background preloader

10 propriétés de la force des coopérations faible

10 propriétés de la force des coopérations faible
Dominique Cardon, Maxime Crepel, Bertil Hatt, Nicolas Pissard, Christophe Prieur du laboratoire Sense d’Orange Labs ont synthétisé les 10 principes de fonctionnement des plateformes relationnelles. Ces caractéristiques génériques, que l’on retrouve dans la plupart des plateformes à succès du web 2.0, ne mettent pas en valeur un esprit communautaire, comme on le croit souvent, mais exploitent « la force des coopérations faibles », c’est-à-dire favorisent une dynamique de bien commun à partir de logiques d’intérêt personnel. Un schéma pour comprendre les modes de coopérations et le web d’aujourd’hui. Les nouveaux usages des plateformes relationnelles du web 2.0 (blogs, Flickr, Wikipedia, MySpace, Facebook, Twitter, etc.) font apparaître des modes de collaboration inédits entre utilisateurs. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. Ces 10 propriétés commandent une forme particulière d’organisation des systèmes relationnels que nous appelons la force des coopérations faibles. ________________ 1. Related:  `test 1013`test 1013

Le design de la visibilité Notes Ce texte a bénéficié des travaux entrepris dans AUTOGRAPH (ANR) et dans le groupe de recherche sur le web 2.0 d’Orange Labs. Les multiples discussions du mercredi matin avec N. Dans le numéro 153, Réseaux proposera un ensemble d’études de cas portant sur Flickr, Wikipedia, MySpace, les blogs politiques, Second Life et les wikis d’entreprise. GROSS et ACQUISTI, 2005. La notion de subjectivation fait l’objet d’acceptions très différentes dans les sciences sociales. ALLARD et VANDENBERGHE, 2003. DONATH et BOYD, 2004 ; BOYD et ELLISON, 2007. HENNION, MAISONNEUVE et GOMART, 2000. On sait toute l’ambiguïté qu’il y a à définir la personne comme « réelle » et à marquer ainsi la séparation entre « vie réelle » et « vie numérique ». McKENNA, GREEN et GLEASON, 2002. A cet égard, on ne peut que se fier aux manuels de conseils destinés à aider les pratiquants des sites de rencontre : ne trichez pas ! EVANS, GOSLING et CAROLL, 2008. FIORE et DONATH, 2005. WHITTY et CAR, 2006. HONNETH, 2007, p. 119-120.

7 gestes stupides qui flinguent vos relations En vous inscrivant ici, vous recevrez par email les conseils de Romain via sa newsletter « Le Décodeur du Non-Verbal ». Vous pouvez vous désinscrire à tout instant. Le Décodeur du Non-Verbal - 2011-2015, SARL ARC Diffusion, RCS 803 953280 PARIS ; Notre newsletter est déclarée à la CNIL sous le N°1584215 et respecte la loi informatique et libertés. Pour contacter Romain : romain@decodeurdunonverbal.fr. Vous pouvez consulter en ligne nos conditions générales de vente, nos mentions légales, mais aussi Pourquoi nous existons, et Comment nous fonctionnons - Vous trouverez ici nos Voisins Blogueurs qu’on Aime. TOP 7 des articles : La synergologie - Le langage corporel - Les microexpressions - Le langage du corps - Le langage non verbal - Decrypter les gestes - Expressions du visage - Enfold Theme by Kriesi

Exercice de presentation: Le blason Exercice permettant à un groupe de faire connaissance rapidement. Il peux servir également à étudier un aspect des représentations des stagiaires dans un domaine donné. De 1 heure à 2 heures De 8 à 40, Un rouleau de papier, des feutres en nombre suffisant, un rouleau de scotch • Emprunté aux traditions anciennes, le blason traduit la devise fondatrice d'une famille, d'une lignée et constitue un cadre dans lequel s'inscrivent ses membres. • Nous vous proposons de vous présenter en tant que personne, appartenant à une tradition nationale et dans une perspective européenne, à travers la constitution puis la présentation de votre blason. - la constitution du blason , - la présentation au groupe de votre blason - un échange à deux. Consignes L'exercice se fait seul, en silence pour la l ère partie • Sur un feuille de papier, seul, en silence, vous dessinez un blason comportant 4 cases et un bandeau. • Tout ce qui sera inscrit le sera sous forme de graphismes, sans vocabulaire ni signes verbaux.

