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52 chiffres intéressants à propos des médias sociaux (Facebook, Twitter…)

52 chiffres intéressants à propos des médias sociaux (Facebook, Twitter…)
Par Julien le 05/07/2010 à 15h10 dans Facebook, Internet, Twitter - 24 commentaires Vu que les réseaux sociaux ne cessent de grossir, et prennent une place de plus en plus importante dans la communication effectuée par les société, il est intéressant de partager quelques chiffres les concernant. Ainsi, voici 10 chiffres à propos des cinq plus gros médias sociaux ; Facebook, Twitter, LinkedIn, Youtube et les blogs. Les deux derniers sont un peu en marge, on ne peut pas à proprement parler de réseaux sociaux, mais restent très intéressants dans cette étude. Facebook 1. Statistiques issus des communiqués Facebook. Twitter 11. 75% des utilisateurs Twitter utilisent un client tiers ; 12. Statistiques depuis les communiqués Twitter et la Chirp Conference LinkedIn 21. Statistiques depuis les communiqués LinkedIn et SysComm International. YouTube 31. Statistiques depuis les communiqués YouTube. Blogs 41. 77% des internautes lisent au moins un blog ; 42. Bonus Statistiques depuis Online Media Gazette.

It's an amazing time to be a learner - Will Richardson Your personal learning network is not just a network of people you learn from. A "pln," as enthusiasts call them, is a network of people who are learning together. I was given this essential lore - and truth be told, much of what I know about social media in education - by Will Richardson. Five years ago, I started teaching university courses on social media issues because I was growing concerned about the need for students to think seriously about matters of identity, privacy, community, civic engagement that arise from their own texting and Facebooking. From the beginning, Richardson rang true to me: the read/write web is not just a gimmick for boosting student engagement - it's an affordance for a student-centric, project-based, collaborative, inquisitive, reflective pedagogy. If I had to reduce to one sentence my advice to teachers who want to use the web in the classroom, it would be "Read Richardson's book and follow his blog."

Be virtual » Blog Archive » Une loi de Moore pour les réseaux sociaux Lors du Web 2.0 Summit de novembre 2008, Mark Zuckerberger, l’un des fondateurs et le directeur exécutif de Facebook, a émis l’hypothèse d’une loi analogue à la loi de Moore pour le partage d’information sur les réseaux sociaux. Selon Gordon Moore, le fondateur d’Intel, la capacité des puces électroniques devait doubler tous les deux ans. Sa prédiction s’est révélée étonnamment exacte pendant longtemps, mais elle butte maintenant sur des frontières physiques liées aux matériaux utilisés. Zuckerberger postule que la quantité d’informations partagée par les utilisateurs des réseaux sociaux va doubler tous les ans. Les derniers chiffres publiés par comScore tendent à prouver que cette prédiction est correcte. Est-ce vraiment étonnant ? Facebook peut-il devenir un outil d’information ?

Humains et non-humains : un bilan d'étape de la sociologie des collectifs Engagé en quelque sorte sur les marges du champ traditionnel de la sociologie, dans l’étude des sciences et des techniques en train de se faire, le tournant non moderne se devait d’éprouver sa fécondité en se confrontant, pour tenter de le renouveler, à l’outillage conceptuel de base de la sociologie, et en particulier aux conceptions de l’action et de l’acteur. Dans une première section, nous proposons une vision générale du paradigme non moderne de l’action et de ses problèmes. Les deux sections suivantes sont consacrées à des propositions de clarification analytique portant respectivement sur la capacité générative des objets dans l’action et sur le modèle d’acteur ajusté à cette perspective. Le paradigme non moderne de l’action Une des formulations les plus radicales du tournant non moderne consiste à revendiquer pour les non-humains le statut d’acteur à part entière. Cette précaution étant prise, venons-en à une présentation positive du paradigme non moderne de l’action.

