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Quatre nouveaux leviers marketing pour séduire la génération Y

Quatre nouveaux leviers marketing pour séduire la génération Y
Séduire la génération Y, ces jeunes adultes de 18 à 35 ans n'est pas une sinécure ! "Pour les faire sortir de chez eux et de derrière leur écran il faut une vraie bonne raison", confie Martine Ghnassia, directrice du planning stratégique et de la communcation à l'Ifop. Car la génération Y a tendance à vivre depuis chez elle : avec un écran connecté on peut presque tout faire depuis chez soi. Symptômatique : l'événement Redbull Stratos a été suivi, liké, partagé plusieurs millions de fois sans sortir de chez soi et de sa bulle connectée ! Quelques pistes pour séduire cette "cible" réputée particulièrement difficile. Adopter leurs icônes : "Montrez à la cible que la marque a bien compris l'univers cultutrel dans lequel le jeune adulte était baigné", préconise Martine Ghnassia. Autre exemple Sephora aux Etats-Unis a lancé une ligne de maquillage inspiré du personnage Hello Kitty. Surfer sur leurs gestuelles spécifiques. Se caler sur leur rythme de vie rapide instantané où tout se superpose.

"La génération Y est prête à adopter votre marque, mais à ses propres conditions" Les baby-boomers peuvent dépenser beaucoup d'argent, mais leurs enfants constitueront la plus grande génération de consommateurs dans l'histoire. La génération Y dépensera plus de 200 milliards de dollars par an à compter de 2017 et 10 trillions de dollars dans leur vie. Cependant, les marques mettant tout en œuvre pour attirer l'attention de ces jeunes, comment renforcer sa notoriété auprès de la génération sociale la plus mobile et la plus férue de technologie de l'histoire ? La réponse consiste à proposer une expérience unique en son genre qu'ils ne voudront pas laisser passer. Cela signifie qu’une marque doit créer du contenu attrayant que ces jeunes consommeront et partageront avec leurs amis. Chacun sait qu'un mélange de magie, de planification et d'exécution est nécessaire pour offrir une expérience inoubliable. Toutefois, le fait que ces jeunes sont toujours connectés ne signifie pas qu'ils vous écoutent. Laissez les experts exprimer leurs points de vue

Mais qui sont les "shoppeuses" ? Unibail-Rodamco1 a lancé, en partenariat avec Ipsos, un Observatoire du Shopping pour mieux comprendre les shoppeuses. Le shopping est défini comme le fait de se rendre en magasin pour se promener ou pour faire des achats, en dehors des courses alimentaires courantes. " En créant ce 1er Observatoire du Shopping, nous avons souhaité mieux comprendre nos clientes, leurs comportements en matière de shopping, leurs aspirations et ce, afin de leur proposer des innovations au plus proche de leurs besoins et de leurs envies. Le plaisir quand même 72% des Françaises reconnaissent qu'elles " se sentent bien " quand elles font du shopping. Aujourd'hui, ce plaisir s'obtient majoritairement sous trois conditions : Enfin, les Françaises accordent un crédit plaisir plus important aux réseaux physiques qu'au circuit Internet seul. 33% d'entre elles désignent les centres commerciaux comme étant leur lieu de shopping préféré. Les 7 familles de shoppeuses La perfectionniste Le shopping, ça se travaille !

Les jeunes diplômés rament aussi pour trouver un job EcoDigest71% des diplômés d'écoles de commerce ou d'ingénieurs sont en poste. 71 % Crédit Photo : Shutterstock 71 % 71% des diplômés d'écoles de commerce ou d'ingénieurs sont en poste. L'enquête porte effectivement sur les diplômés des écoles d'ingénieurs, d'écoles de commerce, et de masters universitaires. Des profils qu'on pense habituellement plutôt protégés par le chômage et courtisés par les entreprises. En cette période de rétablissement très lent de l'économie en France, il faut croire que personne n'est à l'abri des difficultés. Recherche d'emploi L'Apec indique ainsi que 62% des jeunes ont trouvé un poste un an après l'obtention de leur diplôme. 28% cherchent encore, tandis que les 10% qui sortent d'un CDD sont en quête d'un autre emploi. Il y a plus inquiétant encore. À quoi attribuer cette situation ? Vous avez aimé cet article ?

