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Privacy International

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Ils cherchent “les trucs bizarres qu’il y a dans vos téléphones” : rencontre avec des traqueurs de trackers Tout a commencé par une phrase lue dans un livre ... Finalement, des recherches extraordinaires dues à l'association à but non lucratif française Exodus Privacy et à Yale Privacy Lab documentèrent la prolifération exponentielle de logiciels de tracking. Ca, c’est la phrase. A priori, pas de quoi se taper le cul par terre. Sauf que c’est la grande Shoshana Zuboff qui l’a écrite, à la page 191 de L’Age du capitalisme de surveillance, son extraordinaire livre qui vient de sortir en français. Donc, au détour d’une phrase, Zuboff parle des “recherches extraordinaires” d’une association française dont je n’ai jamais entendu parler : Exodus Privacy.

« Source sûre », une plate-forme sécurisée pour lanceurs d'alerte « Le Monde », « La Libre Belgique », « Le Soir de Bruxelles » et la RTBF lancent un système d'envoi sécurisé de documents à leurs journalistes. En Europe, la protection des sources des journalistes est garantie par des lois et des conventions internationales, mais en pratique, elle est souvent bafouée, y compris par les autorités. En plus des protections juridiques, les lanceurs d'alerte, qui souhaitent généralement rester anonymes pour éviter d'éventuelles représailles, doivent aussi être aidés concrètement par les organes de presse auxquels ils s'adressent. Dans ce but, quatre médias francophones, Le Monde, La Libre Belgique, Le Soir de Bruxelles et la RTBF (radio-télévision belge), ont créé ensemble un site Internet sécurisé baptisé Source sûre. Le site Source sûre

Facebook is watching you Des études mentionnées dans The Guardian Weekly en mars 2009 suggèrent qu’un quart des habitants du Royaume-Uni souffrent d’une forme de paranoïa. L’accroissement de la maladie aurait quelque chose à voir avec les effets conjugués de l’urbanisation, de la mondialisation, des migrations, des médias et de la disparité des richesses. La logique voudrait par conséquent que la proportion de ceux qui parmi nous souffrent de paranoïa augmente à mesure que nous nous dirigeons vers une forme complexe de surveillance, rendue possible par l’utilisation généralisée des « réseaux sociaux » comme Facebook. Et, ainsi que nos propres recherches en Suède et d’autres études le montrent, nous sommes nombreux à prendre part à ce nouveau genre de contrôle sur une base volontaire, souvent sans être conscients de son ampleur.

Détectez les pisteurs sur Android avec exodus-standalone Des bibliothèques tierces appelées pisteurs sont souvent présentes dans les applications mobiles, parfois au dépit des législations en vigueur, de la sécurité de ces applications ou des droits des personnes les utilisant. Voyons ensemble ces problématiques plus en détails et comment s’en prémunir, en particulier sur Android. Qu’est-ce qu’un pisteur et quels problèmes posent-ils ? “Pisteur”, “traceur”, “traqueur”, plusieurs termes peuvent être utilisés pour parler de la même chose. Commençons par définir ce que nous allons appeler un pisteur dans le reste de cet article. Nous nous baserons sur la définition de l’association française à but non-lucratif Exodus Privacy.

En Suède, on construit un « Internet » non-polluant Chaque seconde, 29 000 Go d’informations sont publiés dans le monde. L’hébergement de ce « big data » qui croit à une vitesse vertigineuse pose une véritable question environnementale. Nous mêmes, en écrivant ces lignes, nous créons une micro-pollution qui s’ajoute à un océan d’octets conservés dans des centrales à serveurs. En suède, on se questionne sur ce problème et on trouve des solutions… Les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) ont, depuis de nombreuses années, transformé en profondeur nos échanges et le partage de l’information à l’échelle mondiale. On pourrait imaginer que cette dématérialisation puisse engendrer une diminution de notre empreinte écologique, mais en réalité, c’est plutôt le contraire.

Le fichier des « gens honnêtes » repasse à l’Assemblée Les députés débattront, ce mardi 13 décembre en fin d'après-midi et dans la nuit, de la création du "fichier des gens honnêtes" (sic), du nom donné par le rapporteur (UMP) de la proposition de loi relative à la protection de l'identité. L'objectif affiché est de lutter contre l'usurpation d'identité, et donc de ficher l'état civil, l'adresse, la taille et la couleur des yeux, les empreintes digitales et la photographie de 45 à 60 millions de "gens honnêtes". Le sujet est "tendance" : l'usurpation d'identité en ligne est en effet devenue un délit, en janvier, à l'occasion de l'adoption de la LOPPSI2.