Réseaux sociaux de l'Internet Nicole Ellison et danah boyd définissent les sites de réseaux sociaux comme « des services Web qui permettent aux individus de construire un profil public ou semi-public dans le cadre d’un système délimité, d’articuler une liste d’autres utilisateurs avec lesquels ils partagent des relations ainsi que de voir et de croiser leurs listes de relations et celles faites par d’autres à travers la plateforme [2][2] d. boyd et N. Ellison, «?Social Network Sites?: Definition,... ». La nouveauté apportée par les réseaux sociaux de l’Internet tient donc à la mise en place progressive de la liste d’amis comme principal outil de navigation. En effet, la réussite des plates-formes relationnelles du Web 2.0 doit beaucoup au fait que les personnes y exposent différents traits de leur identité. Dans la zone en clair-obscur de l’Internet, la conversation emprunte beaucoup plus aux formes dialogiques de l’échange interpersonnel entre interlocuteurs ratifiés qu’à la prise de parole publique distanciée.

Accompagner le changement Changer implique de se mettre en mouvement et peut être perçu comme une menace ou au contraire comme une promesse d'amélioration. Si le changement réalisé au niveau individuel est parfois délicat, les choses se compliquent considérablement lorsque le changement est exigé dans un collectif. Implanter un changement dans un collectif exige d'être en capacité de répondre à de nombreuses questions : Qui veut changer ? Quoi, et pourquoi ? Le changement du haut vers le bas est encore le plus répandu dans les organisations. Faut-il vraiment continuer à considérer le changement comme une période de transition entre deux états d'équilibre, ou plutôt comme un processus dynamique permanent ? Si l'on décide de nommer "évolution" ce qui s'appelait "changement", le mouvement devient plus aimable. Illustration : Letha Colleen, Flickr, licence CC BY-NC-ND 2.0 Le jeu vidéo, facteur du changement pédagogique 11 décembre 2011 Camp TIC : 5 jours pour changer son rapport aux TIC 12 décembre 2011 18 juin 2012

Politiques publiques d'éducation aux médias et à l’information en Europe: enjeux de formation à l’ère du numérique à 8 heures 45 chez Grand Amphi Sorbonne Nouvelle « Politiques publiques d’éducation aux médias et à l’information en Europe: enjeux de formation à l’ère du numérique » Sorbonne Nouvelle, Grand Amphi, 13-14 décembre 2013 A l’heure où de nombreux acteurs du monde politique, économique, social et associatif se posent la question de la transition numérique à l’école, les membres du projet ANR TRANSLIT (convergence entre éducation aux médias, à l’information et à l’informatique), en association avec le réseau européen COST « T ransforming Audiences/Transforming Societies », organisent un colloque international sur le sujet, au Grand Amphi de la Sorbonne Nouvelle, 5 rue de l’école de médecine, le vendredi 13 et le samedi 14 décembre 2013. Le colloque international s’intitule « Politiques publiques d’éducation aux médias et à l’information en Europe: enjeux de formation à l’ère du numérique ». Vous trouverez le programme et l’affiche (en français et en anglais) ici.

Pourquoi sommes-nous si impudiques ? Les enquêtes sur les usages d’Internet font systématiquement apparaître deux résultats absolument contradictoires. Les usagers se montrent de plus en plus soucieux des risques de contrôle, de détournement et d’exploitation commerciale des données personnelles qu’ils laissent sur Internet. Mais par ailleurs, ils – et ce sont pourtant souvent les mêmes – se révèlent de plus en plus impudiques dans leurs pratiques d’exposition de soi, notamment sur les sites de réseaux sociaux et les blogs. Public par défaut Dans le débat sur le respect de la vie privée, il devient de plus en plus utile de distinguer clairement l’agent dont on craint la surveillance. La réussite des plateformes relationnelles du web 2.0 doit en effet beaucoup au fait que les personnes prennent des risques avec leur identité en rendant publiques des informations sur elles-mêmes. Le risque de la visibilité : méconnaissance ou opportunité Et si l’identité numérique était un signe relationnel plus qu’une information ?

Ajouter un fichier Apprendre/désapprendre. Sur la ligne de crête des apprentissages numériques Pour qui s’intéresse, comme le fait le Digital Society Forum, aux relations entre les technologies et nos sociétés, la question de l’apprentissage est un vrai cas d’école. Dans ce domaine comme dans tant d’autres, il suffit de chercher à mesurer l’effet des technologies sur les performances scolaires pour ne rien trouver. En elles-mêmes, les Technologies de l'Information et de la Communication pour l'Enseignement (TICE) ne sont causes de rien, ne rendent pas les enseignants plus pédagogues, les enseignés plus performants ou la société plus savante. Numérisation du tableau blanc, du cartable, du manuel scolaire, des exercices, de la relation avec l’enseignant ou des échanges entre apprenants, il ne suffit pas de substituer, pièce par pièce, un dispositif numérique à un outillage analogique pour que, comme par magie, les apprentissages s’améliorent, les inégalités devant l’éducation s’évaporent ou que les capacités créatives se développent. Regarder ailleurs Qu’apprendre ? développer

Related: