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La Médecine de la Renaissance

La Médecine de la Renaissance
I Le souffle de la Renaissance En médecine, comme dans le domaine des arts, des lettres et de la pensée, l’époque de la Renaissance s’étend sur deux siècles et demi - du milieu du XIVe à la fin du XVIe . Après le long enlisement du Moyen Age, voici que l’esprit humain rejette le carcan rigide de la scolastique aristotélicienne et se libère de ce que les contraintes spirituelles et traditionnelles avaient d’excessif et de paralysant. L’invention de l’imprimerie allait fournir aux nouvelles acquisitions de la connaissance humaine le moyen de se répandre. Simultanément, la multiplication des échanges diplomatiques et commerciaux, l’extension des voyages lointains, les explorations ouvraient un champs nouveau à l’étude des sciences naturelles. II L'anatomie, première pierre de l'édifice L’anatomie et la chirurgie au début de la Renaissance A l’aube de la Renaissance, l’homme connaissait encore bien mal la structure de son propre corps. La dissection Progrès et stagnation Paracelse le réformateur

Rhazès: un scientifique pluridisciplinaire persan Al-Razi, dans le « Recueil des traités de médecine » de Gérard de Crémone, 1250-1260 Abu Bakr Mohammad Ibn Zakariya al-Razi, connu aussi comme Razi (persan: رازی ) ou Al-Razi, ou Ar-Razi, ou Ibn Zakaria (Zakariya) ou (en latin) comme Rhazes et Rasis, (865-925) fut un scientifique pluridisciplinaire perse qui a énormément contribué dans les domaines de la médecine, l'alchimie et la philosophie. Alchimiste devenu médecin, il aurait isolé l'acide sulfurique et l'éthanol dont il initia l'utilisation médicale. S'agissant de la pratique médicale, il a vigoureusement défendu la démarche scientifique dans le diagnostic et la thérapeutique et a largement influencé la conception de l'organisation hospitalière en lien avec la formation des futurs médecins. Empiriste et rationaliste, il fut l'objet de nombreuses critiques pour son opposition à l'aristotélisme et sa libre-pensée vis-à-vis de la religion. Sommaire L'homme Le médecin, l'enseignant et l'homme de science Psychiatrie et psychologie

Dossier sur la civilisation islamique. L'Islam d'hier, d'aujourd'hui et de toujours Entre [...] = indications hors texte Dossier de Mme Fabienne Taric-Zumsteg et de M. David Vogel, enseignants au Gymnase de Morges (Vaud, Suisse, 2007) Sommaire L’Islam d’hier et de toujours Extraits du Coran Attitude de Muhammad envers les Juifs et les chrétiens Sourate XXIX, 46 Sourate II, 62 Sourate III, 64 Sourate IX, 30-31 Sourate LXXXVII, 16-19 Sourate LXXIV, 31-32 Sourate LIII, 34-37 Sourate XLVIII, 29 Sourate XXVI, 195-197 Sourate XVII, 2-3 Sourate II, 107, 114-115, 129 Sourate III, 60, 62 Sourate IV, 153-155, 169 Muhammad le législateur Sourate II, 173, 176-177, 180, 183, 184, 220, 226-228, 229, 282 Sourate IV, 8-9, 12, 14, 26 Djihaad et Coran Sourate IX, 5, 29, 36 Esclavage Sourate II, 177 Sourate XC, 12-17 Le soufisme. Les derviches Rûmî (1207-1273) Le Prophète en littérature La Liberté L’enseignement La religion L’Islam d’hier Rapport aux sciences Attitude des chefs religieux à l’égard de la science Extrait d’un discours d’Averroès Un savant Juif en terre musulmane Démarche de la science arabe Récits de voyages

2500 ans d'Histoire - De la Perse à l'Iran L'Iran, autrefois connu sous le nom de Perse, a donné naissance il y a 2500 ans au premier empire à vocation universelle. Depuis lors, les plateaux iraniens ont abrité des civilisations du plus extrême raffinement, qui n'ont rien à envier à l'Occident comme à l'Orient. À la différence de leurs voisins, les Iraniens ne souffrent d'aucune frustration à l'égard de l'Occident. Ils n'ont de «revanche» à prendre sur personne, sinon sur les trublions cupides qui ont tenté depuis la Seconde Guerre mondiale de s'approprier leurs réserves pétrolières..... De la Perse à l'Iran, parcours en images Cliquez pour agrandir Cette animation multimédia raconte, en images et en cartes, 2500 ans d'histoires persanes... Une forteresse naturelle L'Iran se caractérise par l'altitude. Les plateaux iraniens, très arides, sont bordés au nord par la magnifique chaîne enneigée de l'Elbrouz et à l'ouest par les montagnes du Zagros. Diversité linguistique... ... et religieuse Continuité historique