DataHarvest 2015 : quelques exemples de projets de datajournalisme Données librement accessibles ou cachées et agrégées peu à peu par les journalistes ; révélations de fraude fiscale, de détournement de fonds ou bien recherche d’informations sur la guerre contre l’Etat islamique ; collaboration internationale ou travail en petite équipe… Le « DataHarvest », la conférence européenne de datajournalisme qui s’est tenue les 8, 9 et 10 mai, a été l’occasion de présenter la diversité des acteurs et des thématiques abordées par ce genre journalistique qui connaît un engouement croissant. Voici quelques exemples de projets récents abordés lors des conférences. Enquête sur la Banque mondiale… en utilisant ses propres données Lutte contre les usurpations d'identité: L'Assemblée nationale vote définitivement la proposition de loi ce mardi Le Parlement adoptera définitivement, ce mardi, par un vote de l'Assemblée, la proposition de loi visant à lutter contre les usurpations d'identité en instaurant un mégafichier des données biométriques de tous les Français, et dont les députés ont débattu fin février. L'objet principal de cette proposition de loi est la mise en place d'une carte d'identité biométrique qui sera adossée à un fichier centralisé afin de lutter contre le phénomène d'usurpations d'identité qui touchent plusieurs milliers de personnes par an. Au cours de la discussion, la cinquième que l'Assemblée consacrait au sujet, Eric Ciotti (UMP) a cité un chiffre de l'Observatoire national de la délinquance donnant plus de 52.000 signalements d'usurpation d'identité entre 2005 et 2010, soit, a-t-il dit, une augmentation de 110% en 5 ans. Une carte avec deux puces «Lien fort» pour l'Assemblée, risques pour le Sénat

Le « vrai » visage des « gens honnêtes » MaJ, 06/03/2012, 16h56 : par 285 voix pour, 173 contre, sur 458 suffrages exprimés, le fichage des "gens honnêtes" a été adopté à l'Assemblée. Jean-Jacques Urvoas (PS) a déclaré qu'il allait dès demain déposer un recours au Conseil Constitutionnel. La proposition de loi sur la protection de l'identité, qui entraînera la création d'un de fichier de 60M de "gens honnêtes" et qui sera adoptée ce mardi 6 mars 2012 à l'Assemblée, dernier jour de la session parlementaire, permettra aussi de déployer des systèmes de reconnaissance biométrique faciale, alors même que Claude Guéant, entre autres partisans de ce projet, avaient pourtant déclaré avoir interdit cette possibilité. C'est en tout cas l'analyse que fait le Centre d'Etudes sur la Citoyenneté, l'Informatisation et les Libertés (Cecil), créé à l’initiative d’une dizaine d’universitaires spécialistes de ces questions, dans un article au titre explicite. Big Brother takes the Rotterdam tram par tvnportal

Le logiciel espion vendu à Kadhafi devait "chasser le pédophile", pas l'opposant - FTVi C'est un logiciel conçu pour "chasser le pédophile, le terroriste, le narcotrafiquant" qui a finalement servi à traquer l'oppposant politique libyen. En 2008, la société française Amesys livre au régime de Mouammar Kadhafi un système de surveillance et d'interception des communications électroniques et numériques. Baptisé Eagle, il a permis à la Libye d'espionner les e-mails de sept personnalités de l'opposition en exil, résidant au Royaume-Uni ou aux Etats-Unis. Des révélations faites par le site d'information Owni, le 1er décembre, en partenariat avec Wikileaks. Pour la première fois, l'un des cadres de cette filiale du groupe Bull s'explique.

La CNIL constate un recul du respect de la vie privée sur les moteurs de recherche La CNIL est sortie de sa réserve. Cela aura pris plusieurs semaines cependant. L’autorité française vient en effet de réagir à l’annonce de Yahoo de rallonger considérablement la durée de conservation des logs sur son moteur, passant de 3 à 18 mois. C’est plus que Google, pourtant jusqu’à présent le plus mauvais élève parmi les moteurs. Dans une note publiée sur son site, la « CNIL regrette ce recul en termes de protection de la vie privée et de traçage des individus. » Les français et la vie privée sur le Net : un "paradoxe de la co Microsoft a dévoilé ce matin les résultats de la première édition de son baromètre « Enjeux Numériques ». L'étude, consacrée à la façon dont les Français perçoivent le respect de la vie privée sur Internet, dévoile une inquiétude évidente, mais également une désinvolture certaine. Ainsi, si 75% des Français s'avouent inquiets concernant la façon dont leur vie privée est divulguée sur Internet, 48% d'entre eux considèrent qu'il est néanmoins facile de contrôler les informations personnelles qui transitent sur le Web. Ce pourcentage monte même jusqu'à 70% chez les 15-24 ans.

Vie privée : 75% des Français inquiets du traitement de leurs do Les Français se méfient de leurs informations sur Internet mais les vérifient peu. C’est le résultat du premier volet du baromètre « Enjeux numériques » de Microsoft et TNS Sofres portant sur la vie privée des Français. L’enquête a été menée sur 1 200 personnes dont 200 entre 15 et 17 ans 1 000 de 18 ans, fin avril. Les personnes interrogées craignent que les pirates (79%), les inconnus (75%), les entreprises (61%), les pouvoirs publics (53%), les collègues de travail (35%) et enfin la famille (15%) accèdent à leurs données personnelles. Près de la moitié (47%) estiment qu’il est facile de gérer les informations écrites sur soi sur Internet (70% chez les 15-24 ans) et 48% de gérer ses informations de navigation.

Les internautes sociaux se livrent encore trop sur les réseaux Les membres des réseaux sociaux n'ont pas conscience des risques qu'ils prennent en dévoilant leur identité sur les plates-formes collaboratives. Et leur imprudence a de lourdes conséquences. Sur les réseaux sociaux, les internautes se montrent encore trop peu prudents en ce qui concerne leurs informations personnelles, révèle l'étude annuelle du Consumer Reports. Plus d'un tiers des internautes sociaux publient en ligne leur date de naissance (jour, mois et année). 20% partagent sur les réseaux sociaux les photographies de leurs enfants, en mentionnant leurs noms dans la plupart des cas.

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