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Karachi, l'autre affaire qui affole l'Elysée

Karachigate, IRL mais pas fable L’air est à la traque de la corruption. Des éditorialistes et quelques politiques y dénoncent "une dérive populiste" alors que, jour après jour, les uns et les autres, par leur refus d'énoncer les faits ou les énonçant hiératiquement ont contribué à nourrir ce qui les fait frémir. L'exigence citoyenne de transparence n'est que le contrecoup logique d’une crise qui s’enlise et d’une violente rigueur qui s’installe en litotes. Le 30 juin 2010, Edwy Plenel, le rédacteur en chef de Médiapart, conviait les lecteurs à la maison des métallos pour une conférence sur le "karachigate" réunissant, entre autres, les journalistes ayant sorti l'affaire, le député rapporteur de la mission d'information, l'avocat et une représentante des familles des victimes. C'est également un sac de nœuds bien plus lourd de conséquences : 11 ouvriers de la DCN sont morts à Karachi dans un attentat au bus piégé et elle implique directement le premier des français. 1. « - On n'y a pas cru au début. 2. 3. B. B. B.

Rio Sex Comedy, extrait 1 e début de cette scène figure dans le montage final du film, mais ce qui se passe ensuite dans la chambre de l’ambassadeur américain au Brésil (joué par Bill Pullman) est inédit. La confrontation entre diplomates américains et des avocats de l’industrie pétrolière brésilienne vient du scénario. L’échange qui suit avec Patrick Breen en aide de camp est complétement improvisé, invention pur de deux grands comédiens de Hollywood qui sont venus à Rio pour faire, en toute liberté, du anti-Hollywood. Ce mélange – et ses contradictions– expriment l’essence du film même. Si j’ai la chance de réunir des acteurs aussi variés que Bill et Patrick, Charlotte Rampling, Irène Jacob, Jean-Marc Roulot, Jérôme Kircher et Mary Sheila, aussi bien que des techniciens français et brésiliens de grand talent et également engagés politiquement, c’était avec la promesse de pouvoir travailler dans une liberté artistique et économique sans concessions. documentaire à l’intérieur d’une fiction. Jonathan Nossiter

Reportage vidéo web - le WebReportage GEO : Geo.fr Karachi, affabulations politiciennes en eaux troubles « Piratage “J’ai, il y a quelques semaines rencontré un haut responsable de DCNS. Il m’a mis sous le nez un chiffrage de la mort de mon père pour la somme de 674 000€. Ce chiffrage était noté sur une feuille qu’il m’a présentée. Un peu plus en avant dans la discussion, alors que la feuille était toujours sur la table, l’homme tapotant du doigt m’a demandé “que peut on faire pour vous”. J’ai certes trouvé une certaine ambiguité dans ces propos… Maladresse ou proposition indécente, rien de certain. Toujours est-il que je lui ai simplement répondu que pour m’aider DCNS pouvait vider ses “fonds de tiroirs” et laisser travailler la justice” La fille d’une victime de l’attentat de Karachi, le 30 juin 2010 à Paris lors d’une conférence à la maison des métallos. La France est (devenue) un pays formidable. Trahisons et ambitions Une campagne présidentielle coûte horriblement cher. Espèces sonnantes et trébuchantes Le donateur balladurien est réputé prodigue. Z. Tout ceci n’est qu’une fable. Like this:

Notre débat sur Karachi, l'autre affaire qui affole l'Elysée C'était le 30 juin dernier. Nous avons mis un peu de temps à confectionner ce montage vidéo, mais voilà un résumé des deux heures du débat organisé à la Maison des Métallos à Paris autour de l'affaire de Karachi. Où avocat, journalistes, fille de victime et député racontent les obstacles qui se dressent devant eux dès qu'il s'agit de comprendre pourquoi, le 8 mai 2002, quinze personnes dont onze Français sont morts dans un attentat, à Karachi. Pour retrouver la page webenquête de Mediapart et comprendre l'affaire et ses enjeux, cliquez ici. Vous y trouverez un entretien vidéo des deux journalistes, une galerie de portraits des hommes de l'ombre (agents secret, intermédiaires...), la bio-express des hommes politiques intervenus dans ce contrat, et l'ensemble des documents clés et des articles de Mediapart. Et ci-dessous, le compte-rendu publié dès le lendemain de notre rencontre publique. «Un calibre tout à fait remarquable», «un travail de fourmi». Karachi, l'enquête «interdite»

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