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Marie France Garaud FR3 23 octobre 2012

Des mots pour subjuguer le 20 mars, 2014 dans Asservissement moderne, Les prohibés, Provoquer le débat par Cédric Bernelas « Va te faire enculer sale fils de ta race, fils de pute ! Va te faire sodomiser chez les macaques, salope de mes couilles, je nique ta chienne de mère et tous ses bâtards de mioches !… » Que reste-t-il de nos colères quand elles s’égarent dans l’injure ? Mais il y a pire : des beaux mots qui dissonent. Pour illustrer mon propos j’ai bien évidemment choisi quelques dénominations conformes à l’univers de Diktacratie.com. Liberté dont se réclament désormais outrancièrement les anarchistes ! Aujourd’hui, il semblerait que l’essence ravacholesque du « terrorisme » se soit évaporée dans les turbans de quelques djihadistes aux viscéralités légèrement pieuses. De toute façon toutes les religions du Livre comptabilisent chaque jour des morts au nom de leur message d’amour. Ecrit par : Cédric Bernelas Le site de cet auteur est

L’autorité publique est aux mains du système financier Voir également : Fiction de démocratie par H.Kempf [Note perso : je suis évidement d'accord avec Mr Kempf, mais baser le changement sur une approche écologique sans changer la racine du problème n'est que repousser le problème plus loin .. ] Vous démontrez avec des exemples innombrables comment le monde glisse vers une sorte de régime autoritaire dont l’intention unique est de maintenir les privilèges d’une caste, l’oligarchie. L’oligarchie est la définition d’un régime politique. Vous suggérez que nous sommes dans une phase de post-démocratie dans laquelle, avec l’objectif de se maintenir au pouvoir, l’oligarchie maintient une fiction démocratique. Bien sûr. Les pays européens, et beaucoup plus les États-Unis, ont glissé vers un régime oligarchique où le peuple n’a déjà plus de pouvoir. Ce raisonnement implique que la souveraineté populaire a disparu, comme idée et comme pratique. Effectivement. Et qu’est-il arrivé ensuite ? Oui. Nous sommes dans une phase cruciale de crise.

Interview d'Etienne Chouard suite à sa rencontre avec Laurent Louis Seule la démocratie pourra tenir en échec les forces sataniques. De plus, en démocratie tout le monde y trouve son compte (les athées, les chrétiens, les musulmans, les agnostiques, les juifs, les nationalistes, les homosexuels, les hétérosexuels, les européistes, les bourgeois, les prolétaires, les féministes, etc.) car tout un chacun a une chance égale d’être tiré au sort et, partant, de servir l’intérêt général à travers le prisme de ses convictions particulières. Sous le règne du gouvernement faussement représentatif, en revanche, seule la grande bourgeoisie appartenant aux oligarchies financière et industrielle (qui comprend bien sûr le funeste complexe militaro-industriel) a voix au chapitre. Alain Soral diffuse les vidéos d’Etienne Chouard sur le site d’Egalité et Réconciliation mais n’a pas encore pris parti pour la démocratie.

Viande de cheval : le vrai scandale n'est pas celui que l'on croit Après le veau aux hormones, la vache folle, la grippe porcine, la grippe du poulet, après le panga, poisson nourri avec des déchets de sous-produits végétaux et des cadavres de poissons déshydratés, le saumon mutant, premier animal transgénique proposé à la consommation, voilà le cheval qui a pris la place du boeuf dans les plats cuisinés... Si cette dernière affaire est une fraude géante organisée par des mafias à l'échelle européenne en vue de réaliser rapidement des superprofits, elle occulte cependant le problème essentiel qui est celui des conditions d'élevage des animaux et de la qualité finale des produits vendus... Que nous fait-on manger, de gré ou de force ? La première, publiée en 2011, montre la présence dans le lait de vache, de chèvre ou d'humain, d'anti-inflammatoires, de bêtabloquants, d'hormones et bien sûr d'antibiotiques. La seconde, qui date de 2012, est encore plus intéressante. L'incroyable pharmacopée destinée aux animaux d'élevage Toutes les choses sont poison...

Le mythe de la création de richesse Le mythe de la création de richesse… C’est un des pires mythes dont personne je pense n’a été épargné. En effet, selon ce mythe, aucune richesse ne peut-être distribuée si elle n’est pas déjà créée. Ce qui va tellement de soi qu’il va presque sans dire. La richesse nait-elle vraiment que de la richesse ? Maintenant que nous avons vu que l’argent ne nait pas de l’argent (pour ceux qui auraient encore des doutes et qui penseraient que l’argent est auto-réplicatif, qu’ils tentent l’expérience…), mais d’un mode d’organisation social et sociétal déterminé, pourquoi nous rabat-on les oreilles avec un tel mythe ? Bref tout un cocktail létal néo-libéral (et donc fasciste) que l’on nous serine depuis quelques temps déjà. C’est donc sans crainte ni sans mal penser (comment peut-il y avoir du mal, lorsque le mal fait système, normalité ?) Spéculez, vous pourrez toujours vous en tirer, l’État est là qui vous emboite le pas ! Qu’est-ce que serait l’histoire et la mondialisation sans cela ?