Etude Crédoc : les habitudes de consommation des Français en matière de vente à distance et sur internet Communiqué de presse Lille, le 23 octobre 2012 A l’occasion du salon VAD e-commerce qui se tient à Lille (du 23 au 25 octobre 2012), la Fevad, La Poste, Reed Exhibitions et la CCI Grand Lille ont fait réaliser par le Crédoc une étude sur les Français qui achètent à distance. L’intérêt de cette étude, réalisée tous les deux ans depuis 2004, réside notamment dans le fait qu’elle porte sur l’ensemble des Français et non uniquement sur les internautes. > Voir la présentation Internet, catalogue, téléphone : 69% des Français achètent à distance Dans un contexte de crise persistante, alors que le pouvoir d’achat par ménage risque de baisser pour la 3ème année consécutive, le nombre de Français qui achètent à distance ne fléchit pas. 69% des Français ont acheté à distance au cours des 12 derniers mois soit 33,8 millions de personnes. La part des Français achetant en ligne continue de croître alors que le nombre d’acheteurs sur internet mobile a doublé en deux ans Méthodologie : Contacts Presse :

Le shopping côté homme 11 juin 2014 - Pour la deuxième année consécutive, Unibail-Rodamco publie les résultats de son Observatoire du Shopping, une étude qui suit les évolutions des pratiques et des attentes des Français en matière de shopping. La vague 2014 de l’Observatoire s’intéresse plus particulièrement aux hommes, une population peu étudiée sous l’angle du shopping, un territoire envisagé traditionnellement du côté des femmes. Les hommes de 2014 sont-ils aussi impliqués que les femmes dans le shopping ? Quelles sont leurs principales attentes ? Premier enseignement de la vague 2014 : les hommes fréquentent autant que les femmes les lieux de shopping, centres commerciaux en tête. En ce qui concerne leurs préférences d’achat, les priorités qu’ils expriment sont souvent proches de celles des femmes. Une autre dimension les rapproche des femmes : l’achat d’impulsion. Car une spécificité du shopping masculin réside précisément dans l’attachement que les hommes expriment à l’égard des valeurs de maîtrise.

Génération Z XEnvoyer cet article par e-mail Génération Z XEnvoyer cet article par e-mailGénération Z Management Les générations se suivent et ne se ressemblent pas Lucides mais idéalistes, en quête de liberté mais aussi de réassurance, solidaires mais sélectifs, plus à l'aise dans l'échange virtuel que dans le contact direct… La génération Z, ces natifs des années 1990, offre un portrait fait d'aspirations contradictoires et de valeurs paradoxales. Celle d'individus gouvernés par l'affect, dans l'entreprise comme ailleurs. Des mois, des années même que l'on nous parle de la génération Y, que des manuels de RH et des coachs en management décryptent leur mode de fonctionnement, leurs valeurs, leurs attentes. Plus jeune, cela va sans dire, puisqu'il s'agit des natifs des années 1991-1999, et surtout, plus complexe. “Ils sont extrêmement informés, conscients des réalités de l'entreprise et du monde du travail tout autant que des risques encourus par la planète. Pour Nathalie Damery, le risque est réel.

Commerce ubiquitaire; marketing de digitalisation Le commerce ubiquitaire : nouvelle manne pour le commerce et le e-commerce ?Article 1 : Vers un marketing de la digitalisation. › Le commerce ubiquitaire ? Qu’est-ce que c’est ? On connait le e-commerce (commerce via Internet), on connait le M-commerce (service via le mobile), voilà maintenant le U-commerce ! Grâce aux technologies de plus en plus performantes : les technologies sans contact comme le Bluetooth ou le wi-fi : qui permettent d’établir une connexion avec l’appareil mobile sur une large portée,la technologie sans contact NFC et le code 2D : qui permettent un échange de contenu..les marques multiplient les points de contacts avec les clients. Téléphones mobiles, affiches publicitaires, vitrines de magasins…toutes les connexions sont bonnes pour ne pas perdre le contact avec le client. De la science fiction ? Cette nouvelle approche, déjà bien développée au Japon, se nomme « L’U-Retail » ou « commerce ubiquitaire » ou encore « intelligence ambiante ». Et cela va même plus loin.

Les comportements d'achat du nouveau consommateur, un défi pour les marques Les fondements de cette nouvelle ère ? Un consommateur malin, éduqué, dont le parcours d’achat commence souvent en ligne, pour finir dans un magasin physique. Un consommateur qui, avant d’accéder au produit, synchronisera sa réflexion sur du multi-device : PC, Mobile, Tablette, médias classiques, articles de presse, bouche à oreille… avis consommateurs. Un nuage de sources qu’il maîtrise, lui rendant clair cette dimension multicanal, et….opaque pour le marqueteur.Ainsi, en dépit de ces faits, le consommateur s’est retrouvé en périphérie des réflexions marketing des marques, dont les efforts se sont concentrés sur les stratégies produits «push» on-line. Les mentalités sont pourtant en train de changer.La vérité est bien dans la création de valeur ajoutée entre le on-line & le off-line : l’ère est aujourd’hui à une combinaison habile du «click», et du «mortar»... Nouveaux comportements d’achat =Multiplicité de points de contact L’acheteur privilégie encore les achats en boutique

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