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Les Principes du pouvoir : l'Apocalypse - Le Film

Les Principes du pouvoir : l'Apocalypse - Le Film

Show électoral aux USA Au cours des 30 dernières années, aucune élection présidentielle US n’a marqué de changement dans la politique extérieure de Washington. Les décisions importantes ont toujours été prises en dehors de cette échéance. Il est tout à fait évident que le président est le maître d’œuvre d’une politique dont il n’est pas le décideur. L’impérialisme yankee sera t-il plus performant avec le sourire d’Obama ou avec celui de Romney ? Tous les quatre ans, l’élection du président des États-Unis donne lieu à un show planétaire. Dans certains pays, notamment en Europe, la couverture médiatique de cet événement est aussi, sinon plus, importante que celle de l’élection du chef d’État local. C’est que l’on confond scrutin électoral et démocratie. L’affaire Gore contre Bush (2000) aura rappelé que l’avis des citoyens n’est que consultatif. L’illusion ne s’arrête pas là. Regardons un instant l’agenda du président US : audiences, discours et inaugurations se succèdent sans interruption.

Dépopulation : Obama autorise la stérilisation des mineures à partir de 15 ans. Stabiliser la population mondiale à 500 millions d'individus est un des objectifs prioritaires du NOM. Dans l'État de l'Oregon, la législation Obamacare, qui est entrée en vigueur le 1 ier Août 2012, autorise des stérilisations gratuites pour les filles dès l'âge de quinze ans. Maintenant, votre fille en première année d'études secondaires, pourra choisir, sans votre consentement, d'être définitivement stérilisée. ...Oubliez les étapes de l'obtention d'un permis de conduire à 16 ans et la capacité juridique de boire à 21, être stérilisée à 15 ans est désormais la première étape dans le processus de maturité sociale de la jeunesse américaine.Les «lignes directrices obligatoires Santé plan de couverture» prévues par le "Department of Health and Human Services" des États stipulent qu'à partir du 1er Août, 2012, la FDA soutient les méthodes de contraception, les procédures de stérilisation, l'éducation et le conseil du patient pour toutes les femmes ayant la capacité de reproduction.

Ce qui arrive aux musulmans nous arrivera à tous Traduction Catherine pour ReOpenNewsLa décision de la Cour Européenne des droits de l'Homme de refuser de bloquer l'extradition vers les Etats-Unis du religieux musulman radical, Abu Hamza al-Masri, et de quatre autres personnes supprime l'un des derniers remparts externes contre l'émergence de notre Etat-Goulag. Masri et les quatre autres, tous détenus dans des prisons britanniques, rejoindront bientôt les centaines d'autres Musulmans traduits aux Etats-Unis, au cours de la dernière décennie, devant les tribunaux fédéraux établis au titre de l'Article III. Les procès équitables sont peu probables. Une pratique inquiétante d'atteintes graves aux libertés civiles élémentaires, mise en place au nom de la sécurité nationale, a empoisonné notre système légal. Et, lorsqu'il passera en justice, il sera dans un tribunal de l'Article III, où les dispositions de sécurité nationale garantiront très vraisemblablement sa condamnation. Masri risque la prison à vie.

L’histoire (oubliée) de l’isolationnisme américain Malgré ses fondements peu susceptibles d’entraîner l’émergence d’un État diplomatiquement interventionniste, le changement dans la politique étrangère a bien eu lieu. Après les prémices des années 20 et 30, le tournant définitif s’opère en 1945. Suite à la victoire des Alliés, les États-Unis sont la seule économie majeure à sortir renforcée de la guerre, n’ayant pas connu de destruction sur son propre territoire. Avec le Plan Marshall, les Guerres de Corée et du Vietnam, Les États-Unis vont devenir une « superpuissance » politique mondiale. Ces événements ont cependant lieu dans le cadre de la guerre froide. A l’avènement du monde unilatéral qui succède à l’écroulement du bloc soviétique, les interventions militaires américaines ont notablement continué, dans différentes opérations armées menées entres autres au Moyen-Orient, au nom, officiellement, d’un messianisme démocratique et de la sécurité nationale.

L’histoire (oubliée) de l’isolationnisme américain Nombreux sont ceux qui semblent croire que, parce qu’une intervention militaire est faite sous un drapeau, elle est le fait d’une nation, d’un peuple tout entier dans son unanimité. Les événements géopolitiques des dernières décennies font affirmer par de nombreux médias, dans des articles se voulant subversifs, que l’interventionnisme américain est le reflet même de l’esprit impérialiste qui lui est inhérent, dans un pays où règne l’hyper rationalisme et un capitalisme sauvage. La culture américaine est ainsi résumée à un matérialisme inhumain et un fondamentalisme religieux, qui ensemble partent à la conquête du monde, motivés par un prosélytisme destructeur. Les allocutions et publications officielles des élites politiques américaines tendent d’ailleurs à confirmer cette identité profondément belliciste, en s’acharnant à attacher à la fois l’intérêt du peuple et sa tradition à un hégémonisme mondial. L’aspect religieux enfin, mériterait une analyse approfondie.

