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Hernán Cortés

Hernán Cortés
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sources[modifier | modifier le code] Témoignages directs[modifier | modifier le code] Tous les témoignages de la conquête de l'empire aztèque évoquent les actions, les décisions et les motivations d'Hernán Cortés. Cependant, ces sources sont contradictoires, leurs auteurs ayant eu des intérêts personnels à faire valoir auprès de la couronne espagnole dans le cadre des démêlés judiciaires qui ont opposé Cortés à Diego Velázquez de Cuéllar. Une des sources considérées comme les plus précises et les plus fiables par les historiens est l'Histoire véridique de la conquête de la Nouvelle-Espagne de Bernal Díaz del Castillo. Historiographie[modifier | modifier le code] De Medellín à Cuba[modifier | modifier le code] Famille et contexte[modifier | modifier le code] Le château de Medellín. La mère de Cortés se nomme Catalina Pizarro Altamirano. L'arbre généalogique d'Hernán Cortés est, pour ses ascendants immédiats[6] : Jeunesse[modifier | modifier le code] Related:  ...Histoire 2

File:Diego duran Historia de los indios.jpg Hernan Cortés Conquérant espagnol (Medellín, province de Badajoz, Espagne, v. 1485 - Castilleja de la Cuesta, près de Séville, 1547). Hernán Cortés était de famille pauvre et originaire d'une province espagnole déshéritée. Il partit dès 1504 - il n'avait pas 20 ans - faire fortune "aux Indes". Il servit à Saint Domingue, alors administrée par la famille des Colomb, puis fit partie de l'expédition envoyée à Cuba sous la direction de Diego Velázquez de León. Il s'y distingua, et Velázquez le détacha auprès de Grijalva, un de ses lieutenants, qui avait pris possession des côtes du Yucatán. De là, en 1519, Grijalva envoya Cortés découvrir et conquérir le pays des Aztèques, l'Anahuac, autour de la ville de Mexico, dont il avait entendu vanter les richesses. La conquête des Aztèques Le dévouement de Cortés à sa mission et sa fidélité au roi d'Espagne furent mal récompensés. 1485 - Naissance d'Hernán Cortés 1519 - Il colonise le Mexique 1547 - Il meurt à l'age de 62 ans

Institution de la religion chrétienne L’Institution de la religion chrétienne est un traité de théologie écrit par Jean Calvin. Ce manuel est devenu la somme de la théologie réformée de la réforme. Une épître de Calvin adressée au roi François Ier précède l'ouvrage. Calvin le publie en latin en 1536 sous le titre Christianae religionis institutio, totam fere pietatis summam et quicquid est in doctrina salutis cognitu necessarium complectens..., change son titre en Institutio christianae religionis nunc verè demùm suo titulo respondens en 1539[1], puis le traduit lui-même en français en 1541. Calvin remanie son ouvrage à plusieurs reprises en l'augmentant à chaque fois. Présentation de l'ouvrage[modifier | modifier le code] Un corps de doctrine[modifier | modifier le code] Cette œuvre développe de façon systématique la théologie de la Réforme protestante développée par Calvin. Les réformateurs recherchent la vérité dans la Bible, qui est la source de l'Église. Calvin et la langue française[modifier | modifier le code]

Premier congrès des peuples d'Orient Le premier congrès des peuples d'Orient (aussi appelé congrès de Bakou) est un sommet qui se tint du 1er au 8 septembre 1920 dans la ville de Bakou. Réuni par l'Internationale communiste, il rassembla environ 2 000 délégués de différents peuples d'Orient. Contexte[modifier | modifier le code] La réunion d'un Congrès des peuples de l'Orient[modifier | modifier le code] En novembre 1917, les bolcheviks se sont emparés du pouvoir en Russie, mais trois ans de guerre civile et plusieurs échecs des révolutions communistes (en Hongrie et en Allemagne notamment) ont fragilisé le régime. « Il se tint à une époque et dans un lieu où s'affrontaient les intérêts des nationalistes et des révolutionnaires orientaux, des peuples du Caucase, de l'Iran et d'Anatolie, des Alliés sortis victorieux de la Première Guerre mondiale et du pouvoir soviétique[2]. » Le choix du lieu de réunion[modifier | modifier le code] Une propagande intense[modifier | modifier le code] Participants[modifier | modifier le code] M.