Cesare Beccaria Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Beccaria. Cesare Beccaria Cesare Beccaria Bonesana, marquis de Gualdrasco et Villareggio[1] (né le 15 mars 1738 à Milan où il est mort le 28 novembre 1794), est un juriste, philosophe, économiste et homme de lettres italien rattaché au courant des Lumières. Dans Des délits et des peines, il fonde le droit pénal moderne et se signale notamment en développant la toute première argumentation contre la peine de mort. Biographie[modifier | modifier le code] Cesare Beccaria, fils de Giovanni Saverio di Francesco et dr Maria Visconti di Saliceto, subit d'abord, selon ses propres dires, « huit années d'éducation fanatique et servile » de 1747 à 1755 dans un collège jésuite pour jeunes aristocrates à Parme. Désireux de réduire les sources du droit à la seule loi du souverain, il développe une théorie (sans doute excessive et d'ailleurs inapplicable) de l'herméneutique judiciaire, dite « théorie du syllogisme ».

Peinture de la Renaissance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Renaissance italienne va créer une vraie révolution dans la peinture. La peinture médiévale était caractérisée par des thèmes surtout religieux, des enluminures[1]. Principales nouveautés[modifier | modifier le code] Nouvelles techniques[modifier | modifier le code] Émail sur terre cuite (terracotta invetriata) Andrea della RobbiaPeinture sur chevaletLe bois est remplacé par la toile, qui est plus économiqueLe sfumato (effet brumeux, pénétration du clair dans le sombre mis au point par le célèbre Léonard De Vinci technique réalisée dans La Joconde)Jan Van Eyck sans l'inventer, améliore la peinture à l'huile technique des 3 nuances - la tonalité moyenne est obtenue par mélange de la nuance la plus foncée avec la plus claire Principaux peintres italiens[modifier | modifier le code] Dans le domaine de la peinture, il s'illustre en peignant les immenses cycles de fresques de la Chapelle Sixtine de 1508 à 1512.

Primitif flamand Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Primitif flamand est un terme apparu au XIXe siècle pour désigner les peintres actifs dans les anciens Pays-Bas méridionaux (comprenant également la Wallonie) aux XVe siècle et XVIe siècle, dans les villes florissantes de Tournai, Bruxelles, Bruges, Gand et Anvers, bénéficiant de la prospérité du duché de Bourgogne. Le nom de "Primitifs Flamands" est associé à une rétrospective de peintures réalisées dans les 17 provinces au cours des XV et XVIème siècles. L'essor de cette école est lié à l'influence des ducs de Bourgogne en Europe. Caractéristiques[modifier | modifier le code] Ces peintres ont en commun le rendu fidèle et méticuleux d’intérieurs bourgeois avec fonds de paysage des Pays-Bas, ainsi que la représentation de sujets et de messages à caractère religieux. L’École des Primitifs flamands introduit une grande innovation caractérisée comme un véritable tournant de l’histoire de l’art. Notes et références[modifier | modifier le code]

Primitifs italiens Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme primitifs italiens désigne les peintres en Italie qui amorcent le changement du traitement de la peinture dans la période du Trecento voire du Duecento, en introduisant trois principes nouveaux[1] : l'humanisation des personnages représentés, l'apparition des paysages et des architectures complexes, en passant d'un style italo-byzantin à un style typiquement et proprement italien[2] en plus des arguments stylistiques du gothique français. Période historique[modifier | modifier le code] Les sujets y sont encore exclusivement sacrés (peinture chrétienne), il faut attendre la pleine Renaissance pour le traitement de sujets mythologiques. Les thèmes abordés sont, dans la continuité picturale des temps précédents, ceux de leurs commanditaires, l'église et ses représentants, ou parlant en leur nom. Des principes nouveaux de la représentation[modifier | modifier le code] L'humanisation des personnages représentés[modifier | modifier le code]

Jacob Burckhardt Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jacob Burckhardt Sigfried Giedion analyse ainsi l'esprit et la méthode de Burkhardt : « le grand découvreur de la Renaissance, il a le premier montré qu'une période doit être traitée dans son intégralité, en tenant compte non seulement de la peinture, de la sculpture et de l'architecture, mais aussi des institutions sociales et de la vie quotidienne. »[2] Biographie[modifier | modifier le code] Tour de St Alban, à Bâle Vers 1840/45 Il fait ses études primaires et secondaires à Bâle, puis étudie la philologie, l'histoire ancienne, la théologie, l'histoire de l'art[réf. nécessaire] et l'histoire à partir de 1836, toujours dans la même ville, à Neuchâtel (Collège latin), à Berlin et à Bonn. À l'université de Berlin, il suit, de 1839 à 1843, l'enseignement de Carl Ritter en géographie, de Leopold von Ranke, de Johann Gustav Droysen en histoire et de Franz Kugler en histoire de l'art. De 1844 à 1845, il est rédacteur politique au Basler Zeitung.

