
RFID (Radio Frequency IDentification) Décembre 2015 Introduction à RFID L'abréviation RFID signifie « Radio Frequency IDentification », en français, « Identification par Radio Fréquence ». Cette technologie permet d’identifier un objet, d’en suivre le cheminement et d’en connaître les caractéristiques à distance grâce à une étiquette émettant des ondes radio, attachée ou incorporée à l’objet. La technologie RFID permet la lecture des étiquettes même sans ligne de vue directe et peut traverser de fines couches de matériaux (peinture, neige, etc.). L’étiquette radiofréquence (transpondeur, étiquette RFID), est composée d’une puce (en anglais « chip ») reliée à une antenne, encapsulées dans un support (RFID Tag ou RFID Label). On distingue 3 catégories d’étiquettes RFID : Les étiquettes en lecture seule, non modifiables, Les étiquettes « écriture une fois, lecture multiple », Les étiquettes en « lecture réécriture ». Par ailleurs, il existe deux grandes familles d'étiquettes RFID : Exemples d’applications opérationnelles :
RFID : quelle éthique derrière l'étiquette ? Cette technologie, encore au stade pilote, connaîtra bientôt sa première phase de déploiement à grande échelle dans la chaîne logistique. Elle a des incidences extrêmement prometteuses en termes de rapidité, de fiabilité et d'optimisation. Elle constitue un nouveau défi technique et un potentiel de croissance pour les professionnels des technologies de l'information. Michel Duperrier, organisateur de l'initiative de business networking sparklingPoint ( 28 novembre 2003 Le projet Auto-ID (Automatic Identification) est né en 1999 au Massachusetts Institute of Technology (MIT) auquel se sont joints de grands acteurs de l'industrie et de la distribution. Des étiquettes qui changent radicalement les processus d'approvisionnement et de mise en place Le terme d'étiquette RFID (Radio Frequency Identification) s'applique au composant le plus visible de cette infrastructure d'Auto-ID. Une taille qui permet leur association avec une multitude d'objets
Communication en champ proche Un distributeur de billets de train en Autriche proposant la technologie NFC pour payer La communication en champ proche (CCP)[1], en anglais : Near Field Communication (NFC) est une technologie de communication sans fil à courte portée et à haute fréquence, permettant l'échange d'informations entre des périphériques jusqu'à une distance d'environ 10 cm dans le cas général[2]. Cette technologie est une extension de la norme ISO/CEI 14443 standardisant les cartes de proximité utilisant la radio-identification (RFID) qui combinent une carte à puce et un lecteur au sein d'un seul périphérique. Un périphérique CCP est capable de communiquer avec des équipements ISO/CEI 14443, avec un autre périphérique CCP ou avec certaines infrastructures sans-contact comme les composteurs des transports en commun ou les terminaux de paiement chez les commerçants. Caractéristiques principales[modifier | modifier le code] Normes liées à la CCP[modifier | modifier le code] Forum NFC[modifier | modifier le code]
Small Computer System Interface Connecteurs SCSI 25-50 broches (à gauche, le connecteur 50 broches) Le standard décrit les spécifications mécaniques, électriques et fonctionnelles du bus. Historique[modifier | modifier le code] En 1979, le précurseur du bus SCSI est créé par la société Shugart, du nom de son fondateur Alan Shugart, pionnier de l'informatique et ancien ingénieur chez IBM (alors spécialiste des disques durs), sous le nom de SASI (en) (Shugart Associates Systems Interface) . En 1981, Shugart se lie avec NCR Corporation dans l'espoir d'en faire un standard ANSI. Des améliorations sont apportées en 1994 avec la norme SCSI-2 et récemment avec la norme SCSI-3, réduisant ces problèmes d'interopérabilité. Spécificités[modifier | modifier le code] Ce bus diffère des autres en ce qu'il déporte la complexité vers le périphérique lui-même. Périphériques concernés[modifier | modifier le code] La norme SCSI-2 précise que le bus peut relier entre eux : des ordinateurs avec des périphériques tels que : Mise en œuvre du CRC.
Parlez-moi de la RFID en bibliothèque! "L'abréviation RFID signifie « Radio Frequency IDentification », en français, « Identification par Radio Fréquence », en anglais. Cette technologie permet d’identifier un objet, d’en suivre le cheminement et d’en connaître les caractéristiques à distance grâce à une étiquette émettant des ondes radio, attachée ou incorporée à l’objet. La technologie RFID permet la lecture des étiquettes même sans ligne de vue directe et peut traverser de fines couches de matériaux (peinture, neige, etc.)"...Ici un article-réponse sur une question à propos de la RFID. Un schéma et premières explications ici : . Explications un peu plus poussées ici : Les prêts et retours sont immédiats ou presque, et "confidentiels" (d'après ce que j'ai lu dans cette synthèse : Pour la confidentialité, on repassera, évidemment. Le rangement alors ? Alors... des bibliothécaires ?