L'implication des Etats-Unis dans les massacres de Sabra et Chatila Le quotidien amèricain le "New York Times" a publié des documents secrets prouvant l’implication des États-Unis dans les massacres de Sabra et Chatila en 1982 ! Dans son article intitulé "Le massacre qui aurait pu être évité", Seth Anziska, chercheur à l’Université de Columbia États-Unis, a réussi à se procurer des documents historiques dévoilant le contenu de conversations ayant eu lieu entre des responsables israéliens et américains au cours de cette période. Il cite un document datant du 17 Septembre 1982, rapportant une réunion qui s’est tenue entre le ministre de la guerre israélien, à l’époque, Ariel Sharon (photo ci-dessus, Sharon à cet époque) et l’émissaire du président amèricain au Moyen-Orient Morris Draper. Le document souligne que ce dialogue confirme que les Israéliens étaient parfaitement au courant que leurs alliés libanais avaient pénétré dans le camp, et qu’une opération de liquidation barbare avait commencé, commente l’auteur de l’article.

Le projet de Nouvel Ordre Mondial trébuche sur les réalités géopolitiques Voici quatre siècles que des leaders politiques tentent de créer un ordre international qui régisse les relations entre les Nations et prévienne les guerres. Si le principe de souveraineté des États a donné des résultats, les organisations intergouvernementales ont surtout reflété les rapports de force d’un moment. Quant à l’ambitieux projet US de Nouvel Ordre Mondial, il est en train de se fracasser sur les nouvelles réalités géopolitiques. L’idée d’un ordre mondial, ou international, apparaît dès le XVIIe siècle, même si l’expression « ordre mondial » n’a été introduite que récemment dans le discours politique. Elle a été discutée chaque fois que se présentait une occasion d’organiser et de pérenniser la paix. C’est en 1603 que le roi de France Henri IV fit élaborer par son ministre, le duc de Sully, un premier projet. Cependant ce rêve fut interrompu par l’assassinat d’Henri IV et ne ressurgit qu’à l’issue des guerres déclenchées par Louis XIV. 1. 2. 3. 4. Leo Strauss (1899-1973) 2.

Grèce, Espagne, Italie : la colère gronde en Europe Grèce, Espagne, Italie : pas un seul jour sans manifestation Grèce, Espagne, Italie. Pas un seul jour sans protestation contre les mesures d’austérité imposées partout en Europe. Hier en Italie, des milliers d’étudiants et lycéens italiens manifestaient dans de nombreuses villes du pays, Rome, Milan, Naples ou Turin, pour protester contre les mesures d’austérité du gouvernement qui touchent tous les secteurs, y compris celui de l’éducation. Des heurts ont opposé les jeunes aux forces de l’ordre à Rome, à Milan et à Turin. Jeudi 4 Octobre 2012, plusieurs centaines d’employés grecs d’un chantier naval dénonçant des impayés de salaire ont envahi la cour du ministère de la Défense grec à Athènes jeudi, tandis que des personnels hospitaliers et des agriculteurs en Crète protestaient aussi contre les mesures d’austérité prévues dans le pays. La police a matraqué des manifestants et tiré des gaz irritants pour les repousser, a indiqué un source policière. Like this: J'aime chargement…

Washington réfléchit à des frappes ciblées contre AQMI Lors d’un déplacement à Alger, le 30 septembre, le général Carter Ham, le chef de l’US Africom, le commandement américain pour l’Afrique, avait affirmé que la situation au Nord-Mali, contrôlé par trois groupes islamistes, ne pouvait “être réglée que de manière diplomatique ou politique”, alors que la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) se prépare à intervenir militairement à la demande de Bamako et sous réserve d’un feu vert donné par le Conseil de sécurité des Nations unies. “En raison de la présence de groupes terroristes dans la région, une aide militaire peut être requise” avait aussi déclaré le général Ham, après avoir admis qu’une “composante militaire qui fera partie d’un tout jouera un rôle bien précis dans la résolution de ce conflit.” Le lendemain, le responsable de l’Afrique au département d’Etat américain, Johnnie Carson, a précisé la position de Washington au sujet de l’éventuelle opération de la Cédéao au Nord-Mali.

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