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Nombre d'animaux tués pour fournir de la viande dans le monde

Nombre d'animaux tués pour fournir de la viande dans le monde
Abattage, élevage et consommation de viande Combien d'animaux abattus pour la consommation de viande ? de 60.000.000.000 à 142.794.000.000animaux tués la consommation / an De 60 à 140 milliards d'animaux sont tués pour être mangés dans le monde chaque année. En effet, certaines sources estiment le nombre des animaux tués à plus de 140 milliards en prenant en compte le bétail, la volaille, etc. Les prévisions de consommation de viande sont de 463 milliards de kilos pour 2050 (contre 290 en 2012) ce qui représenterait 100 milliards d'animaux abattus chaque année. Nombre d'animaux tués dans le monde en 2003 source FAO 2,740,000,000,000 (2740 milliards) d'animaux marins : selon les estimations, le nombre de vertébrés pêchés varie de 970 à 2 740 milliards d'individus chaque année sur la période 1999 à 2007 45,895,000,000 (45 milliards) poulets 2,262,000,000 (2.3 milliards) canards 1,244,000,000 (1.2 milliards) cochons 857,000,000 (857 millions) lapins 691,000,000 (691 millions) dindes Related:  Végéta*isme

Végétalienne, elle assure avoir adopté "le régime du futur" Par Mathieu Dehlinger Mis à jour le , publié le Claire est très fière de cet épais cahier. Il suffit de la suivre dans son magasin bio préféré pour se convaincre de sa passion. La jeune femme a commencé à réduire sa consommation de viande il y a sept ans. Elle se souvient encore de l’un des moments forts de sa conversion au végétalisme. Claire est désormais convaincue du bien-fondé de sa démarche, du simple "bon sens" selon elle, et persuadée d’avoir adopté "le régime du futur", que tout le monde finira, un jour ou l’autre, par suivre. Son entourage proche n’a désormais aucune difficulté à comprendre son choix de vie. "Aujourd’hui, ma nourriture est belle, elle a du sens, elle est empreinte de valeurs", commente Claire.

www.agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/doctravail50112.pdf Serons-nous tous végétariens en 2050 Si les pays développés connaissent l’urgence à réduire la consommation de viande, peu imaginent adopter dans les prochaines décennies un régime végétarien quasi-généralisé. C’est pourtant la réalité qui attend la population mondiale d’ici à 2050 afin d’éviter des pénuries alimentaires catastrophiques et des déficits en eau considérables, si l’on en croit une étude du Stockholm International Water Institute, citée par le Guardian. Aujourd’hui, à l’échelle de la Terre, les 7 milliards d’hommes tirent en moyenne 20 % de leurs apports en protéines de produits d’origine animale. Les Nations unies ont calculé que le monde aura besoin d’augmenter sa production alimentaire de 70 % d’ici le milieu du siècle pour répondre à la demande galopante. D’après les scientifiques, le végétarisme serait donc une façon d’augmenter la quantité de ressources naturelles disponibles pour produire plus de nourriture. La question du végétarisme n’est toutefois pas totalement tranchée. Audrey Garric

L’élevage accentue l’effet de serre et la déforestation | Viande : l'environnement, la santé et les animaux L'élevage est responsable de 14,5 % des émissions de gaz à effet de serreEt de 80 % de la déforestation en AmazonieLe 5e rapport du GIEC recommande une diminution importante de la consommation de viande. Ce serait aussi efficace que de diviser par deux le parc automobile mondial.Un végétalien émet 2,5 fois moins de GES par son alimentation qu'un omnivore occidental L’élevage émet plus de gaz à effet de serre que les transports En 2006, un rapport de la FAO, Livestock's long shadow, a révélé que l’élevage produisait une quantité importante de gaz à effet de serre (GES), environ 18 % des émissions d'origine humaine. Les émissions de GES dans le monde. Chiffres clés Le secteur de l'élevage produit 7,1 milliards de tonnes d'équivalent CO2, soit environ 1/7 de l'ensemble des émissions de gaz à effet de serre. Il apparaît que les émissions sont dues majoritairement à l'élevage des ruminants. Source : GIEC. L'Europe contribue pour 8,5 % des émissions de GES liés à l'élevage. Bibiliographie

Facebook Are you a baby eater? | Viva! By Justin Kerswell, Viva! campaigns manager If you picture the scene: a crowded shopping centre; then from amongst the jumble of legs wanders a tiny kitten. Then imagine a young piglet or lamb wandering amongst shoppers. It is hard-wired into most of us to protect infants – be they human or other mammals. Such is the collective moral schizophrenia, people melt at the site of kittens and new-born lambs gambolling in the fields yet will eat meat without a twinge of conscience. One of the things that constantly shocks people I speak to is how young farmed animals are before they are killed. The brutal truth is that farmed animals are only kept alive as long as there is profit in doing so. Although it is often termed reaching adult weight that term is misleading. For me, this fast track to death really hit home during a visit to a massive ‘broiler’ factory farm hidden behind trees and hedgerows near a pretty English village. For some, death comes before they are even born.

