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SFC_sport compet 12-35 a

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remplacement PREVISCAN et SINTROM par COUMADINE On peut s'interroger sur la faible prescription en France de la warfarine (Coumadine®) qui est le seul AVK prescrit aux États-Unis. En effet, à une époque où la médecine devrait n'être qu'« evidence based », on est surpris que la warfarine (Coumadine®), l'AVK coumarinique qui a été, et est toujours, l'objet de tous les grands essais internationaux, soit si peu connue et reconnue dans le corps médical (et pharmaceutique) français. meilleure est la stabilité de son anticoagulation, plus souvent le malade est dans la zone d'équilibre INR souhaitée, plus grande est l'efficacité, moins nombreuses sont les périodes de risque hémorragique majoré. Prof Ludovic DROUET Clinique des Anticoagulants cac.idf@lrb.aphp.fr 01 42 81 12 13 MODALITES Pour procéder au changement du PREVISCAN et SINTROM par la COUMADINE: PREVISCAN 20mg = COUMADINE 7mg 0,13 euros prix 0,34 euros SINTROM 4 mg = COUMADINE 7mg 0,10 euros le 4 mg, 0,36 euros en 1 mg prix 0,34 euros Ordonnance d'analyse de sang à copier

AVKcontrol DÉCISION DE TRAITEMENT - Nephrologie A. Décision rapide Le traitement médicamenteux antihypertenseur associé aux mesures hygiéno-diététiques, se justifie d’emblée chez les patients hypertendus à risque élevé : lorsque la PA est > 180/110 mmHg ou lorsque la PA est comprise entre 140-179/90-109 mmHg chez un patient à risque cardiovasculaire élevé ; en cas de diabète, insuffisance rénale ou maladie cardiovasculaire avérée (équivalent de prévention secondaire). Figure 4. B. Chez les patients dont la PA est comprise entre 140-179/90-109 mmHg et sans risque cadiovasculaire élevé, il est nécessaire de confirmer l’HTA au moyen de l’auto-mesure ou de la MAPA. Si l’HTA est confirmé chez un patient à risque faible un traitement non médicamenteux est mis en place et réévalué dans un délai de 6 mois. Si l’HTA est confirmée chez un patient à risque moyen, le traitement non médicamenteux doit être instauré et le patient réévalué dans un délai de 1 à 3 mois. C.

Contenu du bilan CV de la visite de non CI à la pratique du sport en compétition entre 12 et 35 ans Recommandations concernant le contenu du bilan cardiovasculaire de la visite de non contre indication à la pratique du sport en compétition entre 12 et 35 ans F. Carré, R. Brion, H. La détection précoce des pathologies cardiovasculaires chez le sportif qui pratique la compétition permet d’en limiter le risque potentiel en proposant une attitude thérapeutique et/ou une surveillance et en limitant l’exposition aux efforts inadaptés. En 2005, un consensus d’experts européens de cardiologie du sport, de physiologie de l’exercice, de réhabilitation, et de maladies du myocarde et du péricarde a recommandé la réalisation d’un ECG entre 12 et 35 ans pour tout demandeur d’une licence sportive de compétition, à répéter tous les deux ans (6). Les auteurs de ce consensus préconisent la répétition de l’ECG tous les deux ans afin d’améliorer la détection d’une pathologie génétique latente non encore exprimée phénotypiquement lors du précédent enregistrement (6). La VNCI représente un coût.

MedHyg.ch Les antihypertenseurs diminuent de 35 à 40% le risque d’ictus et de 20 à 25% le risque de maladie cardiovasculaire (CV). Outre leur mode d’action hypotenseur, ils différent par leur activité endocrinienne et métabolique. Cet article passe en revue leurs effets sur les électrolytes et sur les hormones qui en modifient les taux telles que l’aldostérone, l’angiotensine II et le brain natriuretic peptide. introduction L'hypertension, définie par une tension artérielle humérale (TAH) L 140/90 mmHg, touche 25 à 30% de la population adulte et l'hypertension systolique, dont la prévalence augmente avec le vieillissement, concerne 60% des plus de 65 ans.1 En fait, les risques cardiovasculaires (CV) liés à l'hypertension augmentent dès que la TAH s'élève au-dessus de 115/75 mmHg. effet des antihypertenseurs sur le système rénine-angiotensine-aldostérone (raa) effets des antihypertenseurs sur les électrolytes et sur le magnésium (tableau 1) effets sur l'acide urique 57 Effets sur la fertilité