Hernán Cortés Pour les articles homonymes, voir Cortés. De Medellín à Cuba Famille et contexte C'est aussi le cousin de Francisco Pizarro au deuxième degré. La mère de Cortés se nomme Catalina Pizarro Altamirano. L'arbre généalogique d'Hernán Cortés est, pour ses ascendants immédiats[7] : Jeunesse Hernán Cortés est fils unique. La légende veut que Cortés ait été un enfant chétif né dans une famille noble, mais pauvre. À l'âge de 14 ans[11], ses parents l'envoient à Salamanque afin qu'il s'instruise auprès de son oncle Francisco Nuñez de Valera, grammairien. De retour à Medellín, au grand dam de ses parents, Cortés opte pour la carrière militaire. À son arrivée sur l'île, Cortés reçoit des terres et des Indiens, afin de développer la colonisation. De la vie cubaine à l’aventure mexicaine Cortés, futur conquistador de Mexico En 1511, Cortés accompagne Diego Velázquez de Cuéllar à Cuba, où il participe à la conquête de l'île. La conquête du Mexique Carte de la route de Cortés jusqu'à Mexico-Tenochtitlan. Notes

Hernán Cortés Hernán Cortés de Monroy y Pizarro, 1st Marquis of the Valley of Oaxaca (Spanish pronunciation: [erˈnaŋ korˈtes ðe monˈroj i piˈθaro]; 1485 – December 2, 1547) was a Spanish Conquistador who led an expedition that caused the fall of the Aztec Empire and brought large portions of mainland Mexico under the rule of the King of Castile in the early 16th century. Cortés was part of the generation of Spanish colonizers who began the first phase of the Spanish colonization of the Americas. Born in Medellín, Spain, to a family of lesser nobility, Cortés chose to pursue a livelihood in the New World. Arriving on the continent, Cortés executed a successful strategy of allying with some indigenous people against others. Because of the controversial undertakings of Cortés and the scarcity of reliable sources of information about him, it has become difficult to assert anything definitive about his personality and motivations. Name Early life Early career in the New World Arrival Cuba (1511–1518) Children

Guillaume Tell Guillaume Tell.Gravure extraite de la Cosmographia Universalis de Sebastian Münster, 1554. Vue d'artiste de Guillaume Tell dans Portraits et Vies des Hommes illustres, 1584. Guillaume Tell (en allemand Wilhelm Tell) est un héros légendaire des mythes fondateurs de la Suisse[1]. Son histoire est évoquée pour la première fois dans le livre blanc de Sarnen et dans le Tellenlied. Le récit a donné lieu à de nombreuses controverses historiques portant sur son authenticité. Le récit traditionnel[modifier | modifier le code] Gessler lui ordonne alors de percer d'un carreau d'arbalète une pomme posée sur la tête de son propre fils[6]. Or, Gessler, ayant vu Tell dissimuler un second carreau sous sa chemise, lui en demande la raison. Selon Aegidius Tschudi, cet épisode se produit deux mois avant « l'incendie des châteaux » (1er janvier 1308), un autre épisode légendaire qui marque la rébellion des Suisses contre les ducs d'Autriche. Variantes[modifier | modifier le code]

