background preloader

Mega, le nouveau Megaupload, pourrait être le cauchemar d’Hollywood

Mega, le nouveau Megaupload, pourrait être le cauchemar d’Hollywood
01net. le 19/10/12 à 07h47 Dans une interview exclusive à Wired, et après avoir commencé à en dévoiler les contours en août 2012, Kim Dotcom est allé dans le détail de ce qui sera son prochain service, le nouveau Megaupload. Il s’appellera Mega, ou en tout cas, c’est comme ça qu’il est nommé pour l’instant, comme on raccourcit le nom de quelqu’un qu’on aime bien. Chiffrement des documents Il reposera sur un triptyque : résoudre la question de la fiabilité des services de stockage dans le nuage, renforcer les droits à la vie privée des utilisateurs sur Internet et leur fournir un nouveau outil simple d’utilisation. Et Kim Dotcom d’aller davantage dans le détail, pour répondre de manière anticipée à une des critiques récurrentes qui voudrait que Mega ne soit que la version adaptée aux contraintes légales de Megaupload. Avertissement du FBI en page d'accueil du domaine Megaupload.com Indéchiffrable Redondance et ouverture Et pour la question de fiabilité des serveurs ? Daté d'août 2012

Cyberlocker Ecosystem Shocked As Big Players Take Drastic Action In the wake of last week's Megaupload shutdown, some of the biggest names in the market are taking drastic action. During the last 48 hours many sites have completely withdrawn their systems for paying uploaders when their files are shared with others, but one of the most dramatic moves came first from Filesonic and today Fileserve. Both services now forbid people from downloading any files they didn't upload themselves. While the shutdown last week of Megaupload and the arrest of its founder and management team was certainly dramatic, a situation of perhaps even greater gravity is beginning to emerge. Over the past 48 to 72 hours, the operators of many prominent cyberlocker services have been taking unprecedented actions that can not simply be explained away by mere coincidence. The details in the Megaupload indictment clearly have some players in the file-hosting world spooked. Although Megaupload stopped paying out rewards in July 2011, that didn’t stop the site from getting raided.

Les USA menacent Kim Dotcom d'un retour en prison s'il sort Megabox Lors de la fermeture de MegaUpload, et de l'arrestation de son fondateur Kim Dotcom, des rumeurs au ton paranoïaque avaient attribué l'opération musclée à l'imminence de la sortie de MegaBox, présenté comme un service légal de musique en ligne. "MegaBox aurait pu être une plateforme alternative au célèbre iTunes d'Apple par exemple, puisqu'il s'agissait d'un service de téléchargement de chansons et de films en ligne, sur lequel les artistes auraient été rétribués à hauteur de 90% sur leurs ventes", résumait à l'époque Melty. "Le service, en bêta, aurait pu compter sur des partenaires importants comme Amazon, Rovi, Gracenote ou 7Digital. Les labels musicaux les plus puissants auraient pris peur, et auraient donc précipité la fermeture de Megaupload et l'arrestation de Kim Dotcom". Faute d'éléments concrets, il nous a toujours paru hasardeux de relayer de telles rumeurs. MegaBox, ou nouveau MegaUpload ?

Web 3.0 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expression Web 3.0 est utilisée en futurologie à court terme pour désigner le Web qui suit le Web 2.0 et constitue l'étape à venir du développement du World Wide Web. Son contenu réel n'est pas défini de manière consensuelle, chacun l'utilisant pour désigner sa propre vision du futur d'internet. Historique[modifier | modifier le code] Historiquement, le Web 3.0 est une expression qui désigne la troisième étape en cours des transformations majeures dont le Web fait l'objet depuis son lancement : Le Web 1.0 est le Web constitué de pages web liées entre elles par des hyperliens qui a été créé au début des années 1990.Le Web 2.0 est le Web social, qui s'est généralisé avec le phénomène des blogs, des forums de discussion agrégeant des communautés autour de sites internet et enfin avec les réseaux sociaux. Le Web 3.0, lui, n'est pas vraiment défini. Problèmes posés par le terme[modifier | modifier le code] People keep asking what Web 3.0 is.