Mais à quoi peut donc servir un réseau social en entreprise ? C’est en écoutant la conférence de Patrick Chanezon de Google, jeudi matin, au colloque organisé par la MATI que cette question s’est soudainement imposée. C’est aussi, étrange coïncidence, le but et le propos d’une visite que j’ai faite à un client la journée précédente. Et ce fut en plus, le propos central de ma propre conférence à cette même MATI, en compagnie de Sylvain Carle… Les planètes doivent donc s’aligner. D’une part, Patrick, qui sera à webcom-Montréal le 13 mai prochain, a fait une remarquable intervention sur le Open Social Initiative et surtout comment entreprises et institutions pouvaient tirer profit de ce mouvement lent mais constant vers l’adoption des réseaux sociaux ailleurs que sur la Grande Toile. Patrick venait ainsi de me faire connaitre le travail effectué par Sun, en code source ouvert, sur l’intégration de réseaux sociaux professionnels dans un intranet ou un portail d’entreprise avec Socialsite. Mais pour quoi faire au juste ? Pour des réunions corporatives…

Réseaux Sociaux : des intellectuels français inaudibles « hypertextual Je me posais cette question en lisant le remarquable Here Comes Everybody de Clay Shirky : où en sont nos intellectuels sur le sujet des réseaux sociaux ? Quelle réflexions, recherches et pensées sont produites par nos sociologues, économistes, philosophes, politologues, éditorialistes pour donner du sens aux remarquables mutations de la société que l’avènement du web collaboratif et des réseaux sociaux provoquent ? Et, au delà, quelle est la portée de cette réflexion dans le monde connecté ? Talk about the revolution Parce qu’elles transforment radicalement ce qui touche à notre travail, à la culture, aux médias, à la connaissance, aux métiers créatifs, ces technologies sont jugées révolutionnaires par des auteurs passionnants aux quatre coins du monde : où sont les nôtres ? Où sont nos Clay Shirky, Jamie Surowiecki, Chris Anderson, David Weineberger, Christopher Locke, Alexander Bard, Andrew McAfee, danah boyd ? Petit état des lieux. Catastrophisme Spéculation intellectuelle Minimisation

apophenia: when research is de-contextualized This week has been filled with news stories that make me sigh. Since everyone keeps asking me about them, I feel the need to comment. Scratch that, rant. Let’s start with the Economist’s Primates on Facebook. This article is framed around Robin Dunbar’s classic work published in Grooming, Gossip, and the Evolution of Language. Dunbar argued for a parallel between humans gossiping and monkeys grooming. The bigger issue is that performed network ties (“Friends”) are NOT the same as the personal networks that sociologists and anthropologists have historically measured and theorized about. And then there’s the discussion of Lady Greenfield’s claims that social network sites are “infantilising” the human mind. That said, I think that there’s something to be said for how today’s youth are thinking differently than their parent’s generation. Anyhow, I’m disappointed that the coverage of social media continues to be so sensational. Italian Translation of this blog post:

Un canular sur MySpace tourne au drame, ETATS-UNIS Une mère de famille américaine a été inculpée, jeudi 15 mai, pour son rôle présumé dans un canular sur le site de socialisation MySpace qui s'est terminé par le suicide d'une adolescente de 13 ans croyant avoir été repoussée par un garçon qui n'a jamais existé. Un grand jury fédéral de Los Angeles a inculpé Lori Drew, 49 ans, pour complot et accès "sans autorisation" au réseau de MySpace "dans le but d'infliger une souffrance émotionnelle à la jeune fille". Elle encourt jusqu'à 20 ans de prison. "Des conséquences très sérieuses" "La femme adulte a utilisé l'internet contre une fille innocente avec des conséquences horribles", a déclaré le procureur de Los Angeles Thomas O'Brien, lors d'une conférence de presse. "Torturer, harceler, humilier" Selon la chaîne ABC, l'adolescente connaissait la fille de Lori Drew, dont elle était voisine dans le Missouri (centre) et avec laquelle elle s'était disputée.

Les réseaux sociaux comme extension de la culture de masse Où je tire un peu les oreilles de Radio-Canada et explique pourquoi les réseaux sociaux poursuivent une lointaine guerre entre culture d'élite et culture populaire. Je suis toujours perplexe face à une certaine forme de rigidité que j'observe sur le site web de la Société Radio-Canada. Pourtant innovatrice à plusieurs points de vue, expérimentatrice et pionnière sur les nouveaux médias, les traces de ce qui se nomme désormais web 2.0 se font encore attendre dans le secteur des nouvelles. Aussi galvaudé que puisse être le terme web 2.0, il recoupe une notion qui ne semble pas plaire apparemment à la société d'État : la participation. Je ne saisit pas pourquoi, en 2008, il n'est toujours pas possible d'y trouver une section qui me permette de savoir les articles les plus consultés, les plus envoyés, les plus recherchés ou blogué sur le site. Il y a comme une culture de la "programmation" chez Radio-Canada qui les empêchent de laisser une "autre" façon de présenter les nouvelles.

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