Les Français opposés à l'élevage intensif Si l’élevage intensif est encore la norme en France, un sondage montre que les Français, qui aiment manger de la viande, y restent pourtant majoritairement opposés. La lutte s’organise même pour s’opposer concrètement à des projets intensifs particulièrement spectaculaires, comme la Ferme des « Mille vaches » dans la Somme ou le centre d’engraissement des 1000 veaux dans La Creuse. Sommaire : L’élevage intensif, majoritaire en FranceUn exemple d’action : les Mille vaches, une opposition ferme à un projet d’élevage intensif à DrucatFerme des 1000 vaches : des limites du législatifUne ferme des 1000 veaux va ouvrir dans la Creuse [dernière maj : 17 janvier 2015] Si plus d’un millier d’animaux sont tués à chaque seconde dans le monde pour la viande, d’autres chiffres font également froid dans le dos, à commencer par celui-ci : plus de 80 % de l’élevage en France sont intensifs. Des contrôles encore rares Les sanctions sont rares, donc l’animal reste un produit comme un autre.

Alimentation - Nutrition - Préhistoire - Préhistorique Comment savoir ce que les hommes préhistoriques mangeaient ? Les traces laissées sur les dents fossilisées En analysant, grace au microscope à balayage électronique, l'émail dentaire on peut découvrir des stries d'utilisation provoquées par le type d'aliment mâché. L'existence de stries verticales et longues indiquent une alimentation à base de viande. Des stries horizontales témoignent d'une alimentation plus riche en végétaux. Composition chimique des dents et des os L'étude de la composition des dents et des os peut également donner des indications sur le type d'aliment ingéré habituellement Le type de dents retrouvées En observant la denture, la forme des mâchoires et les insertions des muscles masticateurs sur le crâne d'un animal, on peut déterminer son régime alimentaire habituel. Evolution chronologique du régime alimentaire des hominidés L'étude des hominidés, de leur squelette, de leurs dents et de leur environnement permet donc d'estimer leur régime alimentaire.

Le boeuf coûte cher à l'environnement (étude) La production de viande de boeuf induit un coût environnemental bien plus élevé que celle de volaille, de porc ou de toute autre source de protéines animales, révèle une étude publiée lundi aux Etats-Unis. Pour élever un boeuf, un agriculteur aura ainsi besoin d'une surface 28 fois plus étendue que pour produire des oeufs ou de la viande de volaille, rapporte cette étude parue dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS). De même, il faut 11 fois plus d'eau pour irriguer les champs où poussent les foins et grains dont se nourrissent les bovins que pour les autres animaux d'élevage, selon les chercheurs du Bard College de New York, de l'Université de Yale et de l'Institut des Sciences Weizmann de Rehovot, en Israël. Les boeufs émettent aussi cinq fois plus de gaz à effet de serre que les autres animaux qui sont sources de protéines. "Et le boeuf est très clairement l'animal le moins économe en ressources parmi les cinq catégories d'animaux", pointe l'étude.

Toute la vérité sur les "phyto-oestrogènes" On entend souvent dire que la consommation de soja serait à éviter en raison de la présence de "phyto-oestrogènes" dans cet aliment, qu’elle serait à déconseiller aux enfants... Qu’en est-il ? La commission scientifique de l’Association Végétarienne de France fait le point pour répondre à ces questions. Que sont les « phyto-œstrogènes », et d’ailleurs, existent-ils vraiment ? Sous le nom (très mal choisi) de « phyto-œstrogènes » on regroupe une classe de composés produits naturellement par les plantes dont la structure moléculaire est proche de l’estradiol, une hormone nécessaire au maintien de la fertilité et des caractères sexuels secondaires chez la femme. Les « phyto-œstrogènes » sont en réalité des SERM (modulateurs sélectifs des récepteurs œstrogéniques), c’est-à-dire qu’ils sont capables de se lier aux mêmes récepteurs que les vrais œstrogènes et à la place de ceux-ci. Les produits à base de soja et l’entérolactone protègent du cancer de la prostate (Br.

Haro sur les régimes trop riches en protéines animales Deux études ternissent la bonne image dont bénéficient dans les pays occidentaux les viandes et les laitages. Meilleure disponibilité, diminution des coûts: viandes, poissons et laitages sont très présents dans les assiettes des pays occidentalisés. Ces aliments sont les principales sources de protéines animales dont les effets à long terme sur la santé attirent de plus en plus l'attention des scientifiques. Cette semaine, ce sont deux études, parues dans la revue Cell Metabolism, qui montrent qu'une alimentation riche en protéines favoriserait la survenue de cancers et diminuerait de manière im­portante l'espérance de vie. Face à l'épidémie d'obésité qui sévit partout aujourd'hui dans le monde, les consommateurs ont été rendus très attentifs à leur consommation de sucres et de graisses, parfois jusqu'à stigmatiser ces nutriments pourtant essentiels. Les protéines bénéficient, elles, au contraire, d'une image très positive. «Aussi dangereux pour la santé que la cigarette»

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