AVC - Accident vasculaire cérébral – Le site de l’attaque cérébrale Les handicaps invisibles | Rue des facs Question : Je souhaite obtenir des documents (ouvrages, articles, mémoires, études) sur les handicaps invisibles (dyspraxie, dyslexie, tdah, syndrome d’ehlers danlos, etc.) et leurs répercussions, tant chez l’enfant que chez l’adulte. Vous remerciant par avance. Réponse : Bonjour, Vous recherchez des documents (ouvrages, articles, mémoires, études) sur les handicaps invisibles (dyspraxie, dyslexie, tdah, syndrome d’Ehlers-Danlos, etc.) et leurs répercussions, tant chez l’enfant que chez l’adulte. 1. La recherche dans l’index « Tous les mots » sur l’expression « handicap* invisible* » renvoie 8 réponses. L’écoute des blessures invisibles : comment la prévention du handicap psychique permet de se réapproprier son histoire et de s’inscrire dans la vie sociale / Michèle Vitry. – Paris : L’Harmattan, 2003. Une recherche sur le terme « dyspraxie* » renvoie 5 résultats, dont par exemple les ouvrages : Une recherche sur le terme « tdah » renvoie 5 résultats dont par exemple les ouvrages : 2. 3.
Après un léger AVC il faut être attentif à la dépression et aux troubles de la vision Lundi, 03 Octobre 2011 10:24 Communiqué Les personnes victimes d'un AVC léger tout en ne paraissant pas avoir été affectés peuvent éprouver des séquelles insidieuses telles que la dépression, les troubles de la vision et la difficulté à réfléchir, selon une étude diffusée aujourd'hui au Congrès canadien de l'AVC. L'étude propose l'adoption de nouvelles lignes directrices pour les soins et la prise en charge des accidents vasculaires cérébraux légers. Ces AVC comptent pour les deux tiers des AVC et donnent généralement lieu à un séjour à l'hôpital allant de un à cinq jours. Coauteur de l'étude, Annie Rochette, PhD, de l'Université de Montréal, a mené des entrevues avec son équipe auprès de 200 personnes au Québec, en Ontario et en Alberta, au cours des deux premières semaines après leur AVC. Les participants à l'étude sont généralement plus jeunes que les personnes avec AVC grave. Près du quart des cas d'AVC léger ne sont vus qu'à l'urgence. · la tristesse · la fatigue ou la perte d'énergie
Le vieillissement des personnes handicapées. - Moteurline En ligne : 28 septembre 2012 par CNSA. Septembre 2012. Le vieillissement des personnes handicapées. Document format word, 12 pages. Atelier n° 5, dans le cadre des : Deuxièmes rencontres scientifiques de la CNSA Aide à l’autonomie et parcours de vie Synthèse du colloque des 15 et 16 février 2012. CNSA, septembre 2012, pdf, 64 pages. Retranscriptions Vidéos Site dédié. Site éditeur : www.cnsa.fr. AVC - Les émotions après un AVC Les émotions après un AVC Un AVC ne touche pas seulement votre cerveau et votre corps. Il a aussi un effet sur vos émotions. Et ces émotions peuvent toucher tout votre entourage - les membres de votre famille, vos amis et les gens qui prennent soin de vous. Au cours des jours et des semaines suivant un AVC, vous aurez peut-être l’impression d’être pris dans un tourbillon d’émotions contradictoires - en colère un instant et triste l’instant suivant. Il est normal d’être en état de choc après un AVC. Dans certains cas, cette tempête d’émotions s’estompe moins vite que vous ne le souhaiteriez. Toutes ces émotions et ces sentiments incitent parfois les gens à se replier sur eux-mêmes. Qu’est-ce qu’une dépression clinique? Il est normal d’avoir un sentiment de tristesse et de perte après un AVC, mais il arrive que le survivant d’un AVC souffre d’une vraie dépression clinique. Mais la dépression se soigne. Elle nuit à la guérison physique et psychologique. Signes physiques Attitudes Émotions
Le regard des autres « Did : le magazine Le livre Le regard des autres a été publié aux éditions Fleurus en 1990 dans la collection « Psychopédagogie psychosociale ». Il est épuisé. L’association Did le publie intégralementen ligne. « Le regard des autres » sur celui ou celle qui est différent de ces autres parce que marqué par le handicap physique, sensoriel ou psychique. C’est ce qu’a tenté de percevoir l’équipe rédactrice du présent ouvrage. Présentation vidéo: <p>[Javascript required to view Flash movie, please turn it on and refresh this page]</p> Les auteurs: Monique Saladin Monique Saladin, après des études de psychopédagogie et d’économie du développement, obtient un doctorat de sociologie du travail. Alain Casanova Alain Casanova, après des études d’italien, travaille comme journaliste avant de se passionner pour le cinéma, puis la vidéo. Umberto Vidali Téléchargement du livre au format PDF