Jacques Duclos Il est à plusieurs reprises député entre 1926 et 1958 et sénateur de 1959 à sa mort. Il se présente à l'élection présidentielle de 1969, où il arrive en troisième position du premier tour, avec 21,3 % des suffrages exprimés. Il s’agit du meilleur score obtenu par un candidat communiste à une élection présidentielle en France. Situation personnelle[modifier | modifier le code] Origines[modifier | modifier le code] Jacques Duclos est le second fils d'Antoine Duclos, artisan-charpentier qui tenait aussi une auberge[1] et d'une mère couturière. La fratrie compte un frère cadet, Louis. Formation[modifier | modifier le code] Il entre à l'âge de cinq ans à l'école, où l'instituteur interdit à ses élèves de parler la langue occitane pendant les récréations. Carrière professionnelle[modifier | modifier le code] En octobre 1912, il quitte les Pyrénées pour se rendre à Paris afin d’exercer le métier d'ouvrier-pâtissier. Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Grandes découvertes Hernán Cortès, Conquérant du Mexique Leur arrivée n'est pas passée inaperçue. On les a signalé à l'Empereur aztèque Moctézuma II. Mais, sur les plateaux de l'Anáhuac, au centre du Mexique, c'est un empire de 10 millions d'Aztèques qu'il va devoir affronter. Par une curieuse coïncidence, il arrive au bon moment : une comète est apparue dans le ciel et les présages se multiplient. Dragonnades Le « dragon missionnaire » : « Qui peut me résister est bien fort ». Dans les faits, ce ne sont pas toujours des dragons qui effectuèrent les dragonnades antiprotestantes. Chronologie des dragonnades[modifier | modifier le code] 1681-1686[modifier | modifier le code] 1744-1759[modifier | modifier le code] du 20 décembre 1744 au 1er mai 1745 : dragonnades à Millau et dans le Rouergue.1758 : dragonnades en Béarn (Orthez, Salies et Bellocq) et en Guyenne (Sainte-Foy, Bregerac, Tonneins et Clairac), à Jonzac, le Louis, Segonzac.1759 : dragonnades à Chez-Piet. Nombre de conversions obtenues (années 1680)[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Les « missions bottées » de Louvois (1681)[modifier | modifier le code] René de Marillac, l'intendant du Poitou, ordonna de contrôler le rôle des tailles et de marquer les réformés dans la marge afin de les « grever », tant pour l'impôt que pour le logement des gens de guerre. Les dragonnades de Louis XV[modifier | modifier le code]

Punique Sur les autres projets Wikimedia : punique, sur le Wiktionnaire L'adjectif punique qualifie ce qui a trait aux Carthaginois de l'Antiquité. Il vient du latin punicus ou poenicus (même sens), dérivé du nom Poenus (« Carthaginois »), lui-même issu du grec Φοῖνιξ / Phoînix qui signifiait à la fois « Phénicien » et « Carthaginois ». Sciences et techniques[modifier | modifier le code] Sciences humaines et sociales[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Les guerres gréco-puniques (600-265 av. Linguistique[modifier | modifier le code] Le punique, ou phénico-punique, est une variété du phénicien, une langue sémitique éteinte. Littérature[modifier | modifier le code]

La route de Cortés : un chemin de découverte et de conquête du dossier « Le Mexique, 3000 ans d’histoire » - Pour mémoire - CNDP Niveau collège 5e Introduction La conquête du continent américain s’est faite selon deux axes : l’axe mésoaméricain avec la conquête de l’empire aztèque par Hernan Cortés (1519-1521) et l’axe andin avec la conquête de l’empire inca par Francisco Pizarro (1532-1533). l’exploration des côtes du Mexique ancien de 1517 à 1519 ; la marche des conquistadors menés par Cortés entre le golfe du Mexique et le plateau central de la vallée de Mexico en 1519, appelée la « route de Cortés » ; la « coexistence pacifique » entre Espagnols et Aztèques à Mexico-Tenochtitlan de 1519 à 1520, Cortés étant l’invité de Moctezuma ; le siège et la prise de la ville en 1521. La « route de Cortés » a une dimension spatiale et chronologique. Enfin, au moment où les monarchies européennes se divisent intérieurement sous le coup de la Réforme, la péninsule ibérique, tout juste reconquise, n’a jamais été aussi puissante : le XVIe siècle (jusqu’en 1630) est le Siècle d’or de l’Espagne. Cartographie de la route de Cortés

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