Apres la fermeture de Megaupload, Filesonic jette l’éponge Filesonic, un autre site de Direct Download assez populaire et très utilisé par les internautes partageurs qui avaient jusque là tourné le dos au peer to peer vient de jetter l’éponge en désactivant les fonctionnalités communautaires de partage de fichiers. En clair, le site ne permet plus que l’upload de fichiers et d’accéder aux fichier que l’on a personnellement uploadé, plus de possibilité de partager les liens des fichiers envoyés chez Filesonic. C’était une conséquence à prévoir, les sites un peu trop en vue par les aficionados du direct download prennent peur, certains fermeront, d’autres comme Filesonic désactiveront les fonctionnalités de partage, ce qui de fait, rendra tout ce petit monde moins attrayant. La bonne nouvelle c’est que ça faisait longtemps que Bittorrent et certainement d’autres protocoles de Peer to Peer n’avaient pas été aussi rapides.

Megaupload : l’emprise américaine s’étend, Échelon en tête Kim Dot Com a-t-il été surveillé via le réseau Échelon ? La bête noire des majors en a la certitude après les récentes déclarations des autorités néozélandaises. Radomes at Menwith Hill, Yorkshire. Photo taken November 2005. Matt Crypto Voilà quelques semaines, le premier ministre néo-zélandais John Key présentait ses excuses au fondateur de MegaUpload et aux habitants de son pays. « La collecte d’information n’était pas autorisée en vertu du GCSB Act, et était de ce fait illégale » a conclu un rapport sur cet épisode qui a conduit à l’arrestation musclée de l’encombrant Dot Com. « Il est de la responsabilité du GCSB d'agir dans la légalité » a déclaré le premier ministre avant de désavouer le GCBS, et en jugeant qu'« il est extrêmement décevant de constater que ses actions sortaient du cadre légal dans cette affaire. Un non-sens ou presque TorrentFreak estime que cette surveillance fut un « non-sens » alors que les autorités disposent déjà des outils pour surveiller ses communications.

Internet des objets Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Internet des objets (IdO ou IoT pour Internet of Things en anglais) représente l'extension d'Internet à des choses et à des lieux du monde physique. Alors qu'Internet ne se prolonge habituellement pas au-delà du monde électronique, l'internet des objets connectés représente les échanges d'informations et de données provenant de dispositifs présents dans le monde réel vers le réseau Internet. L'internet des objets est considéré comme la troisième évolution de l'Internet, baptisée Web 3.0 (parfois perçu comme la généralisation du Web des objets mais aussi comme celle du Web sémantique) qui fait suite à l'ère du Web social. Histoire et définition de l'internet des objets[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Il est parfois suggéré que l'objet deviendra un acteur autonome de l'Internet, capable de percevoir, analyser et agir de lui-même selon les contextes ou processus dans lesquels il sera engagé[5].

Le téléchargement payant n'est plus un gros mot Megaupload était loin d’être le seul site à proposer des fichiers en téléchargement ou en streaming. Dans les faits, sa disparition est donc un micro phénomène. Elle ne va rien bouleverser. Un site disparait, d’autres vont apparaître… Mais la fin de Megaupload peut donner l'apparence de raviver cette vieille opposition entre le monde de la culture et le monde numérique. Deux mondes qui ont longtemps entretenu des relations de défiance entre eux. Capture d'écran de la page d'accueil du site Mega Upload. Et pourtant, contrairement aux apparences, cette opposition est loin d’être aussi nette et aussi vive qu’auparavant. L’exemple de Megaupload montre que les comportements ont déjà changé puisque ce site de téléchargement proposait des offres d'abonnements premium. L'opposition gratuit/payant sur la consommation de biens culturels sur laquelle a longtemps porté le débat est donc surpassée. Les choses avancent. A lire aussi sur Le Plus : -Téléchargement illégal : Megaupload est mort.

Les avocats de MegaUpload échouent à faire annuler la procédure Kim Dotcom peut-il être jugé aux États-Unis pour ses activités dans l'affaire MegaUpload ? C'est la question qu'ont soulevé les avocats de l'Allemand devant le juge américain en charge de l'enquête. Selon eux, la procédure judiciaire en cours contre leur client n'est pas fondée juridiquement dans la mesure où MegaUpload n'est ni société américaine ni une entreprise basée aux États-Unis. Le siège social de MegaUpload était en effet situé à Hong Kong. Mais le juge américain n'a pas eu cette lecture, comme le remarque CNET. Celle-ci suit continue donc, en attendant que l'extradition de Kim Dotcom vers les États-Unis ait lieu.