Le traitement des troubles du rythme cardiaque Il faut distinguer le traitement des troubles du rythme en évolution (traitement de la crise), et le traitement anti-arythmique ayant pour but de prévenir une récidive. En présence de troubles du rythme cardiaque, l'urgence est généralement de l'enregistrer et non de le réduire. Il est capital d'essayer d'obtenir un enregistrement ECG de bonne qualité avant de le traiter. La tolérance fonctionnelle d'un trouble du rythme dépend essentiellement de sa fréquence et de la nature de la cardiopathie sous-jacente, plutôt que de la nature du trouble du rythme lui-même. Tout trouble du rythme mal supporté et s'accompagnant d'un collapsus cardio-vasculaire avec perte de connaissance, nécessite une réduction immédiate par cardioversion externe. L'obtention d'un ECG de bonne qualité, avant réduction, est d'autant plus importante que l'arythmie est mal tolérée, et qu'il existe une cardiopathie sous-jacente évoluée. Aucun antiarythmique n'est spécifique d'une arythmie donnée. 2.2 - Traitement curatif.

SPE37_C375 Bêtabloquants cardiosélectifs Bêtabloquants cardiosélectifs avec activité sympathique intrinsèque (ASI) Angor et troubles du rythme : 400 à 800 mg/j en 3 prises/j de préférenceInfarctus : 200 mg matin et soirHTA : 400 mg/j en 1 prise le matin ou 200 mg matin et soir SECTRAL LP Angor : 1 cp./j le matinNe pas croquer ni broyer SECTRAL injectableTroubles du rythme supraventriculaire ou ventriculaire : sous ECG continu, 0,33 à 1 mg/kg en 10-30 min en perf. HTA et angor : 1 cp. le matin à jeun/j. • Les bêtabloquants utilisés dans l'insuffisance cardiaque sont traités dans le chapitre Insuffisance cardiaque. Bêtabloquants cardiosélectifs sans ASI HTA : 1 cp. 200 mg le matin ou 1 cp. 100 mg matin et soir/j. HTA : 10 mg/j le matin, voire 20 mg si HTA sévèreAngor : 10 mg/j en 1 prise, voire 20 mg si angor sévère HTA et angor : 20 mg/j en 1 prise TÉNORMINE injectableinj. HTA : 5 mg/jInsuffisance cardiaque chronique : posologie initiale progressive 1,25 mg/j 1re sem., puis 2,5 et 5 mg/j les 2 et 3e sem.

Non, ce n’est pas le retour de l’ablation de fibrillation atriale – Insuffisant Cardiologue Note préalable : ce billet aborde la fibrillation atriale en dehors du cas de l’insuffisance cardiaque à FEVG altérée. La question du contrôle du rythme dans la fibrillation atriale est l’objet de longs débats depuis de nombreuses années dans la communauté cardiologique. La fibrillation atriale est à l’origine d’un remodelage de l’atrium gauche, peut faciliter la survenue d’une insuffisance cardiaque, et la fibrillation atriale favorise sa propre pérennisation. La maîtrise du rythme permettrait de retarder le passage en fibrillation atriale permanente et d’améliorer le pronostic du patient. Rappelons immédiatement que le retour en rythme sinusal d’un patient ayant fait de la fibrillation atriale n’est en aucun cas une raison pour arrêter le traitement anticoagulant qui doit être poursuivi de manière prolongée, pour ne pas dire à vie. Premier problème : les patients ne sont pas aveugles du bras dans lequel ils sont randomisés. Conclusion WordPress: J'aime chargement… Articles similaires

Le bilan cardiologique d’aptitude sportive sert-il à quelque chose ? – Insuffisant Cardiologue L’activité physique est unanimement recommandée pour ses bénéfices en prévention primaire et secondaire, mais elle peut exceptionnellement entraîner des complications graves. C’est la peur du trouble du rythme mortel apparaissant chez un sujet peu entraîné à l’occasion d’une activité intense et brutale, en raison d’une atteinte cardiaque sous-jacente méconnue, qui motive les demandes de certificats de non contre-indication (CNCI) et les bilans cardiologiques itératifs, source importante de consommation de temps médical. Le paradoxe est donc que l’activité physique procure un bénéfice pour la santé de la grande majorité de la population, mais peut servir de déclencheur d’arythmies dans une petite minorité ayant un substrat pathologique sous-jacent. Il est bien évident que ce billet envisage la problématique du dépistage chez des sujets asymptomatiques à qui il est demandé de réaliser un bilan systématique. Examen clinique L’examen clinique est finalement assez limité. Electrocardiogramme

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