Mario Draghi et Jean-claude Trichet sont bien des marionnettes de la fondation Rockefeller, des banquiers d'affaires et des services americains. Autres articles L'Observatoire de "Corporate Europe", qui est une association citoyenne qui traque le poids des lobbys dans l'Union européenne, a accusé en juin dernier Mario Draghi, président de la Banque centrale européenne (BCE), de ne pas être "totalement indépendant", en raison de son appartenance au G30, think tank qui regroupe des dirigeants du secteur financier public et privé. Une plainte pour conflit d'intérêts aurait ainsi été déposée. Cette information n'est connue qu'aujourd'hui, 31 juillet, par une dépêche de l'agence Reuters qui précise que le comité de surveillance interne de l'Union européenne aurait ouvert une enquête. ------------------------------- LE GROUPE DES TRENTE ------------------------------- Le Groupe des Trente ("Group of Thirty", ou "G30") est un "think tank" situé à Washington, D.C. qui constitue un organisme de pilotage, aussi discret que majeur, de la politique financière mondiale.

Le village de Vandoncourt en France source d’inspiration ! Depuis 1970 a été mise en place une expérience de démocratie directe locale en France, dans le village Vandoncourt (900 habitants) dans le Doubs en Franche-Comté. Les habitants/citoyens ont créé une démocratie participative directe réelle, dite de co construction. Cet article est un compte-rendu d’un texte de Cathy Firmin, « Vandoncourt, premier village de France à voter pour une Démocratie Participative Directe dite de co construction« , pas très long mais assez extraordinaire de par ce qu’il décrit, et en ligne à l’adresse suivante : Aussi territorialisée et authentique soit-elle, Il faut rappeler ce que l’expérience du village de Vandoncourt « doit » à l’instance ancestrale de prise de décision de Madagascard, le Conseil des Sages. En 1970, peu avant les élections municipales, les deux retraités organisent à Vandoncourt un sondage pour connaître les souhaits des villageois : des sortes d’« états généraux du village ».

La réforme des collectivités territoriales, un recul de la démocratie voulu par Bruxelles Un peu d’histoire… L’organisation actuelle de la République en divisions territoriales, telles que la commune et le département, est issue de la Révolution française, mais son histoire remonte au Moyen-Age. A cette époque, le développement des routes commerciales et des villes favorisent l’autonomisation de petits territoires, souhaitée par les élites roturières pour s’affranchir de la tutelle seigneuriale. A la suite de la révolution, la France s’organise en un maillage d’unités territoriales disposant des compétences nécessaires pour gouverner selon les intérêts de leurs populations et le cadre municipal relève alors d’un panachage entre démocratie locale et administration étatique. Sous la III ème république, le nouveau mode de désignation du maire, désigné par le conseil municipal élu au suffrage universel, entraîne une modification du statut municipal. La réforme sur les collectivités territoriales. Spécialiser les compétences des différentes collectivités locales.

Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse Je n’ai visiblement pas été assez clair : Techniquement, elle a raison ; pratiquement, c’est du pilpoul. Alors, donnons lui une leçon de pilpoul : page 3, pénultième paragraphe :<< Présentant cet amendement comme une "sage précaution" permettant d’éviter que le Trésor public ne puisse "tourner la législation sur les émissions de monnaie ou de quasi monnaie […] par le biais de la présentation de bons de Trésor au réescompte de l’institut d’émission", la Commission des finances est à l’oritinge de l’ajout de l’article 29 : "Le Trésor public ne peut présenter ses propres effets au réescompte de l’institut d’émission". Clairement, on veut éviter que l’institut d’émission (càd la Banque de France) ne puisse racheter des bons du Trésor, soit souscrire un prêt. L’article de 1936 n’a pas la même teneur, même s’il ressemble au texte de 1972-1973, il n’est pas tout à fait identique. Si cette action concertée implique peu du point de vue technique, elle vient soutenir les thèses d’AS ou d’EC.

Madagascar : démocratie, organisation légale de la corruption ? [Note perso : je pense avoir des lecteurs de Madagascar sur mon blog.. vous confirmez ce texte ? voilà une place qui m'attire beaucoup dernièrement ... pour illustrer l'article j'ai trouvé le portfolio de Pierrot Men, superbe ...] La question se pose clairement à Madagascar, mais ce qui s’y passe n’est que le reflet plus lisible de l’organisation des pouvoirs dans le monde. À Madagascar, en relais de l’époque coloniale, les méthodes mafieuses font maintenant école car le but reste clairement le même : piller jusque dans les moindres niches toutes les richesses du pays, et ce en contrepartie de fonds de développement ou d’investissements générant de nouvelles dettes, de nouvelles compromissions et une nouvelle forme d’asservissement pour le siècle à venir. En 2010, un rapport de la Banque mondiale estimait que deux tiers des Malgaches vivaient en dessous du seuil de pauvreté soit avec moins de un dollar par jour. Sur la terre… — La valorisation financière des biens. … comme au ciel

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