Code QR Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir QR. Publié au Japon en 1999 sous un format de données libre, le code QR fait l'objet d'une normalisation ISO 18004. En France, les opérateurs de téléphonie mobile ont créé le format flashcode, mais sont les seuls à l'utiliser. Histoire[modifier | modifier le code] Origine[modifier | modifier le code] Il est rendu public en 1999: Denso-Wave publie le QR Code sous licence libre[2] ; cela a contribué à la diffusion du code au Japon. Il existe aussi de nombreux autres fournisseurs de générateurs et de lecteurs. Normes et licences[modifier | modifier le code] En 1999, tout en conservant les droits du brevet, Denso-Wave accorde l'utilisation du QR Code avec une licence libre, défini et publié en tant que norme ISO[4]. Du côté applicatif, il y a des variations entre les mises en œuvre. Fonctionnement[modifier | modifier le code] L'avantage du QR Code est sa facilité et sa rapidité d'utilisation et de création. Structure :
Endpoint detection and response Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Endpoint detection and response (EDR) désigne une technologie logiciel émergente de détection des menaces de sécurité informatique des équipements numériques (ordinateurs, serveurs, tablettes, objets connectés, etc.)[1]. Ce terme est utilisé pour la première fois en juillet 2013 par Anton Chuvakin[2] de la société Gartner. Il désigne une catégorie d’outils et de solutions qui mettent l’accent sur la détection d’activités suspectes directement sur les hôtes du système d'information. Initialement dénommée « Endpoint Threat Detection & Response » (ETDR), en 2015 Gartner a réduit l’expression en « Endpoint Detection and Response » (EDR). Gartner estime que le marché des logiciels antivirus traditionnel est obsolète. Combiné avec un moteur basé sur de l'intelligence artificielle, le logiciel EDR est très réactif dans la détection et l'arrêt de menaces (Malwares, virus, attaques zero Day, menaces persistantes avancées, ...). Gartner
Etiquettes RFID ou "intelligentes" et codes à barres I - Introduction De nos jours, l’identification et le suivi d’objets se développent de plus en plus. Au départ, les codes barres permettaient cette identification mais ne permettaient pas le stockage de certaines données. Voilà pourquoi les étiquettes RFID se sont développées. L’étiquette RFID est une technologie déjà largement utilisée pour reconnaître ou identifier à plus ou moins grande distance et dans un minimum de temps, un objet, un animal ou une personne porteuse d’une étiquette capable d’émettre des données en utilisant des ondes radio. Les étiquettes RFID se rangent dans la catégorie des technologies d’identification automatique, au même titre que les codes à barres. II - Le code barre : ancêtre de l'étiquette RFID Les codes à barres (bar code) utilisent divers protocoles de codification ou de symbolisme, qui diffèrent en fonction des contraintes d'utilisation ou de normalisation. Voici les trois types de codes barres les plus utilisés : 1. 2. 1. 2. 1. 2.-- Le code DataMatrix 1.
Données ouvertes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Donnée. Selon les pays, une part plus ou moins importante de la donnée publique est mise à disposition de tous dans le champ des données ouvertes. Ce mouvement est en expansion Les données ouvertes à la Loupe Autocollants utilisés par les militants des données ouvertes Une donnée ouverte est une donnée numérique d'origine publique ou privée. L'ouverture des données (en anglais open data) représente à la fois un mouvement, une philosophie d'accès à l'information et une pratique de publication de données librement accessibles et exploitables. Elle s'inscrit dans une tendance qui considère l'information publique comme un bien commun (tel que défini par Elinor Ostrom) dont la diffusion est d'intérêt public et général. En Europe et dans certains pays, des directives et lois imposent aux collectivités de publier certaines données publiques sous forme numérique. Remarque : Le présent article est généraliste.
Jumeau numérique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une centrale pétrolière et sa jumelle numérique. Un jumeau numérique (en anglais, digital twin ou device shadow[1]) est une réplique numérique d'un objet, d'un processus ou d'un système qui peut être utilisé à diverses fins[2]. Les jumeaux numériques intègrent l'intelligence artificielle, l'apprentissage automatique et l'analyse des données avec des données pour créer des modèles de simulation numérique qui se mettent à jour et changent à mesure que leurs contreparties physiques changent. des données de capteurs qui transmettent divers aspects de son état de fonctionnement;d'experts humains, tels que des ingénieurs ayant une connaissance approfondie et pertinente du domaine industriel;d'autres machines similaires;d'autres flottes de machines similaires ;et de systèmes plus vastes et de l'environnement desquels il fait partie. Exemples[modifier | modifier le code] Exemples d'applications industrielles : Références[modifier | modifier le code]
Technologie permettant de connecter des objets à internet/au web. by fuyat Apr 8