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Radio-identification

Radio-identification
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une puce de radio-identification EPC utilisée par Wal-Mart La radio-identification, le plus souvent désignée par le sigle RFID (de l’anglais radio frequency identification), est une méthode pour mémoriser et récupérer des données à distance en utilisant des marqueurs appelés « radio-étiquettes » (« RFID tag » ou « RFID transponder » en anglais)[1]. Les radio-étiquettes sont de petits objets, tels que des étiquettes autoadhésives, qui peuvent être collés ou incorporés dans des objets ou produits et même implantés dans des organismes vivants (animaux, corps humain[2]). Les radio-étiquettes comprennent une antenne associée à une puce électronique qui leur permet de recevoir et de répondre aux requêtes radio émises depuis l’émetteur-récepteur. Ces puces électroniques contiennent un identifiant et éventuellement des données complémentaires. Cette technologie d’identification peut être utilisée pour identifier : Principe[modifier | modifier le code]

Communication en champ proche Un distributeur de billets de train en Autriche proposant la technologie NFC pour payer La communication en champ proche (CCP)[1], en anglais : Near Field Communication (NFC) est une technologie de communication sans fil à courte portée et à haute fréquence, permettant l'échange d'informations entre des périphériques jusqu'à une distance d'environ 10 cm dans le cas général[2]. Cette technologie est une extension de la norme ISO/CEI 14443 standardisant les cartes de proximité utilisant la radio-identification (RFID) qui combinent une carte à puce et un lecteur au sein d'un seul périphérique. Un périphérique CCP est capable de communiquer avec des équipements ISO/CEI 14443, avec un autre périphérique CCP ou avec certaines infrastructures sans-contact comme les composteurs des transports en commun ou les terminaux de paiement chez les commerçants. Caractéristiques principales[modifier | modifier le code] Normes liées à la CCP[modifier | modifier le code] Forum NFC[modifier | modifier le code]

Slide Web 2.0Web Squared, transition vers le web 3.0 ou nouveau paradigme ? « FredCavazza.net FredCavazza.net Voilà maintenant près de 5 ans que l’on parle du web 2.0 (ce terme a pour la première fois été utilisé en 2004 lors du Web 2.0 Summit) et depuis le grand jeu a été de savoir quand arrivera la prochaine itération. Pour faire simple disons que le web 2 .0 était le terme utilisé dans les années 2006/2007 pour décrire un changement majeur dans les usages de l’internet (voir ma dernière définition en date). Ce dernier repose sur deux notions fondamentales: l’intelligence collective, le web comme une plateforme (pour les utilisateurs et les services). Maintenant ce terme est passé de mode et l’on emploie plus volontiers celui de médias sociaux qui sonne moins “informatique” à l’oreille. J’ai également eu l’occasion de faire un panorama des différents services associés aux médias sociaux ainsi que de donner une définition. Web 1.0 = plateforme pour les documentsWeb 2.0 = plateforme pour les individusWeb 3.0 = plateforme pour les données Web² = Web 2.0 + World Pourquoi parler du Web Squared ?

Code QR Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir QR. Publié au Japon en 1999 sous un format de données libre, le code QR fait l'objet d'une normalisation ISO 18004. En France, les opérateurs de téléphonie mobile ont créé le format flashcode, mais sont les seuls à l'utiliser. Histoire[modifier | modifier le code] Origine[modifier | modifier le code] Il est rendu public en 1999: Denso-Wave publie le QR Code sous licence libre[2] ; cela a contribué à la diffusion du code au Japon. Il existe aussi de nombreux autres fournisseurs de générateurs et de lecteurs. Normes et licences[modifier | modifier le code] En 1999, tout en conservant les droits du brevet, Denso-Wave accorde l'utilisation du QR Code avec une licence libre, défini et publié en tant que norme ISO[4]. Du côté applicatif, il y a des variations entre les mises en œuvre. Fonctionnement[modifier | modifier le code] L'avantage du QR Code est sa facilité et sa rapidité d'utilisation et de création. Structure :

Synthèse LimogesLe Web 3.0 : état des lieux et perspectives d'avenir Voici un intéressant travail d'étudiants de l'Université de Limoges, réalisé sous la direction d'un de leurs enseignants qui nous a aimablement proposé de publier cette étude qui fait bien le tour du sujet traité : le Web 3. Travail universitaire, réalisé selon les normes des synthèses universtaires. Nous n'avons pas voulu modifier le système des références ni leur présentation. De grands bouleversements actuels et accélérés autour de certaines technologies et services de l’information et de la communication sont en train d’émerger. Comment en est-t-on arrivé là ? Un petit rappel sur l'histoire et l'évolution du Web en termes de développement s'impose avant de comprendre les enjeux du Web à venir. 1 - Le Web d'hier à aujourd'hui Même s’il existe des sources permettant de dater les périodes des différentes versions du Web, elles apparaissent parfois contradictoires et il serait certainement plus juste de parler d’ère du Web en considérant les périodes comme des espaces de temps. Conclusion

