nombreux pays européens. «Les jeux ne sont pas faits», estime Martine Aubry, qui rappelle la «formidable mobilisation» du 23 septembre, et l'unité syndicale. Affaire Le Monde - Woerth - Sarkozy «Aujourd'hui, c'est la liberté de la presse, la protection des sources» qui est en cause, a expliqué Martine Aubry, qui a également dénoncé une utilisation «partisane» des services secrets par le gouvernement.>> VIDEO - «Le gouvernement met les médias sous pression», le point-presse de Benoît Hamon. Emile Josselin

essai Institut Jean Jaurès 15 Avril 2010 Pour un nouveau contrat social par Jean-Marie Le Guen Téléchargez l'essai gratuitement (594,75 ko) Obnubilé par son calendrier politique, Nicolas Sarkozy veut se donner une posture réformatrice avec une réforme précipitée, et injuste. Il prône une vraie politique d’emploi des seniors et de santé au travail, une prise en compte collective et individuelle de la pénibilité et une prise en charge collective de la perte d’autonomie. Vous pouvez retrouver un extrait de cet essai sur le site du journal La Tribune (15 avril 2010) en cliquant sur le lien. Uniquement en téléchargement Thèmes : Inégalités et redistribution | Modèle social | Retraite | Santé et Dépendances | Mots-clés : vieillissement | contrat social | santé au travail | prévention |

[Revue critique d??cologie politique] Retraites : quelle reforme ? Qu’il faille engager une réforme en profondeur de notre système de retraite n’est pratiquement plus contesté par personne aujourd’hui. Il y a à cela plusieurs raisons. La première, celle qui est d’ailleurs la plus souvent invoquée, est d’ordre démographique. La seconde c’est que depuis la mise en place en 1945 de la retraite par répartition pour tous les salariés du secteur privé (ceux du secteur public étant à cette époque déjà couverts par leur statut) la société a évolué, s’est transformée et de ce fait la conception même de la retraite a changé et continuera de changer tout au long des prochaines décennies. Concernant la démographie on sait, de manière absolument certaine, que dans les prochaines années le poids relatif des personnes âgées de 60 ans ou plus, au sein de la population (celle de la France mais aussi de la plupart des pays industrialisés dans le monde) va s’accroître de manière importante.

Ségolène Royal : «oui, nous rétablirons la liberté de partir à la retraite à 60 ans» Invitée de l'émission «A vous de juger» sur France 2, le 9 septembre 2010, Ségolène Royal a affirmé «solennellement» que si la gauche revenait au pouvoir en 2012, elle rétablirait la retraite à 60 ans. >> Nos propositions sur les retraites Age légal de départ Entourée de Benoît Hamon et Harlem Désir sur le plateau de l'émission, la présidente de la région Poitou-Charentes a répondu «solennellement, je vous dis oui», à la question «Est-ce que vous rétablirez la retraite à 60 ans?». «Pourquoi oui? «On n'entend pas le Medef, parce que la réforme de François Fillon est la réforme du Medef», a-t-elle dit également, faisant valoir que la réforme du Medef voulait «mettre à bas la retraite à 60 ans» et «taxer les salariés». «Quand vous remettez en cause la liberté de prendre la retraite à 60 ans vous frappez les ouvriers, les petits employés, vous frappez les femmes», a rappellé Ségolène Royal. Financement des retraites Avec AFP

Réforme des retraites : l'autre solution Paru dans Le Monde du 14 Juin 2010 Après un mois de consultations en trompe-l’oeil, le gouvernement a remis sa copie aux syndicats et au patronat. Ce document d’orientation est précieux, car il renferme toutes les contre-vérités proférées et fausses solutions avancées depuis près de vingt ans. Choc démographique, catastrophe des régimes de retraite par répartition et travailler plus longtemps se mêlent dans un projet aussi mystificateur qu’inefficace. Y a-t-il un choc démographique ? Oui, répond le document d’orientation. Ainsi, la France connaît un allongement de l’espérance de vie, heureuse nouvelle, et une fécondité qui la place juste au niveau du seuil de renouvellement des générations. N’y a-t-il qu’une seule solution ? Lire la suite de l’article

Benoît Hamon: «nous demandons une remise à plat complète de la réforme» Les manifestations ont été une «réussite», «l’objectif que s’était fixé les syndicats de passer le cap de 2 millions de manifestants a été atteint voire largement dépassé» a déclaré le porte-parole. Si la mobilisation était très suivie, Benoît Hamon a également mis en avant «l'unité syndicale» qui s'est renforcée, même si «la stratégie du gouvernement depuis plusieurs mois était de parier sur la résignation des Français et sur la division des syndicats». Même si cette réforme est «jugée nécessaire», «il faut modifier aujourd’hui les conditions dans lesquelles on finance les retraites». 1) La pénibilité Le gouvernement veut faire croire qu'il agit contre la pénibilité, or «il n'y en a aucun dans la loi». Bien que le gouvernement dise le contraire, les questions de la pénibilité ont déjà été abordées dans des précédentes lois, «dans son volet le plus essentiel, c'est-à-dire l'impact sur l'espérance de vie». 2) Dispositif le plus contraignant pour la France 3) Le financement