Ernst Nolte Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Nolte. Ernst Nolte, né le 11 janvier 1923 à Witten en Allemagne, est un historien et philosophe allemand spécialiste des mouvements politiques de l'entre-deux-guerres, en particulier des fascismes. Biographie[modifier | modifier le code] Ernst Nolte fut l'étudiant de Martin Heidegger et d'Eugen Fink dont il reprend certains principes phénoménologiques dans sa méthodologie. Avec Eugen Weber, Nolte est l'un des premiers historiens à avoir consacré une étude très exhaustive sur l'Action française durant les années 1960. Après plusieurs volumes sur le fascisme, Nolte s'intéresse également à la genèse de la Guerre froide ; il consacre aussi des ouvrages au bolchévisme, qu'il rapproche du nazisme, à la méthodologie en histoire, à Friedrich Nietzsche et à Max Weber. En 2000, Nolte a reçu le prix Konrad Adenauer. Travaux controversés[modifier | modifier le code] Cette thèse fit l’objet de nombreuses critiques.

Liste des Premiers ministres du Royaume-Uni Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page dresse la liste des Premiers ministres du Royaume-Uni par ordre chronologique depuis le XVIIIe siècle. Sir Robert Walpole, à la tête de la Grande-Bretagne de 1721 à 1742, est considéré comme le premier Premier ministre au sens moderne[2],[3], ce titre n'était alors qu'officieux, et la fonction qu'il exerçait était celle de Premier Lord au Trésor (First Lord of the Treasury), tandis que le terme « Royaume-Uni » n'est utilisé pour la première fois qu'en 1801 par William Pitt le Jeune. Avant Walpole[modifier | modifier le code] Depuis le Moyen Âge (environ 1126), le Trésor de Sa Majesté (HM Treasury) était géré par le Lord Grand Trésorier (Lord High Treasurer). À partir du XVIIe siècle les fonctions du Lord Trésorier sont fréquemment exercées non pas par un seul individu, mais par une commission de Lords du Trésor (Lords of the Treasury), présidée par le Premier Lord du Trésor (First Lord of the Treasury). Records :

Sagalassos Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sagalassos est une ancienne cité d'Asie Mineure, située sur les contreforts du Taurus, dans la région de Burdur en Turquie, à environ 100 km au nord de l'actuelle Antalya, à une altitude comprise entre 1 450 et 1 700 m. L'occupation du lieu est ancienne, mais la cité s'est surtout développée sous l'Empire romain, entre le IIe et le VIIe siècle ; elle s'est maintenue tardivement, avant d'être définitivement désertée par suite d'un séisme majeur. Des fouilles et restaurations importantes sont menées depuis 1985. Historique[modifier | modifier le code] En -333, Alexandre le Grand (-336/-323) s'empare, non sans mal, de la ville. Sagalassos : hérôon du nord-ouest Sous la période romaine, Sagalassos devient un prospère pôle économique et culturel de la province de Lycie-et-Pamphylie : son industrie potière est réputée. À partir du VIe siècle, la ville est touchée par une série de calamités. Notes et références[modifier | modifier le code]

Architecture du Saint Sépulcre - 2 Après une première introduction sur le Saint Sépulcre, abordons maintenant ce que virent les pèlerins et les différents éléments du plan de l’édifice. Vue en coupe et en couleur de l’ensemble du Saint Sépulcre Commençons par l’entrée de la basilique/martyrium du Saint Sépulcre. C’est grâce aux descriptions d’Eusèbe de Césarée que l’on peut se faire une représentation précise de ce lieu de prière. 1) L’atrium à trois portes de la basilique et son escalier monumental présentaient une forme irrégulière qui s’explique par le fait qu’il donnait immédiatement sur le Cardo maximus. Sur la façade du martyrium, trois autres grandes portes, dont celle du centre était plus monumentale, occupaient sa partie inférieure. Vue isométrique du Martyrium du Saint Sépulcre 2) Le martyrium et ses 5 nefs était le lieu où se déroulaient les offices. Enfin sous la partie est de la nef centrale on trouvait la grotte qui aurait conservé la « vraie » croix de Jésus découverte par Saint Hélène. Épilogue Bibliographie

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