Données ouvertes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Donnée. Selon les pays, une part plus ou moins importante de la donnée publique est mise à disposition de tous dans le champ des données ouvertes. Ce mouvement est en expansion Les données ouvertes à la Loupe Autocollants utilisés par les militants des données ouvertes Une donnée ouverte est une donnée numérique d'origine publique ou privée. L'ouverture des données (en anglais open data) représente à la fois un mouvement, une philosophie d'accès à l'information et une pratique de publication de données librement accessibles et exploitables. Elle s'inscrit dans une tendance qui considère l'information publique comme un bien commun (tel que défini par Elinor Ostrom) dont la diffusion est d'intérêt public et général. En Europe et dans certains pays, des directives et lois imposent aux collectivités de publier certaines données publiques sous forme numérique. Remarque : Le présent article est généraliste.

L avenir du web au prisme de la resource/Conclusion Web sémantique Logo du W3C pour le Web sémantique Le Web sémantique, ou toile sémantique[1], est une extension du Web standardisée par le World Wide Web Consortium (W3C)[2]. Ces standards encouragent l'utilisation de formats de données et de protocoles d'échange normés sur le Web, en s'appuyant sur le modèle Resource Description Framework (RDF). Le web sémantique est par certains qualifié de web 3.0 . Alors que ses détracteurs ont mis en doute sa faisabilité, ses promoteurs font valoir que les applications réalisées par les chercheurs dans l'industrie, la biologie et les sciences humaines ont déjà prouvé la validité de ce nouveau concept[5]. Histoire[modifier | modifier le code] Tim Berners-Lee à l'origine exprimait la vision du Web sémantique comme suit : I have a dream for the Web [in which computers] become capable of analyzing all the data on the Web — the content, links, and transactions between people and computers. — Tim Berners-Lee, Weaving the Web[13] — Weaving the Web[13]

Web sémantique - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo du W3C pour le Web sémantique Le Web sémantique, ou toile sémantique[1], est un mouvement collaboratif mené par le World Wide Web Consortium (W3C)[2] qui favorise des méthodes communes pour échanger des données. Le Web sémantique vise à aider l'émergence de nouvelles connaissances en s'appuyant sur les connaissances déjà présentes sur Internet. Selon le W3C, « le Web sémantique fournit un Modèle qui permet aux données d'être partagées et réutilisées entre plusieurs applications, entreprises et groupes d'utilisateurs »[3]. L'expression a été inventée par Tim Berners-Lee[4], l'inventeur du World Wide Web et directeur du World Wide Web Consortium (« W3C »), qui supervise le développement des technologies communes du Web sémantique. Alors que ses détracteurs ont mis en doute sa faisabilité, ses promoteurs font valoir que les recherches dans l'industrie, la biologie et les sciences humaines ont déjà prouvé la validité du concept original.

Architecture trois tiers Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'architecture trois tiers[1], architecture 3-tiers, architecture à trois niveaux ou architecture à trois couches est l'application du modèle plus général qu'est le multi-tier. L'architecture logique du système est divisée en trois niveaux ou couches : couche présentation ;couche métier ;couche accès aux données. C'est une extension du modèle client-serveur. Définition et concepts[modifier | modifier le code] Exemple d'architecture en 3 couches Dans cette approche, les couches communiquent entre elles au travers d'un « modèle d'échange », et chacune d'entre elles propose un ensemble de services rendus. Ce modèle d'architecture 3-tiers a pour objectif de répondre aux préoccupations suivantes : Précédemment, dans les architectures client-serveur classiques, les couches présentation et traitement étaient trop souvent imbriquées. Les trois couches[modifier | modifier le code] Couche présentation (premier niveau)[modifier | modifier le code]

Revue Documentaliste-Sciences de l'Information 2011/4, Web sémantique, web de données... - Cairn.info Attention : Cette offre est accessible par login et mot de passe sur votre compte "Mon Cairn.info", pour un seul accès simultané. Les prix ici indiqués sont les prix TTC. Pour plus d'informations, veuillez consulter les conditions générales de vente. Les initiatives actuelles d'ouverture des données, telles que data.gouv.fr lancée fin 2011, représentent une étape importante dans la mise en œuvre du web de données. Éditorial Page 1 à 1 Vous inspirer... assurément ! Page 4 à 9 Métiers et compétences Page 10 à 15 Méthodes techniques et outils Page 16 à 19 Droit de l'information Web sémantique, web de données... quelle nouvelle donne ? Page 20 à 20 Quelle nouvelle donné ? Introduction Page 22 à 23 Bienvenue dans la « gigantesque base de données » Page 24 à 41 Enjeux et technologies : des données au sens Page 42 à 59 Approches documentaires : priorité aux contenus Page 60 à 61 Sources et ressources Recherche en sciences de l'information Page 62 à 69 Notes de lecture Page 70 à 76 Fiche technique

Technologie permettant de connecter des objets à internet/au web. by fuyat Apr 8

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