R?forme des retraites : l'autre solution Après un mois de consultations en trompe-l'oeil, le gouvernement a remis sa copie aux syndicats et au patronat. Ce document d'orientation est précieux, car il renferme toutes les contre-vérités proférées et fausses solutions avancées depuis près de vingt ans. Choc démographique, catastrophe des régimes de retraite par répartition et travailler plus longtemps se mêlent dans un projet aussi mystificateur qu'inefficace. Y a-t-il un choc démographique ? Ainsi, la France connaît un allongement de l'espérance de vie, heureuse nouvelle, et une fécondité qui la place juste au niveau du seuil de renouvellement des générations. N'y a-t-il qu'une seule solution ? Les uns travailleront plus. La promesse de créer "une contribution supplémentaire de solidarité sur les hauts revenus et les revenus du capital sans restitution au titre du bouclier fiscal" sauvera-t-elle l'ensemble ? Deux conclusions s'imposent donc.

Retraites : une société en mutation Disons-le d’emblée, la réforme des retraites ne peut être abordée sous le seul angle de paramètres techniques de financement. Elle relève d’abord d’un choix de société. Elle doit permettre de prendre en compte les mutations de la société et les attentes des Français vis-à-vis des temps de la vie. L’évolution des structures familiales, les changements du monde du travail, l’éclatement des carrières et des parcours professionnels obligent, pour mieux en garantir l’efficacité, à redéfinir les contours d’un système de protection sociale conçu dans un environnement économique et social radicalement différent. Le vieillissement de la population représente assurément l’une des tendances lourdes des dernières années. Avec le vieillissement de la population, un nombre croissant d’entre eux sera néanmoins confronté à une perte d’autonomie : une société digne est une société qui ne laisse pas ses aînés sur le bord du chemin. Le monde du travail a également subi de grandes mutations.

R?forme des retraites : l?autre solution ? Le blog de G?rard Filoche Point de vue dans LE MONDE | 14.06.10 | Après un mois de consultations en trompe-l’oeil, le gouvernement a remis sa copie aux syndicats et au patronat. Ce document d’orientation est précieux, car il renferme toutes les contre-vérités proférées et fausses solutions avancées depuis près de vingt ans. Choc démographique, catastrophe des régimes de retraite par répartition et travailler plus longtemps se mêlent dans un projet aussi mystificateur qu’inefficace. Y a-t-il un choc démographique ? Ainsi, la France connaît un allongement de l’espérance de vie, heureuse nouvelle, et une fécondité qui la place juste au niveau du seuil de renouvellement des générations. N’y a-t-il qu’une seule solution ? Les uns travailleront plus. La promesse de créer « une contribution supplémentaire de solidarité sur les hauts revenus et les revenus du capital sans restitution au titre du bouclier fiscal » sauvera-t-elle l’ensemble ? Deux conclusions s’imposent donc.

La retraite choisie: un système universel et personnalisé Notre système doit reposer sur des droits collectifs solides, qui jouent le rôle de vigies sociales et qui permettent davantage de choix individuels. Nous proposons une réforme systémique. Maintenir l’âge légal de départ en retraite à 60 ans À ce titre l’âge légal de départ en retraite constitue une garantie et une borne indispensable. À 60 ans, un ouvrier et un cadre ont une espérance de vie de 7 ans différente. Le maintien de l’âge légal de départ en retraite à 60 ans est pour les socialistes une exigence. Des choix individuels dans le cadre de garanties collectives Les rythmes de la vie ont changé. Cela amène à définir une nouvelle articulation entre un socle de droits collectifs garantis, dont participe l’âge légal de départ en retraite, et les aspirations personnelles. > Pour les nouvelles générations, nous proposons de créer un compte temps qui permettrait de décloisonner les trois temps de la vie (le temps de la formation, le temps du travail, le temps de la retraite).

Une autre r?forme des retraites est possible ! François Chérèque, Alain Touraine, Michel Wieviorka, Christophe Deltombe, François Dubet, Marc-Olivier Padis… Nos systèmes de retraite par répartition sont confrontés aux défis du vieillissement de la population comme aux conséquences d'une situation de l'emploi dramatique, lestée par les effets de la récente crise financière. Leur équilibre financier doit rester une préoccupation majeure des pouvoirs publics comme des partenaires sociaux si nous ne voulons pas ouvrir un boulevard à la retraite par capitalisation. Pour autant, le projet de réforme des retraites proposé dans l'urgence par le gouvernement pour répondre aux exigences de la notation financière et crédibiliser la signature de la France sur le marché de la dette publique, ne garantit pas, à long terme, la pérennité de notre système par répartition. Bien au contraire, il aggrave les injustices. L'efficacité financière de la réforme proposée est aussi en question. L'ensemble des signataires du texte sur Cfdt.fr

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