AVC : Dix facteurs représentent 90 % des risques d’accidents vasculaires cérébraux Dix facteurs représentent 90 % du risque global d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) selon une vaste étude publiée dans la revue médicale britannique The Lancet. Ces résultats ont été obtenus dans le cadre de l’étude Interstroke, présentée au congrès mondial de cardiologie de Pékin, menée sur un total de 6.000 personnes (3.000 cas d’accident vasculaire cérébral et 3.000 cas témoins), dans 22 pays, de 2007 à 2010. Les facteurs sont : pression artérielle élevée (supérieure à 160/90 mm Hg)tabagismeobésité abdominalerégime alimentairesédentaritélipidesdiabèteconsommation d’alcoolstress et dépressiontroubles cardiaques Deux types d’AVC Tous ces facteurs sont associés de façon significative à l’AVC de type ischémique, le plus fréquent (80% des AVC), lorsqu’un vaisseau se bouche dans le cerveau. Le top 5 L’étude montre aussi que 5 facteurs représentent plus de 80 % du risque global d’AVC : l’hypertensionle tabagismel’obésité abdominalele régime alimentairela sédentarité Infographie
L’évolution des représentations du « handicap » : lire le handicap à travers l’altérité. - Moteurline En ligne : 20 juin 2012 par Vievard L. Octobre 2010. L’évolution des représentations du « handicap » : lire le handicap à travers l’altérité. Ludovic Vievard, Etude effectuée pour la Direction de la prospective et du dialogue public (DPDP) Grand Lyon. 0ctobre 2010, pdf, 31 pages. Résumé éditeur : La question du handicap est multiple. Multiple par son vocabulaire, par ses définitions et par ses représentations. Après un rapide compte-rendu des représentations passées (mais dont certaines sont encore présentes), cette note tente de voir si aujourd’hui, derrière une représentation très inclusive, n’est pas réintroduite une forme d’exclusion moins visible. Sommaire : Questions de méthode et de propos : les représentations du handicap et ses définitions Introduction : lire le handicap dans l’altérité De l’Autre au Même La figure du monstre L’infirmité comme miroir social du handicap Le handicap comme lot commun Conclusion Bibliographie . /www.millenaire3.com.
L’accident vasculaire cérébral (AVC) Longtemps considéré comme une fatalité, l’AVC, souvent appelé « attaque cérébrale », est provoqué par un arrêt brutal de la circulation sanguine à l’intérieur du cerveau, qui entraîne la mort des cellules cérébrales. En 2012, près de 125 000 personnes ont été hospitalisées pour un AVC (accident ischémique transitoire (AIT) ou AVC avéré) – soit une toutes les 4 minutes. L’AVC a causé près de 29 000 décès en 2010. La poursuite des actions a permis d’améliorer la prévention et l’information de la population avant, pendant et après l’AVC, notamment en informant la population depuis les signes d’alerte jusqu’à l’accompagnement du handicap. L’une des évolutions déterminantes est la création de 132 Unités neuro-vasculaires (UNV) sur tout le territoire qui permettent d’organiser des filières de prise en charge en renforçant la coordination ville/hôpital et la promotion de la prise en charge pluriprofessionnelle. L’accompagnement des personnes atteintes reste une préoccupation.
Une nouvelle molécule pour guérir les AVC et doubler la neurogenèse ? L’une des pistes pour pallier à diverses pathologies cérébrales, telles que les maladies d’Alzheimer et de Parkinson ou, entre autres, les accidents vasculaires cérébraux, est d’agir au niveau d’une neurotrophine peptidique (naturellement synthétisée dans le cerveau) appelée BDNF et de ses récepteurs cellulaires, dont les rôles métaboliques multiples sont très largement bénéfiques et nécessaires pour le fonctionnement du cerveau, puisque le « Brain Derived Neurotrophic Factor » induit la neurogenèse ou naissance de nouveaux neurones ainsi qu’une meilleure connectivité en agissant sur leur plasticité. Augmenter les niveaux de BDNF revient à améliorer la mémoire, la pensée abstraite, les fonctions exécutives, et l’ensemble des caractéristiques cognitives, et cela sans aucun danger connu. Depuis 2007, un prototypage moléculaire a ainsi été breveté. Ces résultats sont obtenus chez la souris, et sont probablement reproductibles chez l’humain.