Web sémantique Logo du W3C pour le Web sémantique Le Web sémantique, ou toile sémantique[1], est une extension du Web standardisée par le World Wide Web Consortium (W3C)[2]. Ces standards encouragent l'utilisation de formats de données et de protocoles d'échange normés sur le Web, en s'appuyant sur le modèle Resource Description Framework (RDF). Le web sémantique est par certains qualifié de web 3.0 . Alors que ses détracteurs ont mis en doute sa faisabilité, ses promoteurs font valoir que les applications réalisées par les chercheurs dans l'industrie, la biologie et les sciences humaines ont déjà prouvé la validité de ce nouveau concept[5]. Histoire[modifier | modifier le code] Tim Berners-Lee à l'origine exprimait la vision du Web sémantique comme suit : I have a dream for the Web [in which computers] become capable of analyzing all the data on the Web — the content, links, and transactions between people and computers. — Tim Berners-Lee, Weaving the Web[13] — Weaving the Web[13]

Fin de partie pour Megaupload, à qui le tour? (Capture d'écran - Le JDG - cc) Il est 14h en ce mois de janvier 1990 à Douala, capitale économique du Cameroun. J'ai 13 ans, et les rues de la capitale économique sont vides : il s'agit en effet de ne pas rater la diffusion de la série Dynastie sur les écrans de la télévision nationale. En l'absence de rediffusion, l'amateur des romances de Denver n'avait d'autre choix que de se faire raconter l'histoire du jour par ses amis en cas de rendez-vous manqué avec l'étrange lucarne. Janvier 2012, un peu plus de vingt ans plus tard, il est aux alentours de 22h lorsque j’apprends la fermeture de megaupload , géant de la mise à disposition de fichiers sur le net. Le site, issu d'une entreprise pour le moins opaque, est notamment utilisé par les amateurs de séries pour visionner gratuitement — ou pour pas cher — les œuvres de leur goût. La fin d'une époque ? Les sites de streaming ont induit toute une culture autour de la série, toute une densité, toute une passion. Il n'y a pas que Megaupload

MegaUpload : la situation des données personnelles pourrait se débloquer Après la fermeture brutale du service MegaUpload, la saisie des serveurs par le FBI et l’arrestation musclée du PDG Kim Dotcom, les utilisateurs ont parfois été coupés de données importantes. Pourtant, le succès d’une procédure lancée par un professionnel ouvre la porte à une récupération à plus large échelle des informations perdues. Seul contre tous La situation des données bloquées a subi de nombreuses évolutions depuis la saisie des serveurs par le FBI en janvier dernier. En avril dernier, nous indiquions que l’un de ces utilisateurs, Kyle Goodwin, avait entamé une procédure devant la justice américaine à ce sujet. Une MPAA dans l'attente À cette époque, la MPAA (Motion Picture Association of America), très impliquée dans le procès contre MegaUpload, se voulait assez réservée : « Il peut y avoir malheureusement des utilisateurs dont les fichiers légitimes ont été pris dans les activités illégales de MegaUpload. Une audition acceptée Or, la situation évolue. Vincent Hermann

Microformat Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un microformat (parfois abrégé sous μF ou uF) est une approche de formatage de données dans des pages WEB[1] qui cherche à rationaliser et standardiser le contenu existant, comme les métadonnées, en utilisant des classes[2] et attributs de balises[3] XHTML et HTML. Cette approche est conçue pour permettre à l'information destinée aux utilisateurs finaux, telle que le carnet d'adresses, les coordonnées géographiques, les événements et autres données ayant une structure constante, d'être traitée automatiquement par les logiciels. Même si le contenu des pages web était déjà capable techniquement d'être « traité automatiquement » depuis la conception du web, il existait certaines limites. Les microformats actuels permettent l'encodage et l'extraction d'événements, d'information de contact, de relations sociales et ainsi de suite. Historique[modifier | modifier le code] Ni CommerceNet ni Microformats.org ne sont un corps de standards.

Megaupload est mort : nous entrons dans une ère nouvelle Nous vous disions cette nuit que nous ne pleurons pas la mort de Megaupload. Nous le réaffirmons. Megaupload proposait sur un modèle centralisé la distribution de masse de fichiers copyrightés, sans aucun accord avec les ayants-droit, et en tirait de confortables revenus (on parle d’un chiffre d’affaire de 150 millions de dollars tout de même), grâce aux revenus publicitaires générés par sa régie qui attirait des clients comme le site patypoker.fr pour ne citer que lui. Megaupload, ce n’est pas que les 150 millions de CA, c’est aussi, et surtout toute une économie pseudo underground d’affiliés, de sous-affiliés, de sous-sous-affiliés … qui permettait surtout à quelques webmasters, si on peut appeler ça comme ça, de s’en foutre plein les fouilles sur le dos des créateurs en collant des immondes pubs en masse et en proposant un chemin de type Fort Boyard affichant une pub à chaque clic avant d’accéder au lien sur le contenu.

Related: